7)LA REMISE EN CAUSE DE LA LUCIDITÉ DE SAMBA

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Fraîchement sorti d'un week-end disons pas comme les autre, d'une part, il s'était bien amusé avec Samir et d'un autre part , la petite échappée en famille à gorée qui lui avait fait beaucoup de bien , Samba , le lundi avait rejoint l'enceinte du lycée. Comme de coutume il s'était assis seule sur une table banc qu'il partageait au paravant avec Zakaria.

À 8h, la salle était pleine , Samba demeurait  sous l'emprise prenante de ses songes convergeant tous vers le double de Zakaria. Toute cette histoire était tellement chimérique qu'il se disait s'il n'était pas entrain de rêver . Les notions même de " sorcier" " de magie " " de voyage dans le temps " " de royaume perdu " tout cela ne lui disait rien qui vaille .
On a  l'impression qu'un dérèglement avait eu lieu produisant un enchevêtrement de l'irréel avec le réel .
Deux dimensions qu s'entrechoquent .

C'est sur tout ça que se bornait de réfléchir samba jusqu'à ce qu'il reçu une barre de craie en plein visage tomber d'il ne savait où.

Mais il n'eu pas à chercher bien longtemps quand il remarqua son professeur de Français à ses trousse .

__M.Fall, puis -je savoir ce qui ne vas pas ce matin . Pourquoi êtes vous absent ?
Demande le professeur à Samba.

D'ordinaire, il n'aime pas être brutal avec lui du fait qu'il fait parti de ses meilleurs élèves .

__ Je m'excuse pour mon comportement, c'est juste que je n' ai pas bien dormi hier soir .

__Ça se voit avec la tête que vous avez . Puis je vous donnez un petit conseil : ne vous embrouiller pas trop avec les études. Apprenez à vous reposer si vous vous senter exténué. Ça ira mon chér...courage , bientôt les vaccances. Je tenais aussi à te présenter mes sincères condoléances pour la perte de ton ami . Je sais que son décès vous affecte énormément.

__ Merci Monsieur Kâ  , je ne sais pas vraiment comment aborder le sujet , tout est aller si vite .... bref , je fairais de mon mieux pour finir l'année en beauté. Mes humeurs ne doivent pas porter ateinte à mes études vous avez raison, je suivrai vos conseils bienveillants.

Monsieur Kâ fut flaté par les propos de son éléve . Vérifiant sa montre , il eu conscience qu'il ne lui restait pas beaucoup de temps, alors il reprit son air sérieux et continua ses explications conscernant la leçon portant sur la négritude .

Samba regardait les mouvements des lèvres de son enseignant et le geste de sa main qui écrivait sur le tableau sans en faire véritablement attention , en réalité comme l'on dit , voir et regarder sont deux choses différents. Samba avait beau prêter son regard sur M. Kâ, mais il voyait à sa place Samir exactement de la même façon quand il lui narrait son incroyable histoire dans le monde des sorcier .

La concentration était devenu un reél problème pour le jeune adolescent. Il en fut ainsi jusqu'à la descente .

Les professeurs s'étaient succédés parlant sans que Samba ne les entendent comme s'il avait été ateint d'une maladie de l'ouï .

C'est sûr que ce jour là si vous l'aviez demander qu'a t- il retenu de tout les cours qu'il a gober . Il vous répondrez  " rien " .

À la sortie des classe , il chemina seul et ateingnit quelques minutes plus tard l'arrêt de bus . Comme il se doit , il salua tout ceux qu'il trouva sur place , certains lui rendirent son salut tandis que d'autres restaient silencieux. L'attente esquintait Samba qui aller s'escamper si un bus ne s'était pas arrêter devant la ligne horizontale qu'il formait avec les autres personnes . Un jeune homme maigre , portant des habits usés et sales , se chargeait de la clientèle qu'il accueillait dans le véhicule avec un peu d'attention , la cigarettes porté à ses lèvres minces et noircies par l'usage de cette drogue excitante et populaire.
Samba dans la voiture était debout entre deux gros gaillards qui levait leurs bras faisant ainsi paraître leurs aisailles puantes , il faillit s'évanouir à cause de cette puanteur qu'il respirait. Le bus faisait des bonds , des secousses qui passait les passagers les uns dans les bras des autres .  un peu gênant , ça l'était de s'enlasser comme ça involontairement . Raisons pour la quelle dés qu'ils le pouvaient , ils se repoussaient réciproquement avec du dégoût. Surtout s'il s'agit d'un homme et d'une femme, cette entrée en contacte était impudique.
"Vraiment c'est du n'importe quoi , on se demande si c'est une voiture ou un sac de ferrailles"grogna intérieurement notre jeune ami .
Pour ce dernier, qui s'était retrouver en contacte avec les aiselles d'un des grands gaillards puants lors de la secousse de la voiture ; ne cessait de vomir lorqu'il fut hors du véhicule. Rien que d'y penser lui donnait de la nausée .

HÉRITAGES De Deux SosiesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant