Chapitre 12

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Je me remémore sans cesse la soirée d'hier, je n'arrive pas me défaire de toutes ces choses horribles que j'ai entrevue au repas, mais aussi à cette fabuleuse fin de soirée que j'ai partagée avec Thomas dans ce moment qui n'appartenait qu'à nous, tous était si parfaits en cet instant sur ce banc avec lui a mes côtés. J'aurais aimé que cela, dure pour l'éternité, mais bien évidement toutes bonnes choses ont une fin, même si j'avoue ne pas savoir comment c'est fini cette soirée, tous ce dont je me rappelle c'est moi posant ma tête sur son épaule et de cette sublime vue sur la pleine lune et le ciel dégager de tous nuages, laissant apercevoir ces magnifiques étoiles. Comment ai-je pu oublier tout le reste de cette fin de soirée somptueuse.








Je suis dans mon gigantesque lit en train de réfléchir à tout ceci depuis bien dix minutes, sans qu'aucune réponse logique a mes questions ne viennent. J'espère en avoir sur celles-ci. Je n'aime pas rester dans le vague comme ça. mon côté curieuse aime avoir sans cesse des réponses claires, sinon je vais très certainement m'angoisser plus qu'il ne le faudrait, je suis comme ça. il faut toujours que je contrôle un minimum la situation sinon cela me perturbe et j'ai bien du mal à avancer avec ce trouble.








Et si j'aller me promener dans les jardins?. Peut-être que ce lieu me redonnerait mes souvenirs perdus de la veille. On m'a toujours dit que revenir sur ces pas pouvait être bénéfiques parfois. Pourquoi ne pas tester cette théorie, qu'ai-je à perdre après tous?.








Je me lève gracieusement de ce lit douiller pour me diriger vers ces immenses rideaux violets qui obscurcisse la pièce, pour finir par les ouvrir en grand, laissant rentrer cette magnifique lueur du jour avec cette chaleur divine qui réchauffe tous les ports de mon visage. Je regarde la vue de mes appartements que je n'est pas vue de jour depuis que je suis ici. Je remarque qu'il y a un balcon attenant à ma fenêtre, je l'ouvre laissant rentrer ce léger souffle d'air frais qui transporte cette douce odeurs de fleurs si agréable. Mon regard ce porté au loin sur le paysage qui s'offre à moi, tous parais si féerique, les oiseaux chante de bonheur survolant ces plaines magnifiquement vertes et parsemer de sublime fleurs et arbres. Tous parait si calme en cet instant.








Quand l'on regarde ce paysage, on a bien du mal à s'imaginer que c'est la famille Ghoster qui habite ces lieux si purs. Même si je dois avouer que ces lieux vont bien à certains des membres de ce manoir, Thomas a l'air d'êtres fait pour celui-ci ainsi que sa mère, j'ai beau connaitre uniquement son physique, je ressens en elle une t'elle pureté et sagesse que ces jardins ne peuvent que lui rassembler.








Le regard perdu vers l'horizon, j'entends de légers bruits qui viennent casser cette plénitude matinale. J'ose un regard vers la source du bruit, quand ceci tombe sur la cause de celui-ci, je n'en veux plus à cette personne qui a dérangé mon émerveillement. Il est habillé de sa tenue traditionnelle noire et verte, les cheveux attacher en chignon, je ne l'avais encore jamais vu avec les cheveux attacher, ça lui va divinement bien, je crois que tous va à cet homme merveilleux qu'est Thomas.








Il brosse un magnifique cheval noir ébène, cela ne m'étonnerait pas que celui-ci soit a lui vu la couleur du pelage de l'animal et la prestance qu'il en dégage. J'aimerais bien faire du cheval un jour aussi, j'ai toujours voulu en faire, mais malheureusement ma famille n'a jamais eu les moyens pour avoir son propre cheval, j'ai donc du laisser tomber se rêve depuis bien des années maintenant, mais de voir ce magnifique cheval ébène me fait remonter ce rêve enfoui en moi depuis bien longtemps. Aurais-je peut-être l'occasion de demander cela à Thomas un jour.








amour nuancéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant