« J'aimerais tellement pouvoir combattre cette attraction que j'ai pour toi, mais ça me semble insurmontable, je ne peux que succomber »
L'ennemi de mon frère, pourtant je suis attirée inexorablement par lui.
La sœur de mon adversaire, mais je ne p...
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/!\ Attention, ce chapitre comporte un langage cru et des scènes matures /!\
Je sais qu'il n'y aura pas de retour en arrière, une fois cette étape franchie. Rien ne sera plus jamais comme avant mais d'une certaine manière, c'est une bonne chose. Je suis en stagnation depuis bien trop longtemps et cette nuit avec Charles, sera mon salut.
Nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre, consumés par le feu qui fait rage en nous, un désir qui parcoure nos veines, enivrés par la situation et par l'autre.
— Je vais enfin pouvoir te goûter, savoir quel goût tu as, Charles dit, entre deux baisers.
J'enlève frénétiquement sa veste, ensuite sa chemise, exposant ainsi son torse musclé. Il me regarde avec une faim que je n'ai jamais vue dans les yeux de quelqu'un, et, soudainement, il agit, et je ne suis plus que sa proie. Il me tourne lentement, lui exposant mon dos pour qu'il puisse abaisser la fermeture de ma robe. C'est avec beaucoup de lenteur qu'il baisse la fermeture, faisant tomber la robe à mes pieds, m'exposant ainsi à ses yeux. Je me retourne lentement, et je vois le désir grandir encore plus dans ses yeux lorsqu'il me voit me tenir devant lui, complètement nue et exposée.
— Tu es une tentatrice, il chuchote doucement.
Il agrippe de ses deux mains mes fesses pour m'inciter à me rapprocher de lui. J'entoure alors sa taille de mes jambes. Le fait que je suis nue et lui, qui revêt encore son pantalon ne fait que me rendre encore plus vulnérable. Le renflement de son membre engorgé appuie directement contre mon centre. Je bouge légèrement et la friction que cela provoque me fait fermer les yeux. Tout en continuant de m'embrasser, il me porte jusqu'au lit, sur lequel il me dépose délicatement. La lumière de la lune baigne le lit et moi.
Il ne perd pas de temps pour se pencher sur moi et prendre un de mes seins dans sa bouche. La sensation est incroyable, un millier de frissons parcourent mon corps, mon dos se courbe, et un souffle s'échappe de ma bouche.
Ses yeux m'étudient avant qu'il ne se mette a tracer un chemin avec sa bouche jusqu'à mon entrejambe. J'écarte un peu plus les jambes de façon à ce qu'il puisse s'y installer. Il me lance un dernier coup d'œil, comme pour s'assurer que tout va bien avant d'y disparaitre.
Sa langue experte et chaude caresse mes plis et trouve mon mont de Vénus. Il lèche, torture et cajole cet endroit remplis de nerfs, libérant ainsi de puissantes vagues de plaisir en moi. Il accompagne ses attaques de son majeur, qu'il utilise d'abord pour répandre ma mouille sur toute ma fente et, l'enduisant avant de l'insérer en moi. L'intrusion est bienvenue et mes parois se contractent.
— Tu es si étroite Eleanor, dit-il.
Mes hanches bougent en rythme, Charles rajoute un autre doigt, et l'ajout de celui-ci décuple les sensations, il trouve mon point-g et cela me permet d'atteindre le paroxysme de mon orgasme qui était en train de se construire depuis le début. J'explose en un million de feux d'artifices et lorsque j'ouvre les yeux, je vois Charles enlever son pantalon ainsi que son caleçon, libérant ainsi son membrer. Je me doutais bien qu'il devait être bien gâté par la nature, mais à ce point ? Je me demande si ça ira, mais comme je suis bien détendue après ce premier orgasme, je pense que tout se passera bien. Il semble voir l'hésitation sur mon visage puisqu'il me dit :
