Chapitre 22

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Benjamin Pavard

Maman - Ben, tu met où ta farine ?

- Dans le placard en haut, le premier en partant de droite.

Maman - C'est bon, merci.

Papa - Je te promet que si tu nous oublis encore une fois à l'aéroport moi je t'abandonne, râlait il.

- Papa, je suis désolé, ça fait 3 jours que tu me le rabâche.

Maman - Frédéric lâche le un peu. Je pense qu'il a compris.

Quelqu'un frappe à ma porte.

Papa - Tu attends quelqu'un ?

- Non, je vais ouvrir.

Maman - Laisse, j'y vais.

Elle s'éclipse pour aller ouvrir à la personne qui se trouve derrière ma porte.

Je l'entends discuter avec une voix féminine, leurs voix se rapprochent.

Maman - Décidément tu oublies plein de choses en ce moment mon fils.

Annaëlle sort de derrière ma mère, je me lève d'un coup et l'embrasse.

- C'était pas prévu que tu arrives si tôt ?

Annaëlle - Surprise.

- Bon, je pense qu'il est temps de faire les présentations, maman, papa je vous présente Annaëlle, ma petite amie. Annaëlle, mes parents, Nathalie ma mère et Frédéric mon père.

Annaëlle - Ravi de faire votre connaissance, Ben m'a souvent parlé de vous.

Maman - En bien j'espère.

- Maman...

Papa - C'est donc vous la jeune fille qui fait battre le cœur de mon fils.

Annaëlle semble de plus en plus gênée, elle est tellement belle.

- Je vais te montrer où tu peux mettre tes affaires.

Annaëlle - Ouais merci.

Je l'aide à monter dans notre chambre, elle range ses affaires dans le dressing, je peux pas m'empêcher de la dévorer du regard.

Annaëlle - Quoi ? J'ai un truc dans les cheveux ?

- Non, t'es juste magnifique.

Je me rapproche tout doucement d'elle, elle aussi elle me bouffe du regard. Putain elle est trop belle, j'ai tellement de chance de l'avoir ma brune.

Annaëlle - C'est la première fois qu'on est tout les deux dans notre maison, je suis tellement désolée, à cause de moi on peut pas vivre ensemble.

- Hé Annaëlle, en aucunement c'est de ta faute, on vivra ensemble quand ça sera le moment. Regarde tu as réussi à venir plus tôt que prévue, on va passer nos 1 an ensemble pas derrière un téléphone à des centaines de kilomètres.

Mon brun à bouclettes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant