▪ SAMIR ▪
--- Dis moi que je ne suis pas arriver à la fumée des cierges , que tu es encore vivante , que notre amour ne s'achève pas de la sorte , m'affligeais je de voir Anna sous forme d'spectre.
---- Navré de n'avoir pas lutter pour notre flamme . Certe , j'avait le pouvoir de me défendre contres elles si j'en avait vraiment envie seulement j'ai réaliser que le rituel est le moyen ultime de liquider l'énemi . Aimer est un terme , un mots vulgaire à prononcer mais il recéle bien des mystéres , l'amour nous fait faire des choses auquels on n'aspirait guerre . Me sacrifier à ton bénéfice à été une décision libre que j'ai pris , je ne sais pas si je te l'ais déjà dit : ta joie est la mienne . Mon amour pour toi est de l'agapè ( amour désintéressé ) non de l'éros( amour charnel ) . Tant que tu demeure heureux je le serais. Nous ne sommes pas les premiers tourtereaux à endurer un amour impossible . C'est comme ça , je ne suis pas ton âme - soeur , considére moi comme une salvatrice qui devait s'en aller aprés avoir accomplie sa mission. Ta moitié te viendra trés bientôt , elle sera l'âme-soeurs de la conçiliation , c'est elle ton futur . Tu va te dire que je suis super prolixe pour un esprit , ton trône t-attend , je vais devoir te laisser .. Sourit Anna tristement , petit à petit elle s'évanouie cabalistiquement dans son havre qu'est la riviére.
Bien que dévasté , je poursuit mon chemin guidé par une piste tortueuse se prolongeant à perte de vue .
Le soleil était à sa genèse quand j'ateignis la tour des ensorceleuses, sous mes pieds , des têtes coupés gisaient dans du sang que la terre absorbait goulûment , des corps sans âmes peuplent les champs stérils ayant servie de terrain de combats . Je faisais donc grand attention sur où je metais les pieds . Ce sang versé , ces carnages en décompositions prouvent que la liberté n'est pas à négocier, mon peuple s'est battu pas simplement pour me mettre au trône mais pour acquérir leurs libérté dont ils furent privés par la Reine Sarah , ils ont préférés mettre en jeu leurs vie, se faire massacrer à fin de s'émanciper. C'est à ça que ressemble un régime dictatorial, la haine de la population pour leur dictateur ne fait qu'atiser leurs désir vindicatif envers cette autre homme comme eux , sous leurs tête , tenant le bout de la chaîne qui leurs lient mains , jambe , cou faisant d'eux des marionnettes que le maître de spectacle ( le dictateurs ) fait danser à son rythme . L'art de guourverner ça ne veut pas dire être imposant , puissant et savoir punir non ! C'est tout l'inverse , diriger des gens stipule la compassion , la bonne foi , l'investissement dans les préoccupations du peuple
qui qu'on le dise une bonne fois pour toute n'est pas un troupeaux de bétail qu'on est sensé canaliser à l'aide de coup de bâton, ou de tout autres outils répressif . C'est pour cela que moi Samir , je me garderai d'être un despote . Je serais un roi , un ami , un compatisseur .Alors que j'avance sur le portail de la tour , mes sandales piétinent un macchabée horrible , ayant les yeux hors de leurs orbites , j'ai frissonner en l'apperçevant , c'était la dépouille d'une femme au cheveux en bataille , elle a sur les genoux une couronne en rubis. Je n'en revient pas , il s'agit de Sarah ! Si ce n'était pas sa couronne, je ne la reconnaîtrait probablement pas . À sa voisinage , il y avait les cadavres de ses filles , les princesses . Elles ont été abbatus avec des fléches empoisonnées qui d'ailleurs sont rester pointer sur leurs bustes .
--- SAMIR , L'HÉRITIER DU TRÔNE , BIENVENU DANS VOTRE ROYAUME !
La vielle Soraya sortant de la tour vint me couvrir de sa chaleur.--- Je veux voir le corps d'Anna . Dis je d'un ton impératif .
--- Mes soeurs et moi l'on déja enterrer , je me soumettrais à tout les réprésailles que tu nous infligerai pour t- avoir pris ta bien aimée . Je ne suis qu'une vielle dame assoiffée de justice, mon obstination m'a ammener à dépasser les limites . Tiens cette épée , punis moi , Frémit - elle en s'accroupissant par terre .
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HÉRITAGES De Deux Sosies
Fantasy¤ZAKARIA ¤ Je venais de déménager dans une nouvelle maison avec mes parent mais j'étais loin de m'imaginer tout les malheurs qui allaient nous y frapper. J'y perdrais ma mère ainsi que mon pére et je disparaitrais sans laisser de trace ... Je devais...