𝗦𝗰𝘂𝗹𝗽𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗺𝗮𝗿𝘁𝗲𝗮𝘂,𝗽𝗲𝗶𝗻𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗮𝘂

399 41 29
                                    




𝗝'𝗺𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀 𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗰𝗿é𝗮𝘁𝗶𝗳.

————————————————————

-Quand était le dernier contact que vous avez eu avec lui ?

-Avant de prendre l'avion,il m'a demandé ce que je voulais manger ce soir.

-Et physique ?

-Avant de partir à Maranello.

Le policier en face de lui prenait des notes sur absolument tout ce qu'il disait pour ton retranscrire dans le dossier fait pour.

-Il s'est déjà montré violent avec vous ?

-Quoi ? Non ! On vivait un parfait amour monsieur,jamais de la vie il n'a été violent.

-Avait il des ennemis ?

-Euh,des anti-Verstappen ? Je sais pas si on peut vraiment appeler ça des ennemis ?

Le policier hocha la tête,Charles ne lui apportait rien de nouveau.

-Le couteau que l'agresseur a par miracle oublié d'enlever et ce qui le retenait en vie appartenait à votre famille vous le saviez ?

-Quoi ?

Les bras de Charles tombèrent sur la table.

Comment ça ce couteau leur appartenait ?

Et depuis quand ils avaient un couteau de famille ?

-Toute votre famille s'entendait bien avec votre petit ami ?

-Oui ! Il fait parti de la famille ! Tout le monde l'aime puis ni ma mère ni mes frères seraient capable de poignarder quelqu'un ? Ça va pas dans votre tête ?

-Monsieur Leclerc ! Ce sont des simples questions.

-Non ! Vous êtes entrain d'accuser ma famille,j'étais même pas au courant qu'on avait un couteau de famille sérieusement qui en possède ça chez sois ? Au lieu de m'accuser cherchez le vrai suspect,vous n'êtes que des incompétents.

Le policier perdit patience et passa les menottes à Charles.

-Vous allez passer la nuit ici,pour outrage à agent,votre célébrité ne passera pas cette fois.


£££


La cellule de Charles s'ouvrît ce qui fit sursauter le pilote.

-Votre frère est venu payer,vous êtes libre.

Charles soupira de soulagement,il imaginait déjà la tête de Fred en apprenant son passage en « prison ».

-Charles pourquoi t'as fini en garde à vue ?

-Ils nous soupçonnent donc je leur ai dis qu'ils étaient incompétents,ça leur a pas plu apparemment.

Lorenzo s'arrêta et son cœur se brisa légèrement.

Son frère se brisait de plus en plus alors que Max était dans le coma seulement depuis quelques heures.

-Charles c'est leur boulot,ils font ce qu'ils peuvent.

Le cadet haussa les épaules peut convaincu.

-On mange chez maman ce soir,elle a fait des cordons bleus.

La vision de Charles se brouilla légèrement,les larmes menaçaient de couler.

-Comme le soir de la mort de papa...

-Charles.

-Max n'est pas mort.

-Non il n'est pas mort.

-Et il ne mourra pas,il a encore toute sa vie devant lui Lorenzo.

-Oui,tu sais ça a aucun rapport le fait que maman ait fait des cordons bleus et l'agression.

Charles ne répondit rien.

Personne ne semblait convaincu que Max allait survivre.



£££

-Viens la mon petit délinquant.

-Maman...

Pascale n'écouta pas les plaintes de son fils et le serra très fort dans ses bras,essayant de le rassurer le plus possible.

La mère de famille connaissait très bien cette sensation.

Celle de perdre l'amour de sa vie.

Et elle regrettait profondément que Charles le vive.

-Maman ? Vu que Charles a un casier judiciaire j'ai le droit de dire que mon frère a fait de la prison ?

-Arthur...

-Notre frère est allé en taule !

Charles leva les yeux au ciel,son frère dramatisé toujours tout.

-C'était comment la vie la bas ? Tu vas faire des tatouages ? T'as pensé à nous ? C'est ce qui te faisait sourire ? J'aurais jamais parier sur toi.

-Je crois qu'Arthur se fou de ma gueule.

Son petit frère lui fit un léger sourire en coin.

-Leger.

A bout de patience Charles lui lança un doigt d'honneur et sa mère s'indigna.


£££

Pascale avait insisté pour avoir tout ses fils sous son toit ce soir là,conscient qu'ils avaient tous besoin d'être ensemble et quand 22 heures sonna la mère de famille invita Charles a jouer du piano.

Conscient du bien que ça pourrait lui faire le monégasque se place devant l'instrument qu'il avait reçu pour ses 8 ans et qu'il connaissait par cœur.

Ses mains restèrent en suspend au dessus des touches pendant quelques instants avant d'inspirer.

Alors Charles laissa parler son cœur.

Ses pensées les plus intimes étaient retranscrites.

Son cœur saignait.
Ses mains le faisait ressentir.
Ses pensées indiquaient qu'il voulait rejoindre Max.
La mélodie le faisait comprendre.
Son âme sœur lui manquait.
La brutalité de la chanson le montrait.

Les dizaines d'inquiétudes se faisaient ressentir avec un seul moyen de communication.

Le piano qui avait une place si importante dans le cœur de Charles.

Non pas pour la beauté de la mélodie qu'il dégageait mais surtout pour les souvenirs qu'il avait avec.

Et rien au monde le temps les effaceraient.

————————————————————

On avance doucement dans l'histoire !!
J'espère ça vous plaît!
Bonne rentrée à ceux de la zone b (moi jpp) !!
A mercredi !!

𝗗𝗘𝗖𝗥𝗘𝗦𝗖𝗘𝗡𝗗𝗢 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant