Je me demande si quelque chose de grand et puissant pourrait remplir mes poumons puis les dégonfler. Qu'ils se remplissent de feu, exhalent le désir, et je sais que c'est terriblement dur de mon temps. J'ai ces pensées si souvent sombres que je devrais remplacer le son de cette petite autoradio que l'on m'a volée, et maintenant je reste assis en silence. Parfois, le calme est violent, j'ai du mal à le cacher ma fierté n'est plus à l'intérieur de ma manche et ma peau criera me rappelant qui j'ai presque tué mon frère, et que ce n'est pas dans un rêve.
Je déteste cette route que j'emprunte chaque jours, je n'ai pas à me cacher, ni à fuir, je suis obligé de traiter avec ce que je ressens. Il n'y a aucune distraction pour masquer ce qui est réel, je peux avancer sans regarder en arrière. Je me demande si quelque chose de terrifiant, cette fois il n'y a pas de son grésillant derrière lequel se cacher, je trouve au cours de l'existence humaine, une chose consistante et cohérence, et c'est moi qui lutte tous les jours contre la peur.
La peur de me faire massacrer, la peur de perdre mon frère, la peur d'être seul, la peur d'abandonner, la peur de mourir.
Il n'y a que deux choses qui marchent : la foi et le sommeil, et je dois choisir.
Parce que la foi c'est d'être éveillé et être éveillé est pour nous de penser est d'être en vie.
J'essaie avec chaque pensée de tomber avec la mort, danser un tango enflammé avant que l'on ne me jette d'un balcon.
Le mort me semble bien tentatrice ce soir, et son venin parcours les veines de mon bras grand ouvert.
Mon souffle se fait court. J'arrête d'écrire.
Je prends juste un dernier grand souffle puissant.
Au revoir.
Je t'aime Alphonse.
Je t'aime winry.— Edward Elric
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𝑈𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑓𝑓𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑒𝑡 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡
Hayran Kurgu𝐣'𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐮𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐥𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝 𝐞𝐭 𝐩𝐮𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭.