Je n'ai plus besoin de cette brise évidente pour guider mes songes ahurissants. Il m'est plus simple que la moyenne de me marginaliser, histoire de me retrouver.Il est aussi davantage intéressant d'analyser le peu de vitalité qui referme en nos biens aimés.
Tout le long d'une vie, juvénile par mon âge, j'ai cherché à trouver la profondeur de l'humain.
Il n'en est rien.
Fade, égoïste, aigris et pleins de mépris : des défauts qui me font défauts.
Une socialisation orchestrée par nos pairs.Je me regarde dans le miroir, j'aperçois tant de noirceur que j'ai juré de combattre.
Mais la sociologie qui décrit nos vies est terne.
Je t'aime pour la vie.
Mais comme chaque homme, je suis rempli de mépris.
Désolé, il est tant de m'en aller.
Un jour peut être, je te donnerai tout mon être.
Un jour peut-être.
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Une pensée perdue
PoetryTout comme ma personne me le demande, j'écris. Il n'y a pas de structures précises pour cela, car mes pensées ne sont pas ordonnées. Il est simplement le lieu de recueillement de mes maux, pour transformer un tout en mot. Dans la continuité de "let...