Chapitre 1

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Astrée

      Les jeux de cartes on système étrange, ils donnent le plus de puissance au chiffre le plus bas, le un. Le un est de nature le chiffre qui est le plus faible, celui dont on obtient qu'un petit chiffre même quand on l'additionne avec lui même plusieurs fois. Lorsque on le multiplie avec un autre chiffre il ne compte pas, comme par exemple un fois sept donne sept, le chiffre un n'as aucun impact. Pourtant dans la quasi totalité des jeux de carte le un, l'as est la cartes la plus puissantes. Quand j'étais petite je me disais que le un avait , malgré sont handicap d'être faible avait réussi à monté dans la société des chiffres grâce à ses efforts pour devenir la plus  forte des cartes. Mon père m'appelais toujours "mon petit as de cœur" car il disait que je serais la femme la plus fortes qui allait existé. C'était un grand parieur, il aimait les casinos et passait son temps à mettre toute nos économies dans ses paris et c'est ce qui lui causé son divorce et sa mort. J'avais dix ans lorsque des policiers sont venus annoncer à ma mère que mon père c'était embrigadé dans des trafiques louche avec un gang et que c'est ce qui lui avait couté la vie. Mon père n'était pas quelqu'un de mauvais mais il était très influençable du moins c'est ce que je pensais jusqu'au jour de mes dix-huit ans, le jour qui a à jamais changé ma vie. Des hommes assez baraqué en costumes sont venu me trouver, ils étaient venu chercher leur cheffe: moi. Mon père était un grand chef de gang, les Cœurs dont le commandement se transmettait de générations en générations depuis trois générations et j'étais la prochaines. Toutes les pseudos dépenses pour les jeux d'argent n'était qu'un prétexte pour les dépenses du gang. Ces hommes avaient une lettre de mon père qui m'expliquait toute les responsabilité qui allais m'incombé, il m'affirmais que j'avais le droit de renoncé à prendre les rennes du gang car très peu de chose était légal dans celui-ci. Il disait aussi que si malgré tout je voulais reprendre ce qui était destiné à m'appartenir alors je devais être au courant de certaines choses dont son bras droit Hugo devait m'informer afin que j'en sache plus sur les vrais raisons de sa mort. Au début j'ai refusé catégoriquement d'être entrainé dans ce genre d'histoire, je voulais être avocate, j'avais toujours mis en priorité mes études pour atteindre mon objectif. J'avais tout fait pour que jamais je ne puisse décevoir ma mère qui avait tout donné pour moi. Mais la nouvelle que mon père n'avait peut-être pas été l'homme le plus égoïste en abandonnant sa fille et sa femme pour des paris débile me fis changer d'avis. En un instant je n'eut envie que d'une chose : la vérité. Tant pis les grandes études, tant pis l'images de la fille sage et ennuyeuse, tant pis la gentille Astrée, la fille-étoile de sa maman, j'étais décidé à tout faire pour venger mon père. Et c'est là que j'ai su, un nouveau gang les Piques c'était installé peu de temps après ma naissance, elle avait commencé à volé tous qui avait toujours appartenue à ma famille. Un jour il en eut assez et décidas de lancer une offensive contre elle, la guerre entre les Piques et les Cœurs éclata. Les dégâts fut terrible chacun avait des alliées haut placé dans la monarchie, des ministres, des magistrats, des avocats, les morts se comptais par centaines. Mais un jour leur gang à découvert que mon père avait une famille et menaça mon père de nous tuer si il ne venait au rendez-vous indiqué. Bien évidemment il y alla et comme il s'en doutais, il s'agissais d'un piège et les renforts qu'il avait nécessité n'était pas assez et il mourut en sauvant Hugo, qui avait quinze ans à l'époque. La vérité me foudroya le cœur, ma haine que j'avais toujours confiné au plus profond de mon cœur se révéla. Je n'était plus Astrée mais As, l'As de cœur. De là je me mis corp et âme à rebattre ce que l'absence d'un chef avait détruit. Je coupa le ponts avec mes amis du lycée car je ne pouvais pas les mêlés à toute cette folies. J'expliqua à ma mère la vérité sur mon père et lui confia que pour son bien je devais m'éloigner d'elle et même si ça lui fendais le cœur elle compris. De là, je me mis a étendre mon emprise, je repris les contacts de mon père en leur assurant que vengeance serait faite. Je pris de nouvelle recrue, d'un peu partout pour renouvelé les connaissances et étendre ma puissances. Puis je me fis craindre, je me servis de mes charmes pour atteindre mes cibles. Je menaçais les gens pour avoir ce que voulais et tuais ceux qui refusait de me suivre.  Je voulais que dans chaque rue on murmure mon nom par peur que je les prennent pour mes prochaines cibles. Je voulais que l'on sache mon retour, que quelqu'un avait repris le flambeau et que les Piques n'avait pas fini d'entendre parler de moi.

L'As de cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant