Suave Contigo | 𝐓𝐀𝐈𝐉𝐔 𝐒𝐇𝐈𝐁𝐀 𝐗 𝐑𝐄𝐀𝐃𝐄𝐑

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Avertissement : ce chapitre contient des cochonneries !

Tu as été un peu surprise lorsque tu as vu Taiju ouvrir la porte de ta chambre.

- Hey ! Qu'est-il arrivé à tes manières ? Frappe avant d'entrer ! Dis-tu, agacée, en le regardant.

Quelque chose n'allait pas chez lui. Il a pris tes épaules avec précaution et t'a regardé, le visage rouge.

- Je veux- je veux le faire.

Tu as été surprise par ses mots et l'as regardé, analysant toujours ce qu'il disait.

- Oui, s'il te plaît - je n'arrive pas à me sortir cette idée de la tête, soupire-t-il.

Tu as légèrement souri, te sentant fière de lui avoir fait ressentir cela, mais tu ne voulais pas en parler parce qu'il allait sûrement se mettre en colère.

- Moi aussi, je veux, tu lui as dit en lui tendant les mains. Mais tu peux aller à la pharmacie d'abord ?

- Oui, bien sûr, il a acquiescé.

Une fois que tu l'as envoyé au loin, il est revenu avec le visage plus rouge qu'avant à cause de ce que tu l'as envoyé chercher. Tu as légèrement ri, laissant des baisers sur son visage pour tenter de le rassurer.

- C'est pour être sûr ! Ne sois pas nerveux, tu as embrassé le bout de son nez et caressé ses joues.

- La prochaine fois, tu les achèteras toi-même...

- Quand j'aurai autant besoin d'aide que toi, j'irai faire du shopping moi-même.

Tu as embrassé ses lèvres. Il a grimacé de contrariété pendant un moment, mais cela a disparu lorsque tu as embrassé ses lèvres.

- Comment en sais-tu autant ?

- Parce que contrairement à toi, je fais attention aux cours et j'aime m'informer pour ne pas avoir de problèmes, tu lui as tiré la langue en riant légèrement.

Vous avez commencé votre petite séance par des baisers, tous deux étant aussi enthousiastes l'un que l'autre. Taiju, bien qu'il veuille le nier, était celui qui avait le plus les mains sur toi, enlevant déjà tes vêtements.

Il a essayé de bien te préparer à la recevoir, d'abord avec sa bouche et sa langue, en se servant des expériences précédentes qu'il avait eues avec toi et de ce que tu lui avais appris, puis avec ses doigts.

Tu te sentais sur un nuage, Taiju était quelqu'un qui prenait un peu de temps pour apprendre les choses, pour avoir la patience d'écouter et de comprendre, même s'il était reconnu comme têtu. Mais une fois qu'il l'a fait, il le garde toujours en mémoire, et il utilisait tout ce qu'il avait appris pour tout te faire ressentir du mieux qu'il pouvait.

Il accordait toute son attention à ton entrée ainsi qu'à ton clitoris, et même à tes seins. Il en prend un dans sa bouche et en joue avec ton téton.

Quand tu as voulu lui rendre la pareille, il a refusé, disant qu'il ne voulait pas que ce soit pour son propre plaisir.

- Tu sais comment mettre ça ? Dis-tu en le regardant avec un sourire tandis que tu le regardes ouvrir le préservatif.

- Je sais, je sais, a-t-il mentionné nerveusement.

Tu lui as tapé doucement sur le bras, et tu as fini par ouvrir et mettre le préservatif toi-même, tout en l'embrassant et en lui disant qu'il n'avait pas à avoir honte.

Cela t'a rendu très tendre qu'il soit comme ça, alors qu'il voulait lui-même en arriver là avec toi.

- Est-ce que tu te sens plus à l'aise si je fais ça comme ça ? Tu as demandé, en montant sur ses genoux, tes cuisses frôlant son membre. Oui, je veux que tu me dises ce que tu ressens.

- Oui, je veux que tu me dises si tu te sens mal à l'aise ou si ça fait mal ? Ok ? Dit-il, en plaçant vos mains sur vos hanches.

Tu as hoché la tête et cédé à tes entrailles, t'abaissant prudemment sur lui, étouffant de petits gémissements et halètements en mordant son épaule.

Ta langue et tes doigts n'étaient rien comparés à la taille de son membre.

- Ne te précipite pas, dit-il doucement, en caressant tes cheveux d'une main et tes hanches de l'autre. Ne te précipite pas, il sourit légèrement, en regardant tes jambes trembler. Tu n'es même pas à mi-chemin, détends-toi.

- De... trop... Dis-tu dans un soupir, en t'accrochant fortement à lui.

- Tu veux utiliser le lubrifiant que tu m'as fait acheter ? A-t-il demandé, ce à quoi tu n'as pu que hocher la tête.

Il a pris la bouteille pour l'utiliser, en essayant de rendre le processus plus facile.

Tu as repris ta position, sentant à nouveau ce mélange de douleur et de plaisir dans tes fesses. Il a fallu que tu prennes ton temps pour l'enfoncer complètement.

Pendant tout le processus, Taiju a essayé de t'encourager avec des mots qui n'ont fait que resserrer les murs de ton entrée sur son membre.

Tu peux le faire.

Ça fait du bien.

Ne sois pas pressée.

Tu peux la prendre jusqu'au bout.

Tu es ma femme maintenant.

N'arrête pas, fais-le pour moi.

Ce sont quelques-unes des choses que tu as pu entendre de sa part, et tu as juste hoché maladroitement la tête, incapable de former des mots.

- Je vais bouger, ok ? Dit-il en posant ses mains sur tes cuisses.

- Mmm... Tu as murmuré en accord en le serrant dans tes bras.

Un gémissement s'échappe de tes lèvres alors qu'il bouge pour la première fois.

Au début, son rythme était lent, mais sa façon de bouger te faisait sursauter, car elle était lente mais profonde. Progressivement, il a augmenté le mouvement de ses hanches de plus en plus, et il a pressé fermement contre votre peau, laissant des marques de ses mains sur celle-ci.

À ce stade, tu n'as fait que gémir des mots incohérents ou son nom de manière déformée.

Quand tu as enfoncé tes ongles dans son dos, il s'est arrêté entre deux halètements et des baisers dans ton cou.

- Tu vas bien ? Tu veux arrêter ? A-t-il demandé.

- Non... Non... Continue... Tu as murmuré en bavant presque, tout en cherchant ses lèvres pour un baiser.

Vous avez continué votre nuit passionnée, alors que les pauvres jeunes frère et sœur entendaient le lit grincer.

Aucun d'entre eux n'a hésité à s'enfuir de chez lui avec un ami dans cette situation.