La gare.

15 0 1
                                    

Comme je mis attendais mes grands parents du côté de mon père sont arrivés au bout de trois jours. Voulant voir leurs fils et aider ma mère.
C'est ainsi que j'ai dû aller en ville pour les récupérer à la gare.
Et qu'actuellement je les cherche sur le quai 5. Où un train venant de Paris doit être arrivés.
Problème : je ne les trouve pas.
Deuxième problème : ma mère nous attends dans un café à côté de l'hôpital.

Je passe à travers les passants encombrés de bagage qui discutent.

- Gand-Ma ! Grand- Pa ! Je m'époumone sans grand résultats ma voix est couverte par le bruit des trains.

Je fini par sortir mon téléphone et appelé ma grand mère qui répond au deuxième coup.

- Hey grand-Ma, where are you ?

- Hey ! Your brother told us to get out of the station. We found him. Me fait-elle toute joyeuse alors que je sens la colère gonflé mon coeur.

- Oh cool ! I’m finally breathing. Can you put Adair on please ?

- Of course no problem.

- Thanks ! J'attends d'entendre...

- Salut... Bredouille-t-il quand sa voix raisonne alors que je me dirige vers la sortie.

- What’s this fucking joke ?! Je gronde toujours en anglais partie sur la lancer.

- C'est pas de ma faute, maman m'a dit de venir les chercher. Il parle avec une voix tellement désolée que j'ai envie de lâché l'affaire.

- So do I !

- I’m sorry I didn’t know... Dit Adair en passant lui aussi en anglais.

- Is mom still at the cafe? Je demande redevenu faussement calme.

- Yes I believed.

- Merci. Je lâche avant de raccrocher.

Trop en colère je décide de prendre le train suivant qui me ramène à Molin.
Sur le long du trajet je réfléchis à tout ce qui ce passe en ce moment, je me sens trahis et inutile. J'ai même l'impression d'être un boulet entravant les chaînes de ma mère. Seul Adair me répond et Élise ne m'a répondu qu'une seule fois.

Le monde est-il vraiment contre moi ou est-ce juste moi qui ne sert à rien ?

Avec cette pensée me tournant en boucle dans la tête je remonte chez moi. Il fait de nouveau bien froid. En même temps ce n'est pas bien étonnant nous sommes début décembre.
Je suis heureuse de voir de la condensation apparaître à chacune de mes respirations.
L'air froid m'arrache la gorge mais ça ne m'empêche pas de pénétrer dans la cours de la ferme et de mis planté.
J'observe la maison. Ma maison. J'ai l'impression qu'elle n'est qu'une illusion.

Je reste longtemps comme ça à contemplé les alentours, à entendre les moutons et les vaches. À cette Orchestre devait ce rajouté des poules du moins papa le voulais.
Je suis tirer de mes pensées lorsque mon téléphone dans ma poche fibre. Je décroche les mains gelé, je ne m'en était pas rendu compte.

- Allô ?

- Oui ? Je demande sans grande conviction.

- Tu es où ? Me demande cette voix bien familière.

- Pourquoi ? Je lâche de moins en moins motivé à bouger le moindre orteils. Bien souvent après la colère viens une certaine tristesse ou mélancolie ( et j'ai chopé le virus, rire).

- Tes grands-parents m'ont appelé ils sont inquiet.

- Ah. Je ne suis même pas étonnée et je n'éprouve aucun remords. J'ai l'impression de ne plus rien ressentir.

Ma vie d'AprilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant