La marine ou...

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Les couloirs ne dégagent aucunes chaleurs humaine, ce n'est que de la ferraille et des dispositifs scientifiques sur de long couloirs, je me souviens de la dernière fois où je suis venu ici.
J'avais Douze ans, ma mère me protégeait encore des maux de Grégory.
Je n'avait pas encore mes menstruations, une bonne blague quand je pense que 7 mois plus tard je les ai eue...

Je repense à ma famille, de manière nostalgique.
Avant que je sois considéré comme une femme à l'âge de treize ans, ils étaient attentionnés. Mon père jouait de temps en temps avec nous, mon frère, ma sœur et moi. Mais ce que je préférerai le plus , s'était quand il nous donner des cours.. Bien entendu, j'avais des cours avec des professeurs aguerris mais rares étaient ceux qui savait être compréhensif ou ne serait-ce que gentils.
Ces enseignants sont des parents éloignés, à Marie Joie, même la Marine n'a pas envie d'y mettre les pieds. Le système hiérarchique fait que lorsqu'un enfant né sans ou avec trop peu de l'originel génétiques, il est la plupart du temps renié (ou cacher) , il devient la honte de la famille et est envoyé dans la basse court de Marie Joie , plus loin sur Red Line afin d'y vivre de manière à ne pas se faire persécuter par les humains « lambdas » comme leur propre famille et autres dragons célestes.

J'ai toujours eu une grande peine pour eux, ce pourquoi je me sentais si bien lorsque mon père m'enseignait.
Un homme très intelligent qu'est mon père, un fou des nouvelles sciences qui a dû refiler sa passion à mon fiancé. Il avait l'art de la pédagogie mieux inscrit en lui que son sang céleste. Entre autres, ses cours se résumer en deux mots :
jeux et compétitions.

Nous faisions tous cours ensemble et on gagnait des points en l'impressionnant par nos réponses ou comportements exemplaires. Celui qui marquer le plus de point gagner le droit d'aller s'acheter un « jouet » à la vente au enchères de L'Archipel des Sabaody .

Je collectionnais les créatures étranges, les animateurs me connaissait pour ça et des fois même me réserver des pièces très rares. Je n'avais juste pas le droits de prends ceux qui avait manger un fruit du démon « trop dangereux pour une petite fille »

Ma mère, même si elle préféré cacher son talent pour s'amuser avec des esclavages en sortie mondaine avec des amies, avait aussi un intérêt accrue pour les sciences, elle assistait à nos cours et taquiner mon père lorsque qu'elle avait raison à son contraire.

Mes cours préférés étaient étaient les sciences politiques , ce qui leurs plaisaient beaucoup, ainsi, il pensais que je vivrais longtemps parmi eux... !

Quelqu'un m'a accroché le bras ! Je me retourne instinctivement en serrant les dents, sentant le danger.

Vergot - Qui es-tu ? Qu'es que tu-fais ici ?

On dirait un chef de la Marine... Mince !

Muna- Je vous pris de me lâcher ! J'ordonne en donnant une secousse qui le fait lâcher . Je suis une clientes du scientifique César Cloud ! Ne me toucher plus une fois. Je lui fais comprendre avec mon regard.

Il me regarde de la tête au pieds... et je comprends que s'il avait lâché ce fût juste car il savait que de toute manière je ne lui arrivais pas en dessous du pied... J'ai quelques peu honte, mais forcée d'assumer mes faiblesses je ne peux que parler.

Vergot - Veillez m'excusez... Cependant.

Muna- Plait-il? Rétorquais-je avec une fierté injustifiée.

Vergot- Cela fait quatre ans qu'il n'y a plus personne qui est connaissance de ses lieux. Il baisse sa tête sale vers moi, Un morceau de viande coller sur la joue.

 Il baisse sa tête sale vers moi, Un morceau de viande coller sur la joue

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Six pieds sous terre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant