Chapitre 48

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Annaëlle Lloris

Benjamin - Ça fait du bien d'être chez soi, dit il en passant la porte d'entrée.

On vient de rentrer de Madrid et les jours qui ont suivi leur victoire n'ont pas été de tout repos.

- Je vais coucher les jumeaux, tu veux bien préparer le repas s'il te plaît ?

Benjamin - Oui, je m'enlève juste le jean et j'y vais.

Il m'aide à monter les jumeaux dans leur landeau qui est quand même assez lourd.

Je l'est met chacun dans leur lit, en essayant de ne pas les réveiller pour éviter les pleurs. Ce que j'ai plutôt bien réussi.

Benjamin - Tu l'es a vite couchés, dit il quand je le rejoins dans la cuisine.

- Ils dorment profondément, j'ai pas voulu m'attarder. T'a fais quoi a midi ?

Benjamin - Un truc simple que me faisait ma mère plus jeune. Un gratin de macaronis.

- Ça a l'air super bon.

On s'installe autour du plan de travail de la cuisine.

- Dit, j'ai une question qui me trotte dans la tête depuis quelques temps ?

Benjamin - Dis moi.

- Est ce que tu voudrais au moins d'un autre enfant ?

Benjamin - Là maintenant, pas vraiment mais peut être plus tard. T'es enceinte ?

- Non non. Je voulais juste savoir.

Benjamin - Et toi ?

- Oui, mais juste un, j'ai pas envie d'avoir des jumeaux encore une fois. Je t'avoue que avoir une fille pas maintenant mais plus tard, ça serait juste génial.

Benjamin - Tu vas pouvoir supporter une grossesse ?

- J'ai vu ma gynéco et elle m'a confirmé que mes chances de pouvoir tomber enceinte et que le bébé soit en bonne santé sont plus grande qu'il y a 6 mois.

Benjamin - C'est génial. Et si on allais tester après le repas. 

- Pourquoi pas. 

(...)

Je dépose les garçons chez Sandra qui nous les gardes pour l'après-midi, on doit se rendre à la salle du mariage. Le propriétaire de la salle nous donne les clefs pour qu'on puisse commencer à préparer la salle. 

On se marie dans 12 jours pour être précis. 

Sandra - Vous en avez pour combien de temps ? 

- Aucune idée mais je pense que d'ici 17h on est là, c'est bon pour toi ? Sinon je m'arrange pour venir plus tôt. 

Sandra - Non t'inquiète, prenez votre temps. 

- Merci, t'es un amour. 

Je me dirige vers la voiture où Ben m'attend. 

Benjamin - T'a pas eu le droit à la crise ? 

- Non, ils étaient trop occupé par leur jouer. 

Benjamin - T'a l'adresse ? J'ai oublié mon téléphone à la maison. 

- Oui, je rentre l'adresse dans le GPS et on se dirige vers la salle, tu stresses ? 

Benjamin - Pour ? 

- Le mariage. 

Benjamin - Non, puisque je vais me marier avec la femme que j'aime à la folie et avec qui j'ai deux enfants incroyables. 

- T'es trop mignon. 

Benjamin - Ah mais je parlais pas de toi, je parlais de ma maitresse. 

- Pardon !? Il éclate de rire, face à mon visage sérieux, pourquoi tu rigoles ? 

Benjamin - C'est une blague Annaëlle, y a que toi dans ma vie. Arrête de stresser. 

- Je peux pas m'empêcher, je stresse pour tout. 

Benjamin - Tout va bien se passer, je t'aime, tu m'aimes. On va se marier dans moins de deux semaines. 

- Heureusement que t'es là. Je t'aime, mon brun. 

Benjamin - Moi aussi, ma brune. 

On arrive à la grande salle où va se passer la fête de notre mariage, on se prend la main dans la main et on avance jusqu'au gars qui nous attend. 

Il nous redis comment tout fonctionne et il nous donne le code de l'alarme et nous tend les clefs que je met dans mon sac à main. 

... - Si vous avez besoin, mon numéro est dans le classeur que je vous ai présenter tout à l'heure. 

- Merci beaucoup. 

Le monsieur s'en va et on reste tout les deux dans cette grande salle. 

Benjamin - Elle est toujours aussi belle la salle. 

- Elle sera encore plus belle quand elle sera décorée. 

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Très petit chapitre mais je suis en manque d'inspi, mais le prochain chapitre s'annonce chargé. On va dire que c'est une compensation.  

Chapitre publié le : 13/11/22

Emma 



Mon brun à bouclettes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant