AVATAR-THE WAY OF WATER: 𝒑𝒐𝒘𝒆𝒓 𝒐𝒇 𝒍𝒐𝒗𝒆 𝒂𝒏𝒅 𝒔𝒐𝒍𝒊𝒅𝒂𝒓𝒊𝒕𝒚 𓆉

Neteyam

Nous allons partir. Nous n'avons pas le choix. Depuis la décision que Père a prit que nous avons écouté en cachette avec Lo'ak, Kiri et Tuk, on a compris qu'il fallait partir. Nous allions devoir quitter notre village et c'était très difficile pour Maman. Elle ne supportait pas de s'en aller et de quitter les siens, surtout après la promesse qu'elle avait donné à son père qu'elle ne cessait de répéter. Il fallait le faire dans tout les cas. Père nous a dit qu'une menace était à notre recherche et que les "démons venus du ciel" avec qui il avait travaillé avant de rencontrer maman était de retour et qu'il nous voulait du mal. Il fallait d'ailleurs partir sur le champ. Père veut nous rencontrer pour nous parler.

- Alors les enfants, nous devons partir sur le champs, et je vous ai expliqué pourquoi. Alors vous allez devoir dire au revoir à vos cousins, tantes, oncles. Nous allons prendre la route ce soir, est-ce bien clair?

- Oui chef.

- Allez-y maintenant, on se retrouve ici avec les Ikrans prêt à partir dans 30 minutes.

On se dirigea avec notre mère vers le centre du village, dans l'arbre maison. Mère ne cessait de pleurer. Ça me faisait mal au coeur de la voir comme ça, mais c'était pour notre bien. Si j'avais pu, j'aurais tout fait pour rester ici, quitte à me battre contre la menace qui se dirigeait vers nous.
Je ne supportais pas de voir ma famille se déchirer de la sorte.
Les adieux se sont fait aussi rapidement que déchirant. Spider devait malheureusement rester au village, on allait le récupérer lorsque les affaires seront réglé. Sinon c'est trop dangereux pour lui.
Père devait laisser place à un nouveau Toruk Makto afin de veiller sur le village à sa place. Il devait à présent céder sa place à un de ses frères.

On a marché au milieu jusqu'à nos Ikrans. Le peuple avait décidé de créé une allée seulement pour nous afin de dire au revoir de la bonne manière, comme le dit la tradition. « Meilleur nous empruntons une âme de Eywa dans la joie et le bonheur du clan, meilleur seront les au revoir du grand chef »

Nous nous sommes placés sur nos Ikrans. Nous avons décollé en ayant chacun un énorme poids sur notre cœur. Ce jour sera gravé à jamais. Il est tellement injuste de quitter son clan aussi sauvagement. Cette menace n'apportait rien de bon et s'il fallait se battre pour sauver et protéger les siens, je suis un guerrier, alors bataille ça sera.

La route fut longue. Nos Ikrans étaient fatigués, mais hors de questions de s'arrêter en plein milieu du chemin.
J'ai également remarqué que Tuk s'était endormi dans les bras de maman. Elle était épuisé, la pauvre.

Le voyage était long et parfois même semé d'embûches. On a parcouru durant le jour, et la nuit. Il arrivait qu'on vol pendant des heures sous un couchée de soleil ou une nuit étoilée, mais il arrivait aussi qu'on vol pendant des heures sous une tempête de pluie et qu'on aille à serré nos Ikrans le plus qu'on pouvait pour pas d'éraillée sous la forte tempête. Le pire c'était une tempête de pluie en pleine nuit, on ne pouvait rien voir, les Ikrans étaient fatigués et apeurés. Il fallait donc les diriger le plus rapidement possible pour les sortir de cet obstacle.

Après des jours et des nuits, très loins de notre chère  maison, on finit par arrivé au nord de Pandora. Dans le village des Metkaïnas. Un village particulièrement entourée d'eau. On a entendu dire qu'il chassait beaucoup et qu'il chaussait des Skimwing. Ce sont de sorte de gros poissons géant volant qui gardent également leur traces dans l'eau marine. 

On finit par déposer tranquillement nos Ikrans sur le sable en descendant de ces derniers. Le peuple se mit à se rassembler autour de nous, ne comprenant pas ce qui se passait. L'alerte fut déclarée dans tout le village. C'était d'ailleurs logique, il fallait annoncer les nouveaux arrivants.
On suivit nôtre Père qui s'avança tranquillement vers Tonowari, chef du clan des Metkaïnas.