| 𝐃𝐫𝐨𝐠𝐮𝐞 𝐬𝐢𝐝𝐞~| 𝘤𝘢𝘳𝘭 𝘨𝘢𝘭𝘭𝘢𝘨𝘩𝘦𝘳

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...

moi: vous voulez combien? 1000?

garde: je ne changerais pas d'avis.

moi: 20 000?

garde: qu-quoi?! n-non..

moi: 19 000.

garde: hey tu fais quoi?!

moi: 18 000 derniere chance.

garde: ok c'est bon!

...

un jour.

c'etait le temps que j'etais resté dans cette prison de lesbienne.

je passa la grande porte menotté avec un gardien derriere moi.

on etait le soir, tout les detenues etaient dans leur cellules.

gardien: cellule 301.

il me fit m'arreter devant la porte de la cellule.

je souris quand je le vis a travers la vitre, couché dos a la porte.

la porte s'ouvrit et on me poussa a l'interieur.

il ne se retourna pas.

carl.

il ne m'avais fallu que 20 000 pour y arriver.

carl: oui? c'est pourquoi?

je m'approcha de lui et passa une main sur sa nuque en commençant a descendre sous son col.

il se retourna surpris et le fus encore plus quand il me vis.

mais pas negativement.

il me souris et attrapa mon poignet.

Il me tira avec lui et je me laissa tomber a ses coté.

tout les deux couché sur le lit du bas on regarda le plafond jusqu'a ce qu'il prenne la parole.

carl: ça ne fais qu'un jour, je te manquais deja?

moi: il faut croire.

je ricana alors que la lumiere du couloir exterieur s'eteignait nous laissant dans l'obscurité.

carl: et comment tu as fait pour te retrouver la?

moi: je vais tout te raconter ne t'inquiete pas, et j'ai beaucoup de chose a dire d'ailleur.

je me tourna vers lui et mes yeux rencontrerent les siens.

moi: alors commençons.

carl: je n'attend que ça.

moi: donc pour venir ici j'ai payé, lorsque j'etais dans le bureau de celui qu'on peu identifier comme le patron des guardes je lui ai offert une belle somme, 20 000 exactement, je les ai eu en vendant une des voitures et il m'a laissé venir ici.

carl: 20 000? je suis sur que ta voiture vallait plus.

moi: elle le vallait *rire* je l'ai vendue 70 000.

carl eclata de rire.

carl: ce mec c'est fais rouler!

je le rejoind dans son fou rire.

moi: effectivement!

Apres avoir ris un bon coup il redevint serieux.

carl: mais- ton pere n'etait-il pas sensé t'envoyer un avocat en beton?

moi: il l'etait...j'ai d'ailleur beaucoup de chose a te racconter, au sujet de ma famille...

carl: je ne jugerais pas.