Chapitre 8

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Quand je me réveillai, j'étais à l'hôpital, j'avais des perfusions partout et un gros bandage au niveau de mes hanches. Je commençais gesticuler dans tout les sens pour essayer de me libéré un peu mais une alarme se mit à sonner et une infirmière arriva. « Tu ne dois pas bouger, sinon ça va sonner. Me dit-elle tout en essayant de me calmer.

Oh mais je voulais juste prendre un verre d'eau. Lui dis-je, même si cela était un mensonge.

Bien, la prochaine fais appel à quelqu'un, ou fais plus attention.

D'accord. Merci ! Lui souriais-je quand elle m'eut servie et tendue un verre rempli d'eau. »

Elle me fit un sourire et partit. Puis, quelques secondes après quelqu'un frappa à ma porte. Je dis à la personne d'entrée. C'était Ethan. « Hey ! Tu vas bien ? J'ai appris ce qui s'était passé. Tu n'aurais jamais dû aller dans le bois toute seule.

Alors tu es là pour me faire la morale ? Mais sinon, oui je vais bien. Et toi ?

Oui, je suis ici pour te faire la morale. C'est pas bien de sortir dans les bois toute seule Mégane. Il avait dit ça en prenant une voix de grand-père qui me fis rire. Mais oui, je vais toujours bien moi. Jamais malade, jamais en danger. »

Je me mis à rire, encore. Puis quelqu'un frappa de nouveau à la porte. Cette fois-ci, c'était Dylan. « Tu sais, c'est pas bien de se venter Ethan. Surtout que moi j'étais là la dernière fois que tu étais malade. Et crois moi Mégane, c'était pas beau à voir. Plaisanta Dylan.

Je le sais, ce n'est jamais une partie de plaisir d'être malade. Lui répondis-je.

Sinon, qu'est-ce que tu as eus ma jolie ? Il y en à qui disent que tu t'es fais attaquer par un animal, d'autre par une créature étrange. Il se mit à rire.

Arrête t'es bêtises Dylan, ce devait être un loup ou bien un renard. Mais certainement pas une « créature étrange ». soupirais-je.

Bon aller ma jolie, moi je vais repartie au lycée et je donnerai de tes nouvelles aux es. »

Il me fit un bisous sur la joue et partit. Une fois que la porte fut refermer, je demandais à Ethan. « Quoi ? Au lycée ? Mais attends, on est quel jour et quelle heure est-il ?

On est jeudi et il est treize heures. Me répondit-il.

Quoi ? J'ai dormis pendant autant de temps ? Mais qui m'a retrouvé ? Et m'a amené ici ? Demandais-je affolée.

On ne sait pas, quelqu'un t'a déposé tard dans la nuit. Il n'a pas donné son identité, il à juste dit ton prénom et ton nom aux infirmières.

Je me demande qui cela peut bien être.

On se le demande tous Mégane. Bon, je vais te laisser, moi aussi je dois retourner au lycée. J'espère que tu vas vite pouvoir revenir. On s'ennuie sans toi.

Il me fit un grand sourire avant de partir. Je ne sais pas pourquoi Ethan ne fait pas comme Dylan. Je sais très bien qu'il meurt d'envie de m'embrasser. En tout cas, c'est l'impression qu'il me donne. Et même si c'est un baiser sur la joue comme le fait Dylan, c'est toujours cela. Enfin bref. Maintenant, plusieurs questions subsistaient encore : Qui ou quoi m'avais attaqué ? Pourquoi ? Et surtout, qui m'avait amener à l'hôpital ?

À force de trop faire marcher mon cerveau pour essayer de répondre à ces questions, je finis par m'endormir. Je ne savais combien de temps j'avais dormi, mais ce que je savais c'est que j'avais été réveiller par une genre de bruit de métal qui tombait sur le sol. J'essayai de me lever de mon lit sans déclencher les stupides alarmes qui étaient reliés à leurs machines. J'y parvint. C'était incroyable, je devais écrire cela dans mon tableau des exploits qui pour le moment était encore vide. Une fois debout, j'essayais par tout les moyens d'ouvrir la porte. Après dix bonne minutes à avoir chercher une solution, je fini par trouver. Ces portes s'ouvrent presque toutes seules. Donc, je pris le petit panier en fer qui était accroché à la table à roulette. Je le dépliais comme je le pouvais de façon à en faire un crochet. Puis je pris un objet assez lourd que j'accrochai au bout de ma tige et je le fit tomber sur la poignet. La porte s'ouvrit et je ne vis rien. Je regardais l'heure sur l'horloge face à la porte et quand je me retournais pour de nouveau regarder dans les couloirs, je vis une ombre. Mais cette fois-ci j'étais sûre de ce que je voyais, c'était une ombre de fille.


Monde Surnaturel. (Arrêter)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant