Hey, alors voilà l'autre histoire que j'ai écris, alors je vous préviens, âmes très sensible s'abstenir, c'est extrêmement différent de ce que j'écris habituellement, alors j'espère que ça vous plaira tout de même en attendant les commandes.
Je suis tétanisée, aujourd'hui c'est la rentrée, on revoit ses amis, on est éxcité de savoir avec qui on est dans la classe, de découvrir nos professeurs de cette année, de pester ou de jubiler devant notre emploie du temps et pleins d'autres choses que nous procurent la rentrée, sauf pour moi, bien sûr dans d'autre circonstence j'aurais peut être pu vivre ça, mais pas cette année.
Je marchais dans le couloir vide, éclairais par les rayons du soleil de la matiné, m'appuyant sur ma béquille pour rejoindre ma classe. Tout les élèves sont à l'extérieur entrain de se faire répartir dans leur classe respective, moi, on m'a déjà dit dans quel classe j'étais et avec qui, par chance deux de mes amies y étaient. On m'avait donné cette avance à cause de mon petit problème de santé, pour éviter que je ne me fasse renverser par une cohue trop éxcitée. La porte était ouverte, je l'ouvris et vais m'assoir au fond de la classe, là où je suis sûr de ne pas gêner quelqu'un, puis j'attendis que la classe se remplisse. J'avais très peur de ce qui pourrait arrivé, si jamais on me posait des questions sur mon état et que je ne trouvais pas les mots ? Si je tombais et que je n'arriverai pas à me relever ? Et si tout le monde s'apercevait de mon malheure, auront-ils peur et m'éviteront ? Je ne sais pas, et c'est avec cette crainte que la classe commenca à entrer dans la salle, tous était surpris de me voir dans la salle mais je leur souris d'un sourire polie, Mélina et Laetitia, mes deux amies, vinrent à ma rencontre, elles me sautèrent toutes les deux au cou en guise de bonjour et se mirent assis à la table devant moi. Notre professeur principal, M. Moreno, commençait son éternel discours de la rentrée, c'était un professeur de maths pour le plus grand malheur de tout le monde. Une fois toutes les affaires distribuées - c'est à dire, carnet de liaison, carte de cantine et papier à faire remplir aux parents- la cloche sonna indiquant un changement de cours, tout le monde se leva et parti en vitesse de la salle, moi j'étais toujours assise à ma table, tétanisée par ce qui m'attendait à l'extérieur de cette salle, je regardais ma table quand un raclement de chaise se fit entendre à coté de moi, je levai la tête, mon professeur était assis à mes cotés.
- Qu'y a-t-il Léa ?
- Oh rien monsieur, ne vous en faîte pas, je n'ai pas fait attention que la cloche avait sonné. mentis-je
- Je suis au courant, le principal nous a averti, moi et tes professeurs, alors dis moi quel est le problème ?
- J'ai peur monsieur. dis-je les larmes aux yeux
- Tu ne devrais pas avoir peur, ne laisse pas cette peur prendre le dessus sur toi et sur ta vie, je sais que ce que tu as ne doit pas être facile à vivre, mais dit toi que tu es vivante, que tu es en bonne forme et que le destin ta donné une chance de continuer à vivre, alors saisi là et arrête d'avoir peur. mais c'est juste un conseil que je te donne, c'est toi qui est maître de ta vie, alors vie la comme bon te semble, il se leva et mis son cartable en cuir sur son épaule, je te dis à demain. il parti
- Monsieur ! je l'arrêtai dans son élan
- Oui ?
- Merci.
- Derien. et il disparu
Je crois que ce prof aurait du être prof de philosophie, il était vraiment doué, mai il avait raison sur un point, je ne dois pas me laisser submerger par ma peur, je dois l'affronter et la vaincre, après tout, la vie m'avait donné une chance de revivre et je devais le faire, pour moi et pour tout les autres qui n'ont pas eu cette chance, en mémoire d'eux. Pris par l'adréaline, je m'empoignai de ma béquille et me leva, j'eu mal sur le coup, mais pas une douleur physique, non, mais une douleur mentale, mais je ne lui lassai pas le temps de me faire sombrer dans la dépression et marchai, chaque pas posé avec précaution et attention pour ne pas que je tombe, j'arrivai enfin à ma classe, la cloche avait sonné depuis 10 minutes, quand je toquai à la porte, une voix grave me dit d'entrer ce que je fis, c'était notre professeur d'histoire-géo, un vieil homme au ventre rond et à la langue bien pendu, je l'avais eu l'année dernière et j'étais très heureuse de l'avoir, c'était l'un des seul professeur au monde à dire des gros mots. Je m'excusai et partis m'assoir aux cotés de mes amies. Le professeur enseignait quand Laetitia me posa la question que j'aurais voulu éviter à vie.
- Qu'est-ce que tu as à la jambe ?
- Une paralisie, je ne peux plus plier ma jambe.
- Je suis désolée pour toi, et c'est temporaire ?
- Non, c'est défintif.
Une larme perla sur ma joue, rien que d'y penser me faisait mal, laetitia pris ma main dans la sienne et la serra fort pour me réconforter, j'essuayai vite ma larme, ni vue ni connu, et lui sourit pour la remercier.
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Fiksi PenggemarIci j'écris des petites histoires en tout genre. C'est l'idéal pour celles qui n'ont pas envie de grosse lecture et qui ne sont pas fan des attentes entre deux chapitres d'une fiction. Alors je vous invite à lire mes histoire, qui sait, elles vous...