●●●●●●● MARIÉME ●●●●●●●●●
Je débarque de ma voiture devant les ruines de la maison de mon defun frére que Dieu lui pardonne et l'accueille dans son vaste paradis Amine ! Pas à pas je progresse vers une bâtisse contiguë à celle de feu Niokhor.
Suite à deux tappe assez discret sur la porte d'accés , une bonne vielle dame tenant la main à une petite fillette m'ouvre .- Oui, vous étes ? Me détaille t- elle du regard
- Mariéme Bâ, frére de Niokhor et mére de Khadja...- Toutes mes condoléances..., venez , entrez .
- merci ....souris je en entrant .
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-- Tenez de la boisson ... me remit- elle une tasse en verre remplit à ras de liqueur .
Je la prend et la porte à mes lévres .--Qui est cette mignonne pichounette !
Rigolais je avec La petite qui me tend sa main moite pour me saluer .- Souadou , va jouer dans ta chambre , grand -mére doit causée avec cette tante .
L'enfant obéit en récupérant sa poupée des mains de sa grand mére puis elle s'isola dans un coin de la maisonnette.-- L'incendie à été truculent , je n'en saurait rien si je n'avais pas suivie le journal télévisé . Je suis privé de mon frérot , mon ami . Il n'as pas hésiter à prendre soin de ma Khadja , lui et sa tendre épouse . Je prierais Dieu pour le repos de leurs âmes et qu'ils accédent tout deux à la félicité ...disais je avec les yeux embués de larmes . Je les essuyai par le revers de ma main guauche tandis que j'utisait l'autre main pour boire des gorgées succéssives à fin de noyer mes émotions. Avaler si goulûment m'aidait à ne pas éclater en sanglots.
-- Qu'Allah me pardonne pour ce que je vais dire : Niokhor n'était pas une référence encore moins sa femmes. Excusez moi d'être si grossière mais ça vaut le coup : ton frére était un crapule , un homme qui fait honte à la gens masculine . Ça ne sera pas aisé pour vous d'encaisser ce que je vais vous rapporter néanmoins soyez forte : Il violait ta fille et sa femme était son complice indirecte . Elle n'a nullement tenter de dénoncer son mari à l'inverse , elle gardait le plus grand silence de tombe .
-- C'EST ARCHI FAUX , ÇA NE PEUT PAS ÊTRE VRAI ...clamais je hystériquement .
La vielle dame était horrifiée, elle avait cru que je perdais la tête .
- Reprenez vous madame, il n'est pas le premier ni le dernier , les hommes comme lui sont des prédateurs qui n'ont que faire des moeurs . Je vis depuis 5 ans avec eux , ce couple, je le connais parcoeur. Niokhor , abusait de votre fille presque tout les soirs , j'entendais Khadja crier et hoqueter ... ce que je vous raconte ne sont pas des fla fla , croyez moi sur parole . Autre chose , la veille de L'incendie, au cours de la nuit , Khadja qui revenait de la plage avec son ami , à encore été malmenée par son oncle qui l'avais trainer de force dans la maison par les oreilles . Ils était bien seule ce jour là car Ndoumbé était absente . Quelques minutes plus tard , un hurlement m'était parvenu et immédiatement, je m'étais caser sur mon balcon d'où j'avais aperçue Khadja s'évader à travers une fenêtre vers l'extérieur en fuyant à perdre haleine . Elle n'est plus jamais revenu , Dieu seule connaît où elle est aller .
C'est tardivement que Ndoumbé s'engagea à protester l'attitude de son mari , le jours de leurs décés , je les avait esgourder se querelller , j'avais cru comprendre qu'elle voulait se décaniller , Niokhor l'a abbatu à l'aide d'une arme qui répandait un bruit pareil à un " PAN ! PAN !" de pilon , par la suite , il a mis le feu car la police était devant sa porte . En gros , C'est ça l'histoire qui s'est passée en intégralité.- Quel film ! Je n'ais plus que de l'aversion pour eux ( Niokhor et Ndoumbé ) . Leurs place est dans la fournaise , ordures qu'ils sont . Je n'était pas une bonne maman pour ma fille ,maintenant qu'elle à disparut , je suis accablée par la culpabilité. Comment vais je la chercher ? par où vais commencer ?
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HÉRITAGES De Deux Sosies
Fantasy¤ZAKARIA ¤ Je venais de déménager dans une nouvelle maison avec mes parent mais j'étais loin de m'imaginer tout les malheurs qui allaient nous y frapper. J'y perdrais ma mère ainsi que mon pére et je disparaitrais sans laisser de trace ... Je devais...