Imagine Robbie Kay

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Il était six heure du matin et mes parents dormaient à point fermé. J'enfilais mes bottes, mis mon hanorack et pris mon arc et mes flèches. Je m'étais levée de bonne heure pour partir en forêt, je venais d'emménager ici avec mes parents, c'était un petit coin isolé de la campagne avec une grande forêt à coté. J'adorais les histoires de cape et d'épée et je crois que je suis la seule adolescente de seize ans à croire en la magie -même si au fond je sais que ça ne l'est pas-, alors je me suis imaginé mille scénarios dans ma petite tête de rêveuse, j'imagianais un champs de bataille sur nos terre où deux armées ennemies se combatteraient sans merci, où encore des fées à l'aurée du bois, vêtues de robes de toutes les couleurs scintillantes comme une luciole, m'inscitant à les rejoindre, et aussi un homme chevauchant un étalon blanc venu me chercher pour m'apprendre le combat à l'épée. Alors en grande aventurière que je suis -mais aussi pour passer le temps- je décidais d'aller vivre ses aventures dans les bois, et peut être qui sais, je rencontrerai deux petits nains. J'attrapais mon sac à dos, possais sur la table un petit mot destiné à mes parents et je partis à pas feutré de la maison, direction l'aventure. Quand je fus à l'extérieur, une brise fraiche du matin m'aspergea le visage, soufflant dans mes cheveux, les oiseaux gazouillés une belle mélodie et je vit du mouvement dans les arbres, surement des écureils. Je marchais actuellement dans la forêt, mes pas crépitaient à chaque appuie, je continuais tout droit devant moi pendant un quart d'heure sans me soucier de la distance que je mettais entre moi et ma maison, toujours baignée dans mes rêves secrets, parfois je voyais passer des chevaux sauvages, une biche et son petit ou des renards, c'était vraiment un magnifique spectacle et j'étais contente d'en avoir le privilège. Quand je m'arrêtai enfin pour reprendre mon souffle -je ne suis pas une grande sportive- je constatai que je mettais perdue, je commençais à paniquer, je ne connaissais pas le bois, je n'avais pas pris mon portable et j'étais perdue ! Pour me calmer je fis les cent pas -ça m'aide beaucoup pour me calmer- quand j'entendis des pas se rapprocher de l'endroit où j'étais, je filais vite me cacher derrière un tronc d'arbre, je n'avais pas trouvé mieux, et attendais que le bruit s'éloigne. Silence, le bruit ne se faisait plus entendre, la chose qui l'avait provoqué s'en était allé enfin c'est ce que je croyais...
- Tu sais te cacher derrière un arbre n'est pas très astucieux ! railla l'inconnu, maintenant sors de la !
C'était une voix d'un adolescent, compatissante, je sortis de ma cachette et quand je l'eu vue, je fis un pas en arrière, les yeux écarquillés de peur. Il pointais sur moi une flèche à laide de son arc, mais est-il fou ?! Il veut me tuer alors que je n'ais rien fait ! Quand il vit mon regard apeuré, il baissa de suite son arme et se gratta la nuque, gêné, et moi je lâchais un long soupir, j'avais arrêté de respirer pendant quelques secondes, il s'avança près de moi jusqu'à qu'un seul mètre ne sépare nos deux corps.
- Qui es-tu ? me demanda le jeune garçon
- Cristy, Cristy Wood, je viens d'emménager pas très loin d'ici.
- Alors c'est toi ma nouvelle voisine, enchanté, je suis Robbie, Robbie Kay. dit-il en levant sa main pour que je la serre, mais je ne le fis pas, j'avais peur, peur de lui, je regardais sa main sans pour autant la serrer.
- Tu sais, quand on est poli, on sert la main de celui qui nous la tend. répliqua-t-il
- Quand on est un personne normale, on ne menace pas autrui avec une flèche. ripostai-je
- Excuse moi, je croyais que tu étais un voleur.
Il avait toujours sa main tendue vers moi, je la saisie et la secoua en lui souriant.
- Moi de même Mr. Kay.
- Alors que oeux bien tu faire sur mes terres ?
- Sur tes terre ! m'exclamai-je, je suis allée aussi loin ! En faite je me promenais et je n'est pas fais attention à la distance que je parcourais.
Il me regardais d'un air méfiant, c'est vrai que mon explication était assez louche mais j'avais raconté la vérité, alors je croisais les doigts pour qu'il me croie.
- Je te crois, il regarda par dessus mon épaule, tu sais tirer à l'arc ?
- Oh... Hum... non pas vraiment, j'ai toujours voulu essayer et c'était le but premier de ma venue dans ces bois.
- Si tu veux, je peux t'apprendre. dit-il doucement
- Vraiment !
- Bien sûr ! Ce sera avec plaisir, comme ça on pourra faire connaissance, parce que tu sais, les enfants de mon âge, il n'y en a pas ici alors se serait cool que l'on devienne amis ?
- Pourquoi pas, on verra. lui souriai-je
- Super alors vient suis moi.
Il se retourna et parti du coté apposé, moi sur ses talons. J'étais contente, je venais de me faire un nouvel ami et il m'a l'air fort simpathique, et j'allais apprendre à tirer à l'arc, on peut dire que je suis aux anges.

