Ma prisonnière

•7•

• PDV HANSI •

Je suis appelé en toute urgence vers les cellules d'isolements. Je me demande bien qu'est-ce qu'il se passe.

J'arrive et je vois T/P assise sur une chaise et regardant droit devant elle. Elle a tellement de prestance et elle est si intimidante.

T/P : Mademoiselle Zoé je sais que vous me regarder faites moi sortir de là.

Hansi : Comment avez vous su que c'était moi vous ne voyez rien à l'intérieur de la cellule ?

T/P : J'ai reconnu vos bruits de pas.

Impressionnant.

Hansi : Ouvrez la cellule.

Ils ouvrent la cellule et font sortir T/P.

Hansi : Je m'occupe d'elle nous devons discuter.

Je me met derrière elle et lui touche le poignet. Je frissonne à son contact. T/P T/N est le fruit défendu.

Elle m'excite tellement. J'ai envie de sauter sur elle et lui faire l'amour.

T/P : On y va ?

Hansi : Oui allons-y.

Je me dirige vers mon bureau on entre je la détache et la fait s'asseoir.

Je m'assois en face d'elle et nous nous regardons.

Hansi : Mademoiselle T/N vous ne pouvez pas tabasser les personnes comme cela.

T/P : Elle m'a provoqué.

Hansi : Ce n'est pas parce qu'on vous provoque que vous devez réagir au quart de tour mademoiselle T/N.

T/P : Elle l'a bien mérité cette petasse.

Hansi : Elle a une commotion cérébrale. Elle peut mourir !

Elle me regarde avec des yeux noirs.

T/P : Elle ne devait pas prononcer le nom de mon nonno surtout si c'est pour le salir !

Une larme coule de son œil.

T/P : Mon nonno était une personne formidable il sait toujours occuper de moi il a toujours pris soin de moi et cette petasse sali son nom devant moi, tant que je serai en vie personne je dis bien personne ne parlera en mal de mon nonno.

Elle dit cette phrase à bout de souffle. Elle semble épuisée.

Hansi : Ça a du être tellement dur pour toi...

T/P :..

Hansi : Ton grand-père est mort tu n'as même pas pu faire son deuil que tu devais déjà reprendre les raines de la mafia. Tu as du te sentir tellement seul et abandonné.

Elle baisse la tête, je suis consciente que sa vie doit être dur. On ne choisit pas ou l'on naît. J'ai tellement envie de la prendre dans mes bras. Elle a l'air si vulnérable.