Boruto x Sarada : Dark love

Chapitre 8 : Réaction

PDV Sarada 

Il s'arrêta de parler, il prit une grande inspiration et dans un mouvement très lent, il enleva ses mains de mes bras et les mît sur le haut de ma capuche. Il s'arrêta encore, il reprit une inspiration et enleva ma capuche. 

Il me fixa avec attention, mis surpris mis impassible. Il prit mon menton, tourna ma tête à droite, puis à gauche. Il toucha mes cheveux long et les fit glisser dans sa main, il regarda chaque parcelle de mon visage. Soudain il s'arrêta. Il se rapprocha de moi entoura ma taille avec son bras, me rapprocha de lui et m'embrassa a pleine bouche. Tous ces contacts me firent frissonner, mon corps s'emballait et tout mon être était en feu. Je ne comprenais rien à ce qui se passait mais j'aimais ça. J'aimais cette tendresse et cette sensation, j'aimais le goût de ses lèvres et sa présence sur les miennes. Quand nous nous séparons a cours d'air, nous étions essoufflés et Boruto déclara. 

Boruto : Que tu sois une tueuse, une assassin mondialement connue, une introuvable ou autre chose encore, je t'aime Sarada. 

Que dois je répondre à ça ? En guise de seule réponse je sauta sur lui et prit ses lèvres. Je crois que je ressentais la même chose et je voulais le lui dire. Quand nous nous séparons, il me sourit tendrement et me porta pour me jeter sur le lit. Il se positionna au dessus de moi et commença à me chatouiller. Je rigola a plein poumons, une minute s'était déjà bien écoulé et j'étais en larmes, j'avais tout simplement trop rigolé. Je remarqua que Boruto me regardait, mais bizarrement, comme ci il voulait me poser des questions, qu'il hésitait à poser.  

Je lui pris les mains et lui parla. 

Sarada : Il y a quelque chose qui ne va pas ?

Boruto : Eh bien... je voulais... euh.... Je voudrais savoir si tu as vraiment tuer des personnes. 

Je détourna mon regard, tout d'un coup tout mon corps devenu lourd et presque insoutenable. Je portais leur mort dans mon cœur sans pouvoir enlever ce poids qui était depuis maintenant des années avec moi. J'ai du tuer une personne à 16 ans mais la première personne que j'ai tuer, ce n'est pas moi qui est appuyé sur la détente, c'était mon père et c'était ma faute. Je porte maintenant une quantité de meurtre abominable sur mes épaules. Est ce que je me sentirais mieux si toute cette peine et ce chagrin n'était plus la ? 

Sarada : Oui, j'ai tué des gens, ils n'étaient pas innocents mais il ne méritait sûrement pas la peine de mort. A vrai dire, je n'ai jamais eu envie de les tuer, j'étais surtout ordonnée à le faire. Cela ne me faisait vraiment pas plaisir, je n'ai jamais voulu voir leur corps tomber à terre en s'échappant d'eux une flaque de sang, et je n'avais encore moins envie d'assumer que c'était moi qui avait appuyé sur la détente. J'ai toujours vu le rouge comme seule couleur dans ma vie, mais je remarque maintenant qu'il y en a beaucoup d'autre. 

Je me tourna vers lui mis ma main sur sa joue, la caressa er l'enleva, puis heureuse je lui adressa 

Sarada : comme le jaune et le bleu par exemple. 

Il mit une main sur ma joue et rapprocha son visage du mien. 

Boruto : Sarada, je t'aime énormément. Mais tu sais très bien que tous le monde ne va pas avoir la même réaction que moi si ils te voient. Il faudra donc que tu te caches un moment. J'ai encore d'autres questions, qu'es tu venue faire ici ? 

Mince, la question piège. Comment répondre ? Si seulement j'avais une autre raison de venir ici, une autre raison que celle où je dois tuer son oncle ! Je baissa la tête en recherche de réponse. Puis une idée m'ait venue, je remonta mes lèvres en un sourire pour rendre ça plus réaliste et lui annonce : 

Sarada : Je me suis enfuie ! J'en avais marre de ma petite planque et je voulais découvrir d'autres choses encore ! Alors j'ai pris le train et je suis partie ! 

Boruto : Sérieusement ? Bon passons, une autre question, pourquoi es tu devenue une tueuse et comment ? 

Sarada : Si je suis devenue une tueuse, ce n'était pas par choix mais par obligation. J'ai été obligé. Obligé de suivre un entraînement horrible, obligé d'assumer la mort de ma mère, obligé de tenir un pistolet et d'autres armes capables de tuer dans ma main et obligé de tuer des personnes. Tout ça était des ordres. Avant ça, je crois que j'étais heureuse. Enfin, ça remonte a tellement longtemps, mais, je sais que ma vie était différente, même mieux que celle ci, j'étais avec ma mère et mon père, et nous étions tous heureux. Nous étions des personnes normales en soi. Quand ma mère mourra subitement, mon père devenu fou, il a dit que ma mère aurait été assassinée et qu'il ferait tout pour la venger ! Bien sûr, ce serait à moi que reviendrait cette tâche. Il m'a entraîné, jour et nuit, en ratant presque la totalité des repas et voilà ce que je suis devenue. Une fille de 16 ans connue mondialement par ses nombreux meurtres et sa dangerosité.  

Je le regarda, il était triste, même désolé pour moi. Il mit sa main derrière ma taille, me rapprocha de lui et me prit dans ses bras. A mon tour, je m'y réfugia et des larmes firent leur apparition. Il caressa ma tête, il avait sûrement sentie les larmes. Il commença à me bercer, en me ramenant en boule près de lui, comme un père en train de soulager son enfant. Tout lui raconter ma fait un énorme bien, cela m'a soulagé de plusieurs poids et je me rend compte que maintenant combien c'est indispensable d'être entourée par des gens bienveillants. Et je crois bien que j'ai trouvé cette personne, elle sera mon âme sœur mais avant tout la personne que j'aime le plus dans ce vaste monde...