Prendre vos cœurs | one piece x reader |

| Marco | Draps froids | F |

752 Mots.
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Froid. Froid. Froid. Froid. Froid. Froid. Froid.
Froid, était le seul mot qui parcourait ses pensées a l'heure actuelle. La jeune femme était étendue dans le lit qu'elle partageait avec son petit ami. Enfin, qu'elle était sensée partager avec son petit ami. Mais celui-ci semblait préférer la dureté de sa chaise de bureau à la douceur de son lit.  

- Marcoooooo. Grincha-t-elle. Rejoins moi.

- Non T/P j'ai du travail à faire.

La prénommée regarda l'heure, il était une heure du matin, et elle savait que le paternel n'obligerait jamais son fils à terminé un rapport ou une carte en urgence sachant que celui-ci loupait déjà la plus part de ses nuits à cause de tous les blessés qu'il y avait eu à l'infirmerie dernièrement.

En effet, ils avaient essuyé une petite victoire face à un commodores de la marine, petite car la ruse qu'avait employé celui-ci avait fait beaucoup de blessés au seins de l'équipage, donc on ne pouvait pas dire qu'ils avaient gagné haut la main.

Mais il était hors de question pour la femme que son homme la laisse s'endormir dans des draps froids et solitaires une fois de plus. Même si le pire était le matin, quand elle se réveillait et qu'il était déjà parti depuis un bon moment, elle ne supportait plus de voir son copain seulement quand il lui donnait des ordres, vu qu'il restait son supérieur.

Alors décidée, elle quitta les draps qui l'enroulaient, et rejoignit l'homme qu'elle observait depuis maintenant deux heures. Elle passa ses bras autour du coup de son phénix et lui chuchota a l'oreille.

- Tu es sur que tu ne veux pas me rejoindre Marco ? Pourtant il me semble que tu as déjà pu remarquer à plusieurs reprises que la chaleur qui peut émaner de nos draps est bien mieux que celle de ton bureau.

Ô il savait ce qu'elle était en train de faire. Et il était même en train de penser à la chose la plus hideuse au monde afin de garder un self-control sur lui-même. Il ne sût pas pourquoi, mais l'image de Big Mom portant un string lui vint en tête, ce qui lui fit esquisser un sourire.

- Alors ? Tu repenses à ma proposition pour que ça te fasse tant sourire ?

- Non, j'étais juste entrain de me demander comment faisait Big Mom avec tous ses maris.

Autant elle aurait pu mal le prendre qu'il pense à une autre femme qu'elle après les avances qu'elle lui avait fait, autant elle ne pu que sourire à l'imagination de ceci. Puis, elle était contente que Marco soit plus détendu et tente des blagues avec elle. Après tout elle avait mis du temps à gagner le cœur de ce pirate.

- Aller assez travaillé ! Tu viens rejoindre ta belle femme qui est fatiguée d'avoir attendu son homme toute la soirée.

L'oiseau bleu se résigna et la rejoignit, il avait assez travailler et l'avait assez fait attendre pour aujourdhui. Alors lentement, ils se glissèrent dans leurs draps afin de les réchauffer.

Les minutes passèrent et ils parlèrent de leurs journées et de ce qu'il se passait dans le monde. Notamment du jeune pirate enflammé qui voulait la peau de leur capitaine, cela faisait bien rire la femme, ce gamin croyait vraiment qu'il pourrait tuer l'homme le plus fort du monde avec la bougie qu'il avait au doigt ?

- Ne te moque pas T/P... Il est plus fort que toi. La taquina-t-il.

- Alors là je suis outrée ! Comment oses-tu dire ça, à moi, là personne qui te fait concurrence jusqu'à la fin d'un baril de rhum ?

- Je ne parlais pas de ta capacité à boire... je sais bien que tu rivalises avec moi.

- De toute façon s'il rejoint l'équipage je le jette à la mer.

Puis elle se retourna, comment avait-il osé douter de ses compétences ? Certes elle n'était pas très forte, mais ses aiguilles de médecin faisaient peur aux plus courageux des hommes.

- Aller boude pas T/p.

Il accompagna ses mots de gestes, laissant son bras aller chercher la couette pour la recouvrir, il connaissait sa femme grande frileuse donc il se devait de lui apporter toute la chaleur qu'il lui manquait. Alors comme chaque nuit, même si elle était habituellement endormie, il embrassa son front et remis la couette sur ses épaules.

- Tu ne gagneras peut-être pas la guerre face à lui, mais dans mon cœur tu as déjà la première place.

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J'ai trouvé ça perdu dans mes brouillons datant de juin

Oupsi :3