Suave Contigo | 𝐓𝐀𝐈𝐉𝐔 𝐒𝐇𝐈𝐁𝐀 𝐗 𝐑𝐄𝐀𝐃𝐄𝐑

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- Mm~ ! Ce parfait est incroyable ! As-tu déclaré avec un sourire en continuant à manger.

Taiju t'avait invité à sortir pour manger un morceau, alors vous étiez là, dans une cafétéria, à partager un goûter.

- Tu as l'air très sérieux Taitai, plus que d'habitude, commentes-tu en jouant avec la cuillère dans ta bouche et en le regardant curieusement.

- Depuis quand tu m'as donné ce surnom ?

- N'est-ce pas mignon ? Taitai ! Tu lui as souris. Tai~ Taitai ! Tu as continué à le répéter en gloussant.

Il s'est juste couvert le visage, tu as remarqué qu'il rougissait parce que ses oreilles étaient devenues rouges. Tu aurais juré l'avoir entendu dire quelque chose à propos de se débarrasser de ses pensées impures.

Tu souriais légèrement à la façon dont tu l'avais dit, cela te donnait une certaine fierté d'être la seule à pouvoir lui faire avoir ce genre de réaction.

- Et tu ne voulais pas me dire quelque chose ? As-tu demandé en terminant ton parfait.

- Oui, mais tu ne me laisses pas le temps de le dire, a-t-il mentionné, en découvrant juste ses yeux pour te regarder.

- Je ne fais rien ! Tu t'es immédiatement plainte en croisant les bras.

- Si !

- Dites-moi ce que je fais, as-tu exigé, en penchant la tête sur le côté.

- Tu me rends nerveux !

- Ahg, c'est tout ce dont j'ai besoin, dis-moi juste ce que tu veux me dire pour ne plus être distrait, lui dis tu tout de suite.

- Je t'aime bien, a-t-il dit directement. Romantiquement parlant.

Vous êtes restés tous les deux silencieux en vous regardant l'un l'autre pendant quelques instants.

Tu as senti que tes joues commençaient à brûler, et tu ne savais même pas comment lui répondre. Tu as commencé à dire, essayant d'assembler quelque chose sur le champ :

- Je ne m'attendais pas à ça de ta part... Je veux dire... tu t'es raclé la gorge. Je t'aime bien aussi, tu as fini par dire doucement.

Tu l'as senti prendre ta main. Parfois, ces petites choses qu'il faisait te rendait nerveuse, et tu ne pouvais pas t'empêcher de comparer sa main à la tienne, tu te sentais toute petite et vulnérable à ses côtés.

- Cela veut-il dire qu'à partir de maintenant nous sortons officiellement ? A-t-il demandé.

- Qu'est-ce que tu veux dire par "officiellement" ? Tu as laissé échapper.

- (T/p), tu vis dans ma maison, techniquement mon frère et ma soeur nous voient comme un couple marié, comme leurs parents. Tu es la seule à pouvoir me gronder, en plus... À ce moment-là il a fait une pause. Nous l'avons fait, tu sais ce que nous avons fait, il a dit en passant sa main sur son visage encore une fois, un peu embarrassé à ce sujet.

Tu souris et en te lève de ta place pour t'asseoir à côté de lui et lui chuchoter :

- Comme si nous deux, après avoir vécu tant de chose dans ta chambre, nous étions nerveux à l'idée de dire que nous nous aimons.

Tu as ri encore plus fort en voyant qu'il était encire plus embarrassé, et à la fin, il a fini par te fuir en disant que tu essayais de le corrompre.

Bien que tes rires se soient arrêtés quand tu as réalisé qu'il était vraiment parti.

- C'est une bonne chose que tu n'aies rien demandé toi-même, si tu me laissais payer pour le tien aussi, je te tuerais, dis-tu en sortant ton portefeuille pour payer le parfait et ensuite le poursuivre.

Tu allais continuer à le taquiner pour le plaisir...