Un ans c'était écoulé depuis ma première rencontre avec Robbie, maintenant, nous étions comme les deux doigt de la main, inseparable. Nos parenst c'étaient rencontrés et eux aussi étaient devenus amis, les parents de Robbie étaient très gentil avec moi, et c'est comme si je faisais parti de la famille, parce que je passais beaucoup de temps ici avec Robbie les jours d'hiver, de pluie ou quand il faisait beaucoup trop chaud pour sortir dans la forêt. Celle-ci était devenue notre jardin secret à Robbie et moi, nous y passions le plus clair de notre temps, nous avions même construit une cabane dans les arbres. Maintenant je savais tirer à l'arc comme Robin des Bois, Robbie était un excellent tireur et aussi un excellent professeur, mais il m'avait caché une chose, il n'était pas qu'un tireur hors pair mais c'était aussi un excellent cavalier, il montait à cheval depuis sa plus tendre enfance et m'avait proposé d'apprendre à le faire, j'ai eu beaucoup de mal à convaicre mes parents mais ils m'ont scedaient, depuis je dirais que je ne me débrouille pas trop mal et j'adorais ça. J'avais aussi parlé à Robbie de mon imagination débordante et j'étais très étonnée qu'il le prenne si allègrement, parfois nous jouions aux chevaliers avec nos montures, ( car Robbie m'avait donné la responsabilité de Libéllule, une jument bai magnifique ), et parfois nous grimpions aux arbres tels des écureils.
Nous étions le 31 juillet, nous étions installés sur les branches du chêne le plus haut de la forêt, Robbie était appuyé sur le tronc et son bras gauche me tenait par la taille pour ne pas que je tombe, enfin je crois que c'est pour ça, nous étions assez éloigné de la ville alors Robbie m'a dit que se serais mieux d'aller sur cette branche pour admirer le feux d'artifice. En attendant le début des festivités, nous parlions de tout et de rien.
- Je peux te demander quelque chose Cristy ?
- Oui je t'écoutes.
- On dit au lycée que tu a un faible pour Tom, c'est vrai ?
- Qui t'as dit ça ?
- Répond juste à la question !
- Et bien c'est vrai qu'il est beau mais pour te rassurer, non je ne le suis pas.
- Quoi ! mais pas du tout, j'était juste curieux ! s'énerva-t-il
- Mais oui je te crois.
- Mais c'est quoi ton genre de garçon ?
- Et bien c'est toi. il me regarda avec stupeur et ses joues avaient rosies
- Enfin je veux dire, avec le même caractère et le même physique que toi enfin... bref.
Je tourna ma tête, gênée par cette conversation qui a tourné au vinaigre. Les feux d'artifices commencèrent à éclater dans le ciel melangeant du rouge, du vert et du bleu. J'admirais le spectacle quand je sentis deux mains se saisirent de mes deux joues et m'attiraient vers la droites et au même moment les lèvres de Robbie vinrent se poser sur les miennes, je fermais les yeux automatiquement, quans il se détacha de moi, j'en redemandais encore, je ne sais pas pourquoi mais ce baiser m'avais fais frémir. Robbie me regarda, je vis une gêne intense dans son regard, c'était très mignon la façon avec laquelle il s'inquietait de ma réaction face à ce baiser.
- Je crois que j'étais vraiment jaloux au faite d'une possibilité que tu sois amoureuse de ce babouin de Tom. finit-il par dire
- Je sais, tu n'est pas très discret.
Il rit d'un rire gêné mais pour le rassurer je vint presser mes lèvres sur les siennes, ce baiser lâcha des papillons dans mon ventre. J'étais la fille plus heureuse au monde.

Hey guys, un autre imagine pour vous.
qu'est-ce que vous en dites ?
@MahiroxMisaki j'espère que j'ai su satisfaire tes attentes :-)

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