Chapitre 4

232 18 6
                                    


Haryyyyyyyyyy

Ho non pas encore, pitié, pas maintenant

Je refusais d'ouvrir les yeux, de laisser place à l'horreur, ces visions cauchemardesques.

A chaque fois le même schéma, les cris, les hurlements, les supplications, les pleures, le sang, et j'en passe.

Voldemort me parlais mais je n'écoutais pas, il me frôlait mais je ne bougeais pas, il me torturais mais je ne criais pas.

J'avais mal, je savais que ce n'était qu'une vision pourtant je ressentais la douleur dans chaque parcelle de mon corps, dans chaque cellule de mon corps, je voulais hurlais, pleuré, ou au moins me défendre mais rien, mon corps restait statique et impossible s'ouvrir la bouche.

Je me trouvais ici sans vraiment être ici, puis quand il se lassa de moi, il s'attaqua à l'homme devant moi, ce dernier me regarda, planta son regard larmoyant dans le mien, me suppliant de l'aider, de lui prendre la main, de le rassurer.

Son regard disait tous et rien a la fois, il était vide et rempli à la fois, ses émotions passait devant ses yeux tout comme elles disparaissent sous la douleur.

Mais je me contentai d'observer cette scène, comme ci je n'étais qu'un autre de ces effroyables partisans, que moi aussi j'avais cette marque sur le bras, cette marque qui évoquait l'enfer.

Voldemort éclata d'un rire glacial, chaque son qui sortait de sa bouche me provoquait un frisson, hérissant chaque poiles présent sur ma peau.

Et c'est quand un sifflement sortis de sa bouche que je plaqua mes mains sur mes oreilles, son fourchelangues était tellement parfait, tellement strident qu'il aurait put tuer quelqu'un rien qu'en lui faisant exploser les tympans.

Voldemort : harrryyyyyyyy regarrreddeee à quelle point tu est faibleee, regarde à quel pointt ton statut d'élu n'a aucune significationnnn, tu aurais pus sauver cet homme si tu en avais vraiment envieee, et tu le saissss, au font de toi tu aimeeee cette vision pas vrai ? Tu caches au fond de toi une chose terrible, une chose dont nous avons connaissance tous les deux pas vraiii haryyyyyy ?

Il s'approchait de plus en plus de moi et au fur et a mesure qu'il me parlait, sa voix ne devenait plus qu'un murmure lorsqu'il passa derrière moi, sentant son souffle froid me frôlait.

Harry : je...non..vous vous trompé

Je n'en pouvais plus, j'étais à peine contiens de ce que je racontais, je voulais juste en finir, pouvoir regagner mon dortoir sans douleur, sans larmes.

Voldemort : allonnns mon garçonnn, a ton avis pourquoi somme nous relier hein, pourquoi est-ce que j'arrive si bien à pénétrer dans ta tête, à prendre possession de tes pensées, de tes émotions, de tes sentiments ?

Harry : je...je ne sais pas !

Je criai presque a présent, la pression dans ma tête se faisait bien trop présente, bien trop douloureuse

Voldemort ria à nouveau et un immense frisson me parcoura en entier, me plongent dans un froid glacial.

Voldemort : les ténèbres Harry, nous partageons les mêmes ténèbres, enfouie au plus profond de nous, j'ai tenté de les renier tellement de foi Harry et regarde ou j'en suis, cesse donc de les cacher dévoiles donc au monde entier à quel point tu es rempli de noirceur.

Les larmes dévalaient mes joues à présent, la douleur était tellement intense que j'avais l'impression que j'allais exploser, me fendre en deux, me briser en mille morceaux.

Je sais que je m'étais promis de ne pleurer devant personne, jamais, mais pouvait-on vraiment considérer le plus grand mage noir de tous les temps comme un humain, une personne doté d'un cœur ?

Mon sauveur (drarry)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant