"Mon dieu que la solitude me pesait, j'aurai voulu me jeter la tête contre les murs, hurler ma peine, et écrire mes défaites face à ce monde aveugle. Louis était la seule personne qui avait su me comprendre sans que rien ne soit laissé au hasard, sans qu'aucun mots ne sortent de leur contexte. Brave garçon il était. Il avait tout pour lui, si on regardait de l'extérieur. Vous savez il n'était pas méchant, insolant et blessant mais pas méchant. Il était bon et adorable quand on savait le respecter. Louis savait comprendre tout le monde, mais personne ne pouvait le comprendre lui-même. Il était le malade qui soignait les autres. Il prenait tellement soin de nous qu'il nous en faisait mal. Louis était un vrai ami, nous laissant faire nos propres erreurs et nous ramassait quand il le fallait. Il nous a rendu dépendant de lui, entièrement. Parce qu'il nous a sorti de notre petite bulle de mal être, la faisant éclater et propager toute cette souffrance et haine au sein de notre petit groupe de pote. Il nous a tous aidé, tout le temps, toujours. Mais il y avait un ingrat. Zayn. Il admirait tellement les exploits de Louis qu'il le haïssait. Voulant prendre sa place. Essayant de montrer que lui aussi il pouvait faire mieux. Cela faisait longtemps que j'avais remarqué à quel point Zayn était envieux de Louis. Toujours à le charrier sur multiples sujets pour le pousser à bout jusqu'à ce qu'une dispute éclate. Alors c'était un combat de chien à chaque fois qu'ils étaient dans la même pièce, mais rien empêche que l'un tenait à l'autre. C'était un cercle vicieux ou encore une fois Louis était roi, et c'est ça qui rendait fou notre pakistanais. Zayn se persuadait de son effet sur les gens, pourtant aux yeux de Louis il n'était rien, et ça, seul Zayn n'en avait pas conscience. Alors oui c'était hilarant de les voir se hurler dessus pour une broutille, mais c'était encore plus hilarant de voir Zayn perdre le contrôle au point ou il cherche la moindre faille de Louis, jours et nuits. Et un beau matin, après maintes discordes, une réflexion monstre, il l'a trouvé : Harry. C'est donc avec un ego surdimensionné qu'il faisait mal à Louis, comme ce-dernier avait pu aider Zayn. L'élève dépasse le maître, sauf qu'encore une fois Louis était un cas à part, alors les coups de Zayn auront beau être fort, c'est toujours Louis qui gagnera, parce qu'après tout, un vainqueur est celui qui sait souffrir." -Liam Payne.
N A R R A T E U R
Après un temps, par la force des chose les cinq démons avaient dû se réunir dans la salle du châtiment pour punir un des habitants du monde des ténèbres.
Le trône du Maître était au milieu de l'immense pièce, les plafonds étaient hauts et la lumière absente, ou la seule odeur présente était celle de vos erreurs.
Liam, Zayn, Niall ainsi que Harry étaient déjà installés au côté du trône sans réellement savoir pourquoi ils avaient été convié à venir dans la salle la plus redoutée du royaume, plus bas devant eux se présentait un jeune homme reconnu bien vite par les quatre autres démons : Evan.
Louis fit son entrée dans la pièce un sourire malsain aux lèvres, il vint s'asseoir sur son trône, ses quatre amis le regardèrent comme pour lui demander la raison de leur invitation, Louis leur gratifia juste un regard noir, les obligeant à baisser les yeux. Et c'est quand la voix du Maître résonna dans la pièce qu'Evan se permit de croiser le regard de celui qui lui dictait ses lois.
-Evan.. Quel triste jour pour toi. Commença Louis souriant. Evidemment tu connais la cause de ta venue.
-Non Maître. Bafouilla le pauvre garçon.
-Grand Lucifer! S'exclama Louis en se tournant vers Zayn. Enfin un démon respectueux qui me nomme par la désignation qui me convient. Rit-il provoquant avant de se reconcentrer sur Evan. Tu as enfreint les règles du livre noir. Dis moi qu'est ce qui t'as prit de tuer une personne chez les mortels sans mon accord ou celui de l'ange Harry? Demanda-t-il faussement indigné.
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death dark
FanfictionLes heures, jours, mois et années ne comptent désormais plus lorsque votre âme appartient aux ténèbres. Le temps ne signifie plus rien, lorsque c'est lui qui vous a tué.