Khadija: Le destin va-t-il me sourire !?

partie 60.

Salam.

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La femme, un être divin.........

La vie reprenait petit à petit son court, Khadija s'était complètement remise de la mort de sa grand-mère.

Mais un événement l'attendait, une joie allait exploser dans sa petite famille.......

L'imam appelait à la prière. Je me réveille difficilement et vais voir si les enfants sont réveillés. Je les ai trouvé avec leur père boudant comme pas possible. Il galerait avec eux. C'est toujours comme ça, ils n'aiment pas se réveiller ces petits.

Mohamed: je ne badine pas, vous allez...

Moi: doucement bébé, laisse moi faire.

Lui: à force d'être douce avec eux ils deviendront des filles..

Moi: la manière forte aussi ne résout rien des fois.

Lui: ça marche toujours avec moi.

Moi: ne transforme pas mes enfants en grincheux dès leur bas âge stp.

Ah oui, il les entraînait bien mohamed et je voulais pas ça moi. Sinon il leur apprend la boxe, c'est logique svp!?

Il me regarde de travers et vas vers la salle de bain faire ses ablutions..

Je leur caresse les cheveux : on va faire nos ablutions !? C'est Fajr allez...

Ils finissent par céder puis nous allons faire nos ablutions. Ça va maintenant ils se débrouillent bien avec les ablutions..

Je vous jure, il n'y a pas plus bien que d'avoir un partenaire qui te guide vers allah, qui t'aide à te rapprocher de ton créateur. C'est primordial avoir un père exemplaire pour ses enfants. J'étais restée les regarder apprendre les belles paroles d'Allah en imitant la voix de leur père.

C'était dimanche et nous étions tous réunis à la maison. Ma petite famille était au complet. Je décide de faire une petite journée party. Avec l'aide de Anta, je fis des petits gâteux, de la lasagne bolognaise et du jus d'ananas.

Dans le jardin on dispose sur une table ronde composée de 6 chaises tous les plats. Une fois la table remplie, je retourne en cuisine servir ismael et ses collègues.

Je m'habille ensuite d'une longue robe violet aubergine évasée, manches moyennes. J'attache mes cheveux cheveux chignon bas et place mon voile, on sait jamais quelqu'un peut venir...

Je descends difficilement vers le jardin et y trouve mon mari et les enfants. Ils discutaient de je ne sais quoi.

Moi: de quoi vous parlez comme ça!?

Eux: rien...

Ils sourient. Je sais qu'ils cachent quelque chose.

Moi: bon d'accord....

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Moi: non ça va.

Mohamed: t'es sûre!? J'peux pas te laisser dans cet état.

J'étais oui à terme. J'avais de fortes contractions c'est hard. Je transpirais de partout.

Moi: je pense qu'on doit aller à l'hôpital.

Lui: d'accord je préviens tata Awa et maman.

Je hoche la tête, 10mns plus tard je pouvais plus tenir sur pieds. J'avais excessivement mal mais il me restait peu de force pour réciter des invocations et les enfants qui pleuraient. Je finis par m'affaler sur le salon.