Chapitre 34 - Le cri

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Amiel

Pourquoi reposes-tu encore si belle, alors que ton sommeil est éternel ?

   Un creux immense loge dans mon cœur depuis que tu es partie, je crie pour que tu reviennes, mais c'est penne perdue. Tout cela m'a détruit.

   J'ai appris tant de chose sur toi, dis-moi, combien de fois vais-je encore essuyer mes larmes ? Et j'en rêve, le jour comme la nuit, de te revoir ne serait-ce que dans un mirage. Je me cramponne alors que tout s'effondre. Je n'arrive plus à continuer sans me morfondre.

   Ton corps au creux de mes bras, je me sens si seul...
Aujourd'hui, je crie : vie éphémère, car j'ai perdu un être cher.

PAS COMME EUX (RÉÉCRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant