J'étire mes membres endoloris par la matière qui me sert. Je réalise que je suis allongée dans un lit, qu'une légère respiration provient d ema droite. Délicatement, je tourne mon visage pour poser mes orbes sur Dante qui me fait face, une main sous son oreiller, les yeux fermés.
Lentement, pour éviter de faire du bruit et le réveiller, je me faufile à la salle de bain dans le but de retirer ma robe qui me compresse le sang pour dormir. J'observe autour de moi, quand je vois un tee-shirt que je m'empresse de revêtir pour retourner me coucher dans son lit. Je me stop quand je prends conscience de l'endroit où je suis. Pourquoi suis-je là et non dans ma chambre?
Je ne sais que faire, mais j'écoute ma raison qui me dit de fuir mais mon coeur, lui m'ordonne d eme glisser dans le lit de Dante, de trouver le réconfort dans ses bras. Je me glisse lentement dans le lit, libérée de toute matière oppressante,
-Mon tee-shirt est plus sexy sur toi! M'informe sa voix rauque alors qu'il glisse une main sur mon ventre, cette satané sensation dans le creux de mon ventre revient aiguisé le désir qu'il me fasse l'amour. A quoi penses-tu Gemma?
JE le regarde en lui offrant un sourire éphémère, je sais que lui et moi s'est qu'une aventure , dans quelques semaines, je retrouverais ma triste vie de fleuriste, je recommencerais à chercher des solutions pour garder le magasin loin de la faillite.
-A nous, confié-je en me blottissant contre lui.
-Pourquoi penses-tu à cela? Sa voix est si suave qu'un frisson parcourt mon échine. Dis moi réellement à quoi tu penses? Ses lèvres se déposent sur la peau de mon cou, réveillant le désir de lui appartenir même si lui et moi ce n'est que temporaire, je veux qu'il soit le premier à faire de moi une adulte à part entière, je veux graver se moment dans ma mémoire.
-Je... commence-je en me tournant pour lui faire face, lui offrant un regard, qui , j'espère parlera pour moi. Dante, susurré-je en posant une main sur sa joue, je veux le faire avec toi, je veux t'appartenir entièrement, cette nuit, confesse-je tout en sentant le rouge empourprer mes joues.
Dante se place au-dessus de moi, les deux mains autour de mon visage.
-Tu es sur Gemma? J'acquiesce en lui souriant timidement. Ses lèvres se scellent aux miennes m'offrant une promesse de douceur.
Tout en se plaçant à genoux autour de mes cuisses, il dépose tendrement ses mains sur mes bras, il lève mon buste tout en s'assurant de ne pas brusquer ses gestes, il est doux, attentionné. Son regard brille de miles éclats. D'un geste précis, il retire mon tee-shirt qu'il balance au loin, s amain ancrée dans mon dos m'attire vers lui, nos lèvre se collent, mes doigts se glissent sur son torse, savourant la dureté qui habite sous sa peau.
-Allonge toi, murmure t'il en se levant devant le lit. Ses doigts remontent mes chevilles traçant un sillon de douceur jusqu'à l'orée de ma culotte qu'il s'empresse de retirer. Je relève mon visage pour le regarder, cet homme est un roc, ses doigts retirent son boxer dévoilant à mes orbes gourmands, un membre qui me parait puissant, autoritaire tout comme Dante.
J'ai peur, peur d'avoir mal, de saigner et de tacher son drap qui doit coûter une fortune. MAis le gémissement que je pousse efface toutes ses pensées, vidant mon esprit par la vague de plaisir que mon amant m'inflige sous ses coups de langues entre mes cuisses. J'halète par la déferlante qui me projette à mille lieux d'ici. Ses doigts jouent un tempo si précis que mes cris s'accordent avec l'accord qu'ils jouent. JE suis poupée de chiffon entre ses mains, totalement soumise à ses moindres désirs. Ma main tire ses cheveux alors que l'autre tire sur le drap, mon corps ne me réponds plus, il obéit à la jouissance que je laisse évacuer de mon corps, les spasmes que j'offre à Dante ne l'empêche pas de continuer à sucer mon clitoris me volant des râles profonds, à infliger par ses doigts, un léger va et vient dans mon intimité .Je sens la fin arriver, les battements de mon cœur résonnent dans ma tête, des millions de fourmis paralysent mon corps, je ne crie pas, mais hurle d'un plaisir foudroyant en sentant couler mon plaisir entre mes cuisses, Dante s'approche de mes lèvres, je ne contrôle plus mon envie, je place mes mains en coupe sur son visage et je l'embrasse sans honte, sans retenue, désirant goûter mon plaisir, rendant ce moment encore plus sensuel.
Il place un préservatif sur son sexe tout en m'observant, les yeux plissés, il se place à l'entrée de mon tunnel, j'appréhende mais je sais qu'il ira doucement car il sait que je suis vierge. Lentement il mène son membre qu'il glisse à l'intérieur, son premier coup de reins me perturbe, cette douleur tant redouter est là, crépitant à l'intérieur de mon corps, vacillant contre les parois de mon vagin.
-Gemma! Gronde t'il en ancrant ses iris aux miennes, tu es vierge? sa voix est paniquée, déstabilisé par ma pureté.
-Ne t'arrête pas, je t'en supplie, implore-je sous son baiser brûlant de désir, il force le passage, la douleur s'impose férocement quand il est en entièrement en moi. Mon visage est contre la peau de sa clavicule, il ne bouge plus, laissant mon tunnel effectuer les travaux pour s'élargir. Je bouge lui demandant de reprendre en moi, de me mener là où nul autre ne pourra jamais me conduire. Ses coups de reins deviennent puissant, mes doigts ancrés dans la peau de son dos le marque, je suis furie, totalement abandonnée dans la jouissance , il lève une de mes cuisses, s' enfonçant plus profondément, butant ma matrice. Je pleure tant le plaisir est incommensurable, tant l'amour qu'il m'offre est puissant.
Je jouis en symphonie avec Dante, qui se pose sur moi en coinçant mon visage en coupe, il m'embrasse, mélange nos langues.
Lentement, il se retire et balance la capote au sol avant de me serrer dans ses bras.
-Tu aurais dû me le dire Gemma, j'aurais agit en conséquence. J'ai dû te faire mal, j'ai... se confit il en embrassant l'arrière de mon crâne.
-Je croyais que tu le savais, confesse-je alors qu'il me passe par dessus pour se placer face à moi.
-Est-ce que je t'ai fais mal? S'inquieta t'il en caressant ma joue.
-Non, jure-je en lui volant un baiser qui le fait sourire. La douleur est éphémère Dante. Et moi, t'ais-je fait mal?
-Crois moi, la seule douleur que tu m'as infligé ce soir, c'est celle de ne pas avoir su que tu étais vierge. Mais au-delà de cela, j'ai eut un plaisir si puissant à te faire l'amour, que mon membre en palpite encore , avoue t'il en collant mon front contre son torse.
JE glisse une main sur son flanc effectuant des cercles du bout de mes doigts sur sa peau, je sens le sommeil m'emporter, je tente de résister pour savourer la chaleur de Dante, mais Morphée est là devant moi m'emportant avec lui dans le pays des songes, m'éloignant de l'homme que j'aime depuis mes seize ans, de l'être qui m'a sourit dans le hall de mon lycée.
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L'italien
Random"Deux forces diamétralement opposées, une dualité inéluctable. Lui, l'incarnation du mal, la nuit, l'ombre. Moi, le défenseur du bien, le jour, la clarté. Nos chemins n'étaient jamais destinés à se croiser, jusqu'à ce qu'une mauvaise interprétation...