Chapitre 2

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- Bien le bonjour les jeunes, comment s'est passée cette mission ?
-Bonjour chef, eh bah, avec succès, sauf que nous avons laissé échapper deux témoins.- dit Dazai
- Hahah ! Et comment ont ils fait ?
-Ils ont lancé un appareil, et un bruit pas très catholique en est sorti. Je pense que c'est un téléphone.

Le roux, venant de le dire, avait le rouge aux joues. Le chef, étant Mori, pouffe de rire. Ces deux gamins lui sont chers, ils sont comme ses enfants pour lui, même si ça ne l'empêche pas de les envoyer en missions dangereuses. Ces paroles lui ont rappelé que Dazai et Chûya, n'ayant encore que 17 ans, ne sont que des enfants purs.

- Bon, bon, et si c'était un téléphone et que ça fesait du bruit, ça veut dire que l'espion n'était pas seul, mais aussi que vous avez pu voir son numéro ou son nom de contact.
- Comme d'habitude Mori, tu as raison. Il y avait une certaine T/p.
- Une dis tu Dazai ? Tu n'avais pas dit que tu voulais commencer à proposer aux belles jeunes filles de se suicider avec toi ? Si elle dit oui ça sera d'une pierre deux coups: tu es content, et on a une cible en moins.
-Je doute que c'est une fille habituelle chef, je pense qu'il faudrait d'abord vous la présenter.
-Chûya, ne me dis pas que tu est tombé sous son charme ? Je ne peux pas perdre deux de mes meilleurs subordonnés en une fois ! Ah la la les jeunes, vous êtes vraiment faciles à avoir.
-Mais non chef ! Jamais je ne tomberai amoureux de l'ennemi, et puis je ne l'ai vu qu'une fois. Et en plus elle était en pyjama, avec un pull chat, avec un style pareil pour aller en mission et en lançant un Yamete Kudasai, et aussi en hurlant:"PUTAIN FRÉROT LA MOQUETTE" quand j'étais tranquillement en train de tuer quelqu'un, pourquoi elle me plairait ?

Mori recommença à rigoler. Mais son subordonné dont la nature n'a pas fait dont d'une grande taille, était agacé qu'une fille en pyjama lui a ruiné sa mission. Pendant ce temps, Dazai avait un petit sourire. En repensant à la scène, elle était vraiment comique.

- Bon Chûya, Dazai, je vous laisse. Je vous laisse la matinée de libre, puis partez à la recherche de cette inconnue. Je ne voudrais pas qu'on perde une possibilité de recrutement.
- Pourquoi êtes vous sûrs qu'elle n'est pas une espionne?
- Car si c'était vraiment une espionne, elle n'utiliserait pas de telles techniques de débutant. Et puis même si elle l'était, elle ne travaille sûrement pas pour une grosse organisation, donc elle ne représente pas de danger.
- Mais elle n'était pas seule. L'autre était tellement paniqué qu'on aurait cru qu'il voyait des fantômes.
- Raison de plus pour ne pas s'inquiéter. Aller zou, barrez vous, je dois écrire une lettre à Élise, et puis lui faire essayer de nouvelles robes.
- Je vais donc humblement me retirer pour sauter d'un pont.
- Ouais, meurs s'il te plaît.- dit le roux

Dazai avait un petit creux, donc alla au supermarché le plus proche.

Mais revenons à ton cas. Deux adolescents, entre 15 et 17 ans, en pyjama, courent, finissent essoufflés, et s'asseyent par terre. Vous avez une mine horrible. Étant tombés plusieurs fois durant votre course, vos visages étaient sales, et n'importe qui aurait pu croire que vous vous êtes enfuis d'un orphelinat où l'on vous battait. A la fin de votre fuite, comme je l'ai déjà dit, vous êtes assis par terre, et une femme passe. Elle commençait sa journée, en apportant du café pour tout le monde dans son bureau, mais en vous voyant si pitoyables, elle vous en donna un chacun. Vous étiez choqués, ne compreniez rien à ce qui se passait. Mais vous la remercières comme même, par politesse. Nils ne sachant boire avec le couvercle, l'enleva, bu, et posa son verre par terre. Quelques minutes après, un billet apparu dans son verre,c'était d'un passant. Nils voulu le rendre à l'homme mais tu l'arrêtas.
- T/p? Pourquoi tu m'as arrêté ?
- On n'a pas d'argent, dans un monde inconnu. Tu penses vraiment qu'on peut se survivre sans rien ?
- Oui tu as raison. J'ai faim, on va à un supermarché le plus proche?
- Oui allons y.

Nous allâmes au supermarché le plus proche. On a décidé d'acheter un petit déjeuner . J'aperçus un garçon brun, incroyablement beau, dans un cosplay de Dazai. J'aurais juré que c'était vraiment lui, quand il était à la mafia.

-Nils regarde ! Y'a un mec cosplayé en Dazai ! Il est trop beau ! Tu penses que si je lui demande de prendre une photo de lui, de m'épouser, puis de faire un suicide amoureux il accepterait ?? Désolé vrai Dazai, mais je suis tombée amoureuse, en plus du vrai toi, de ton sosie dans ce monde.
-T/p t'es bête ou quoi ? C'est le mec du hangar ! Comment ça se fait que tu n'as pas compris qui c'était ?!
-... Pardon ?

Quand ce mot sortit de ma bouche, je sentis une main sur mon épaule.

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Dazai x reader f x Chûya Où les histoires vivent. Découvrez maintenant