Chapitre 2 : NUMÉRO INCONNU

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Andréa

Descendre les escaliers en cachant pertinemment que quand vous allais passer la porte d'entrée ce soir vous retournerai plus avant longtemps est dure à imaginer.

J'ai toujours vécu ici au manoir mais hier était la dernière nuit que j'ai passé dans cette maison, la maison de mon enfance, la même maison ou ma mère est morte...

Ma mère, de là où elle est, j'espère de tous mon âme qu'elle soit fière de moi, si je ne me suis pas barrée de cette vie sombre c'est bien grâce à elle. Sans sa dernière volonté de nous voir continuer la lignée des Ferrari avec Max, je serai partie au moment où elle était six pieds sous terre. Mais une promesse est une promesse et je me dois de l'honorer pour elle.

Arrive en bas nous entrons dans la salle à manger, toujours au bras de Max, mon cœur est prêt à exploser tellement il bat vite, vous ne vous imaginez même pas à quel point je stresse à ce moment précis, mais étant une fille impassible je ne laisse paraître aucune émotion, le visage neutre.

La première tête que je vois et celui de mon père assis comme à son habitude au bout de la table. Je continue de m'avancer dans la pièce et le vois. A cet instant les discussions s'arrêtent net et ils tournent la tête vers nous.

Leonardo : Mes trois enfants réunis, s'écria mon père

A cet instant mes yeux ne quittent pas d'un instant les iris Azur devant moi. Quand il commence à me détailler de la tête au pied je me permets de faire de même. Il est vêtu d'une chemise noire qui mettais en valeur ses muscles et d'un pantalon de la même couleur, il a les cheveux noirs, ses petites boucles tombent sur le haut de son front, son visage était un ouvre d'art, la mâchoire care, sans barbe est une beauté divine si je l'avais vu en photo j'aurais sûrement bavé mais vu qu'il me regarde je vais éviter, je ne veux absolument pas qu'il voit qu'il me fait de l'effet. 

Cet homme assis à deux chaises de mon père va être mon mari. Cet inconnu fera partie de ma vie jusqu'à-ce que la mort nous sépare. Bien qu'il soit bien bâti, je n'en oublie pas le fait que je ne le connais pas, il reste tout de même un inconnu à mes yeux.

Leonardo : Mia je te pressante Carter Mateo Belmonte et Belmonte je te pressante ma fille Andrea Mia Ferrari tu connais déjà Max et la petite ses ma petite dernière Valentina Lia Ferrari, dit mon père un se levant.

Belmonte ? le chef de la mafia espagnole!

Pourquoi ça m'étonne ? il sera toujours le même bâtard qui nous utilise à son avantage.

L'inconnu ce lève à son tour, se dirige vers nous ou plutôt plus vers moi est comme tout femme respectable je lui tends ma mais qu'il prends et se panchre pour y faire la bise.

?? : Matéo est plus simple

Moi : Andréa

Il se relève en me regardant droit dans les yeux, il me tandis son bras que je prends et il me ramène à table. Je suis à droite de mon père et Max à sa gauche, j'ai l'inconnu...a non c'est Mateo à ma gauche et Valentina est assise sur sa chaise haute à la gauche de Max.

Pendant le repas Max, Mateo et mon père parle d'affaire, je ni prête plus d'attention bout d'un moment et préfère regarder Valentina joue avec ses frites. 

Une petite vibration dans mon sac, qui était sur mes cuisses, me sortit de ma contemplation. Je sorti discrètement mon téléphone, en l'allument je m'aperçois que j'ai reçu un message que je décide de ne pas ouvrir maintenant, mais une deuxième vibration retenti et je décide d'ouvrir le message 

Un Amour Qu'il Croyait ImpossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant