Le coup m'arriva en plein milieu de la poitrine, puis sur mon œil, sur mon nez. Je suffoquais à la recherche d'air, mais je ne pleurais pas, il n'en était pas question. Je m'étais fixé une règle, ne jamais pleurer en présence de quelqu'un. Car ça nous rendait faible, les gens ne savaient jamais quoi dire pour te consoler et ils te prenaient en pitié.Vernon : sale monstre, ne voit tu pas que personne ne s'intéresse à toi ? Tu mérites ce traitement.
Je ne répondis pas, ça n'aurait servi à rien a par lui donner une autre excuse de me frapper.
Vernon: Tu ne me réponds pas? Très bien, dis moi, ou est ce qu'ils sont tes amis hein ? Ou est ce qu'ils sont ? Je n'ai pas vue de chouette moi, et toi ? Peut-être qu'ils ton oublié, ou qu'ils ont compris que tu était juste une ordure qui faisait pitié, qu'ils en on eu marre de toi.
Me dit-il avec un grand sourire, sûrement en espérant que je craque.J'avais mal, très mal, tout mon corps me lancer et j'avais du mal à respirer. Mais le pire était la douleur interne, car une blessure physique ça se soigne, la douleur diminue petit à petit, contrairement à une blessure psychologique, elle, elle te ronge, te brise à l'intérieur, et il n'existe aucun remède pour la soigner, a par peut être le temp.
Alors j'endurais, en priant pour que ce supplice prenne fin le plus vite possible . Cette famille ne m'avait jamais aimé, et cela ne changerai sûrement jamais.
Mon oncle et ma tante m'on recueilli lorsque j'avais un an. Enfin recueilli est un bien grand mot, en réalité il n'ont pas eu le choix lorsqu'il m'on trouvé sur le pas de leur porte avec seulement une lettre leur disant que mes parents étaient décédés.
Au début il m'ont juste méprisé,faisant comme ci je n'existais pas.
Puis à l'âge de cinq ans, ils s'étaient dit que je pourrais être utile en tant qu'aide comme ils le disaient au début. Mais ils se sont vite rendu compte par la suite qu'ils pouvaient très bien m'utilisé pour tous faire dans la maison sans rien en échange. Ainsi, je me suis retrouvé à tout faire dans la maison à l'âge de 7 ans. Je ne mangeait que les restes et je n'avais jamais goûté à une sucrerie. Ils aimaient me donner des punitions pour un rien. Par exemple, une fois, j'avais sans faire exprès rétréci un teeshirt que je ne voulais pas porter et je m'étais retrouvé privé de nourriture pendant une semaine, alors que je n'avais absolument rien fait, c'était la machine à laver qui l'avait rétréci ! Mais ça ne les avaient pas empêchés de me traiter de monstre.
Ainsi j'étais très maigre pour mon âge contrairement à mon cousin Dudley qui lui, était très gros pour son âge.A l'âge de onze ans, lorsque j'ai reçu ma lettre pour poudlard, leur haine pour moi c'est intensifiée mais je m'en fichais puisque je ne retournerai dans cette maison seulement deux moi pas an. Bien sûr il fallait qu'ils fassent de mes deux moi de vacances un enfer au point où j'attendais avec impatience la reprises des cours. Ce n'est qu'à l'âge de treize ans que ma vie dans cette maison a commencé à devenir affreuse. En effet, après avoir eu connaissance de mes pouvoir magique, ils avaient peur de moi, peur que je leur jette un sort. Ainsi, ils me laissaient tranquille. Or, ils après avoir appris que j'avais interdiction de faire de la magie en dehors des cours, ils ont attendu avec impatience mon retour de deuxième année pour se défouler.
Je me souviens de mon retour, ils m'avaient attendu tout sourire à la gare et je ne m'étais pas méfié. Mais quand on avait passé le pas de la porte, mon oncle Vernon m'avait attrapé par le colle et m'avait jeté contre un mur. Je l'avais regardé abasourdi et son sourire c'était agrandi. Il m'avais par la suite frapper tellement de fois et tellement fort que je m'étais évanouie. Ce n'est qu'une fois réveillé que j'avais compris que ma vie était devenu un véritable enfer, un enfer encore plus sombre qu'il ne l'était déjà.
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Mon sauveur (drarry)
FanfictionQue ce passerait t'il si Harry Potter était à bout mentalement, qu'il souffrait mais que personne ne s'en soucierait ? Après tout il est le sauveur non ? Il est forcément heureux. Alors il se cache, la nuit ses yeux sont inondés de larmes tandis qu...