Mon sauveur (drarry)

Chapitre 12

Alors que je montais dans la tour d'astronomie, je sentis mon anxiété grandir en moi.

Je respira un bon coup, tentant de me rassurer tous seul et entra dans cette tour, affichant une mine sereine.

C'est Drago qui me vit approcher en premier et je sus quand je vis sa mine triste que je n'allais pas aimer ce qu'il allait me raconter.

-Drago...murmurai-je pour moi même.

-Harry écoute moi !

Je leva mes yeux, rencontrant les siens, et attendit en silence se qu'il voulait me dire.

L'aire était certes froid dehors mais je pouvais sentir les frissons qui me parcourait malgré mon pull.

J'entendais mon cœur qui battait a toute vitesse dans ma cage thoracique,

Il évitait mon regard, comme s'il culpabilisait, mais pourquoi ?

-Drago ?

-Harry écoute, je...t'aime...

Je le regardais avec une mine d'incompréhension, pourquoi cette mine triste ? Mais je le laissais finir.

- je...on ne peut pas sortir ensemble !

A présent j'étais totalement perdu, pourquoi ?

Et comme si ce dernier pouvait lire dans mes pensées, il m'expliqua sa réponse,

-je suis un mangemort et toi le survivant, tu es un peu comme le gentil et moi le méchant, notre histoire ne pourra jamais marchait...

J'eu l'impression de recevoir un coup de point dans le ventre, je sentis mes yeux me piquais et je savais que si je prononçait un mot je ne pourrais les retenir plus longtemps,

Mais quand je vis le regard brillant de Drago j'eu un nouveau pincement au cœur, il avait vécu tant de chose dans sa vie, il...nous méritions d'être heureux, mais c'était impossible.

Au fond de moi je le savais, mais je voulais y croire, croire que je goûterais enfin au bonheur...

Alors j'enfouie mes yeux dans les siens et lui répondis,

-je...je comprends. Et sache que je ne t'en veux pas de prendre cette décision, j'aurais sûrement pris la même. Peut-être qu'un jour nous serions heureux ?

Je senti mes yeux me piquaient de plus en plus, mes paupières tremblotaient et je plantais mes ongles dans la pomme de ma main, tentant de me concentrer sur cette douleur plutôt que celle qui se situait à l'intérieur.

- peut-être qu'à la fin de la guerre nous pourrions reconsidérer cette discussion ?

J'eu un maigre sourire face a sa proposition,

Je ne sais pas s'il l'avait dit pour lui ou pour moi, mais ça m'avait redonné de l'espoir,

Enfin c'était si nous survivions tous les deux bien sûr, et ça, je n'y portais pas trop d'espoir.

Nous nous regardèrent une dernière fois, plongeant chacun notre regard dans l'autre, admirant l'émotion que nous transmettions.

Et je parti sans un regard, ne sachant pas si j'arriverais à retenir les larmes qui menaçaient de coulé à tous moments.

Et alors que je tournais dans un des vouloir du château, je fut pris de vertige, et une immense douleur sonna dans ma tête,

-harrrryyyyyy,

Je me retourne avec horreur, je voulais croire que c'était quelqu'un qui se moquait me faisait croire que ce n'était qu'une mauvaise blague, mais il n'y avait personne, juste le Lord Voldemort qui prenait lentement possession de moi.