Chapitre 38

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Hey ! Tout d'abord, je tiens à m'excuser pour l'irrégularité de la postation (oui ce mot n'est pas français mais je m'en fou) des chapitres. Mais bon, quelque fois l'inspiration vient et d'autre fois elle va. Et actuellement, elle va. Donc voilà, j'espère que ce chapitre vous plaira (En média, Jonathan aka Jockson Rathbone) Comment l'imaginiez vous ? 

Surtout, n'hésitez pas: votez, commentez, partagez. :) 

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 « Je ne vous dérange pas au moins ? Retentit la voix de notre interlocuteur à travers la pièce.

Non, pas du tout. Lui répondit Damon sur le ton de la plaisanterie.

Damon, s'il te plaît... Soufflais-je. »

Je n'eus pas à dire la suite de ma phrase que Damon imita la fermeture d'un coffre sur sa bouche et me donna la clé juste après ce qui me fis esquisser un sourire. « Alors c'est pour ça que tu retrouves cette pourriture dans le conservatoire ? Pour vous entrelacer gentiment sans que personne ne vous voit ?

Non tu te trompes ! Nous étions en train de travailler sur notre performance !

Bizarre, je n'entendais ni bruit, ni musique.

Ce n'est pas ce que tu crois Jonathan. Toi tu fais bien un numéro de danse collé-serré avec Catherine et je ne te fais pas une crise de jalousie pour autant !

Et alors ? Moi au moins je ne l'enlace pas quand nous avons finit de travailler ! »

Damon se racla fortement la gorge pour attirer notre attention et leva les sourcils. Je compris immédiatement ce qu'il voulait dire et lui tendis la clé invisible. Il fit mine d'ouvrir sa bouche avec cette fameuse clé ce qui me fit rire et qui énervait encore plus mon petit-ami au passage. « Jonathan, s'il te plaît, calme toi. Ce n'est pas de sa faute, c'est moi qui l'ai prise dans mes bras et pas l'inverse.

Je me doute qu'elle ne m'aurais pas été infidèle !

Jonathan calme toi ! Je ne t'ai en aucun cas été infidèle ! Ce n'était qu'une accolade. Intervins-je. »

Jonathan sortit du conservatoire sans même s'excuser à mon égard et en claquant la porte.

*PDV de Jonathan*

Mégane était partit depuis presque une demi-heure déjà. Je décidais donc, pour me montrer attentionné envers elle, d'aller la chercher. En arrivant devant la porte du conservatoire, je n'entendis aucun bruits. Ni notes de musiques, ni voix... Rien. Je décidais donc d'entrer pour voir si il y avait quelqu'un dans la pièce. Mais ce que je vis en entrant me glaça le sang et me mis dans un état de colère très horrible. Damon était assis sur le petit banc noir face au piano et Mégane était dans ses bras. MA Mégane était entrelacé avec lui. En m'entendant arriver, ils se sont immédiatement retourné et Mégane est devenu toute rouge. (*je vais vous épargner le dialogue du dessus pour éviter trop de répétitions*)

*Une fois la dispute terminée*

*Toujours PDV de Jonathan*

Une fois que la dispute fut terminée, je sortis en claquant derrière moi la porte du conservatoire. La femme de ménage qui passait par là me regarda avec un air de mépris. Je sortis du lycée, non sans avoir frappé dans une porte avant, et me dirigeais là où mes pieds me menaient. Après avoir marché pendant une heure et demi dans une direction qui m'était inconnu, je me retrouvais dans le bois, dans un petit coin de celui-ci que je n'avais jamais exploré auparavant. Je m'assis contre un arbre et passai ma main dans mes cheveux une bonne douzaine de fois. Puis je me mis à crier de toute mes forces. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais juste envie de crier. Soudainement, quelque chose se planta dans le fond de ma gorge, m'empêchant ainsi de crier d'avantage et quelqu'un, une femme il me semblait, me traîna hors du bois. Elle me laissa sur le bat côté de la route, agonisant et dépourvu de voix. Cela faisait bientôt deux heures que j'étais là, allongé sur le bat côté et personne n'était passé. Personne, aucune voiture, aucun cycliste, rien. Voyant qu'au bout de presque trois heures, personne n'était venu, une larme dévala la pente avide de ma joue. Mais que faisais-je ? J'étais un homme, je ne devais pas pleurer ! J'essayai donc tant bien que mal de me relever. Mais à peine ma tête se décollait-elle du sol que des vomissements horribles s'emparèrent de moi. Une fois que la chose qui m'avait été planté dans la gorge en soit sortie, des filets de sang affluèrent de celle-ci m'empêchant donc de crier comme bon me semblait. J'essayai tant bien que mal de me redresser et quand j'y parvins enfin, je me mis sur les genoux, contemplant la marre ornée de vert et de marron avec quelques tâches de rouge qui se dressait devant moi. En me concentrant bien sur celle-ci, je crus voir des feuilles mélangées avec quelques pétales de fleur. Pourquoi la personne qui m'avait attaquée avait-elle mis ce mélange étranges dans le fond de ma gorge ? Soudainement, je sentis le sol se dérober sous mes pieds, puis plus rien.

Monde Surnaturel. (Arrêter)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant