[Lo'ak impatient, attendait celle qui l'intriguait devant la maison du chef. Il avait arrangé ses tresses avec l'aide de Tsuya et Kiri et c'était munis du poignard de son père.]
Tsireya: Je suis prête j'arrive Lo'ak.
Le chef: Où vas-tu ma fille?
Tsireya: Lo'ak m'emmène sur le dos de son Ikran voir la mer vu du ciel.
Le chef: Je rêve ou c'est un rendez-vous?
Tsireya: Papa ne t'inquiète pas. Je serais de retour avant le petit matin c'est promis.
Le chef: Faites bien attention...
[Tsireya avait déjà filer rejoindre Lo'ak. Elle sortit de la hutte en vitesse et le salua.]
Tsireya: Je suis là! Vite partons avant que ma mère me pause des questions aussi.
[Lo'ak, resta immobile devant ce qu'il voyait. Tsireya était sublime, ce qui le figea pendant quelques secondes. Il n'avait jamais vu une ceinture de perles turquoises si brillante ni un haut tressé de cordages si précieux. Le long de ses cheveux bouclés était accroché de petits coquillages appelés cauris qui retenaient son attention.]
Tsireya: Lo'ak tu m'entends?
Lo'ak: Heu oui... partons, tu as raison.
[Lo'ak ordonna à son Ikran de s'envoler dans les airs. Tsireya, pour ne pas avoir de déséquilibre s'aggripa en enroulant ses bras autour de la taille de son conducteur. Lo'ak survola plusieurs dizaines de récifs, peuplés de poissons fluorescents qui illuminaient la nuit tandis que les étoiles servaient de repères sous un ciel complètement découvert et calme. Tsireya était émerveillée par ce qu'elle voyait. Lo'ak n'avait qu'une chose en tête, Tsireya, qui était à ses yeux plus belle encore que chaque créatures, paysages, et lumières qu'il pouvait admirer.]
Tsireya: Lo'ak c'est magnifique regarde là bas. C'est un couple de Tulkun qui parade en se jetant or de l'eau.
Lo'ak: Tu es bien plus belle encore Tsireya. Je veux qu'on se pose sur cette plage.
[Ils y déposèrent l'Ikran un peut plus loin puis se jetèrent à l'eau. Aucun moment ne fut plus romantique et joyeux que celui-ci entre eux deux. Lo'ak l'éclaboussa tandis que l'eau reflétait une lumière fluorescente, rosé absolument sublime.]
Tsireya: Attrape moi donc Lo'ak puisque c'est comme ça.
[Tsireya plongea suivi de Lo'ak qui n'en croyait pas ses yeux. C'était comme si le paradis était là, sous la mer. Mais, Tsireya était beaucoup trop rapide pour lui et l'air vint à lui manquer. Il était trop tard pour remonter vu la profondeur où il se trouvait. Tsireya l'attrapa par le bras et le fit remonter.]
Tsireya: Lo'ak! Lo'ak répond moi! Zut! Il ne respire plus..
[Tsireya posa ses lèvres sur les siennes est essaya de lui transmettre de l'air. Quand tout à coup Lo'ak ouvrit les yeux et se mit à rire.]
Tsireya: Quoi!
Lo'ak: Tu devrais voir ta tête.
Tsireya: Ce n'est pas drôle Lo'ak j'ai eu peur.
Lo'ak: Pardon Tsireya je voulais pas te vexer, juste te faire rire.
[Tsireya défronça ses sourcils et lui sourit.]
Tsireya: Bon j'avoue que c'était marrant.
[Ils se regardèrent pendant un long instant sans pouvoir se lâcher du regard.]
Tsireya: J'ai remarqué que tu avais modifié tes tresses Lo'ak. C'est Tsuya n'est-ce pas? Je reconnais sa manière très spéciale de coiffer les cheveux.
Lo'ak: Oui je voulais changer quelque chose. D'ailleurs j'adore la façon dont tu arbores toute les richesses de ta tribu sur ton corps, ça te va vraiment bien et...
Tsireya: (le coupa) Je te vois Lo'ak Sully.
[À ces mots Lo'ak plongea son regard dans celui de Tsireya, reflétant la lumière des planètes au dessus d'eux. Il rougit et répondit: ]
Lo'ak: Je te vois Tsireya.
[Le reste de la soirée se déroula sans aucune autres mauvaises blagues de Lo'ak qui, en présence de la fille du chef se sentit important aux yeux de quelqu'un. Il lui raconta comment il avait réussi à dompter son Ikran et son premier vole avec. Tsireya était impressionnée par son récit et émerveillée par celui qu'elle avait devant elle. Malheureusement ils n'avaient pas vu le temps passé, et il fallut déjà rentrer au village.
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Neteyam le garçon bleu
FanfictionJe n'aurais jamais pensée voir un jour le fameux peuple de la forêt. Je suis née ici parmis la tribu de l'eau, nommée Tsuya et élevée par une famille commune au peuple. Pourtant mon quotidien semble être chamboulé par un garçon bleu.