Six pieds sous terre.

Jusqu'à Dressrosa 2

Mes yeux fatiguaient sur cette neige infini... Et je commençais à somnoler. Il devait être aux environs d'une heure du matin lorsque Teya me propose de nous arrêter le temps de me reposer. Il avait peur que je ne m'endormes sur l'étalon.

Il trouva une sorte de grotte et me dis que j'y pouvais reposer jusqu'à l'aurore où nous repartirions. Qu'il monterait la garde et me il couvrit de sa cape.

Je m'endormis assez vite, les yeux rivés sur cet étrange personnage. Je n'avais pas dit mot.

Puis, de légère secousses me ramenèrent sur Terre : "Réveille-toi le jour se lève."

Ainsi, j'ouvre mes yeux. 

Teya - Qu'y a-t-il ? Vous avez l'air troublez... Enfin, "tu"... Se rectifia-t-il en détournant le regard vers son cheval.

Muna- Pourquoi n'avons nous pas été retrouver ? lui murmurais-je. Quel est cette endroit ?

Teya- Une base de la résistance. Je suis un révolutionnaire. Scinda-t-il sans un trouble.

Je restais sans voix. Mon esclave, -je veux dire- mon ancien esclave, un révolutionnaire ? Et il me l'avoue aussi froidement ?!

Sinon, plus terrible. Ils existent des bases occupés par les révolutionnaires au sein même de Marie-Joie ? 

- Que racontes-tu ?!

- Monte. M'ordonne-t-il froidement.

Est-ce que ça l'amuse d'inverser les rôles ainsi ?...

Au gallot je ne peux que songer... Combien de ces révolutionnaires sont à Marie-Joie ? Que savent-ils de nous actuellement ? Teya est-il une exception ou au contraire en mission habituel chez les révolutionnaires ? Comment cet homme avait pu rentrer sous mon service ? 

Mon père vérifie toujours les esclaves dont je prends possessions...

Soudain je me crispe toute entière.

- Qu'y a-til ? M'appelle le révolutionnaire.

Je ne réponds point et il se concentre de nouveau vers sa destination.

J'ai pris possession de Teya peu de temps après le décès de ma bien aimée sœur. 

Et si... Et si mon père avait lui aussi rejoins l'ordre des révolutionnaires ? Teya étais un de mes cadeau de fiançailles !! 

Il n'a jamais semblait s'être attristée de la mort de feu ma sœur. Il m'avait même secouer d'avoir pleurée en l'apprenant. Les Dragons célestes avaient déclarer que ma sœurs était une traitresse et ils nous étaient demander d'avoir du dégout de l'avoir en notre famille. La famille de Saint. Grégory avait même demander une révocation de l'act de fiançailles entre nos deux familles, demande qui ne leur ont rapporter que les foudres des Grands-Dragons célestes pour avoir remis en question leur decision...

Mais malgré les apparences... Peut-être mon père souffrait ? Peut-être espérait-il qu'un jour je m'enfuis ainsi de cette cage en or et m'engage dans les révolutionnaires ?

Je souris. 

Je délire... Je ne pourrais jamais rejoindre les révolutionnaires, ainsi dicte la machineries qu'est devenue mon cœur sous les envies de mon homme... Il me retrouvera toujours. D'autant que mon père ne confierais pas la vie de sa fille à un garçon d'un peu plus mon âge...

Malgré cela ais-je le droit de rêver un peu et de me dire que c'est justement mon cœur qui ma retenue dans ma cage ?... Je lève ma tête vers le ciel. Peut-être que dans une autre vie j'ai réussi à le devenir, révolutionnaire ?

L'Homme se cherche toujours un destin.

L'Homme ne voit écrit nulle part son destin.

L'Homme se créé donc un destin et veut l'imposer aux autres.

Cependant que peut cette pauvre race face à la vrai destinée ?

Celle dont les fils sont invisibles aux yeux des Hommes,

Et brillants aux yeux infinis des dieux ?

Une seule entité peut-elle en assumée les deux ?

Ou succombera-t-elle à la tentatrice faux de la mort ?