PDV Doryhane :
Je sens mon corps se faire secouer. J'ouvre les yeux et je lâche un grognement rauque. La main d'Emily se plaque contre ma bouche. Je prend ça pour un jeu et lèche doucement sa main, elle rougit et tremble. Je souris et entend la porte se claquer. Je réalise que le père d'Emily vient de rentrer. Je regarde son visage, il est contracter par le stress. J'entend les pas se rapprocher du salon, je lui fais clin d'œil et me transforme en chauve-souris. Je me cache dans le cou d'Emily. Le père entre dans le salon un sac à dos sur les épaules. Il ne me voit grâce aux épais cheveux blond d'Emily.
-Je repart, dit-il de sa voix grave. J'avais juste oublier un dossier. Je reviens dans 3 jours, ça va toi?
-Euh oui oui, répondit Emily, tremblante. Je viens de me réveiller.
Le père haussa les épaules et sorti de l'appartement. Emily poussa un soupir et je m'envola dans son appartement pour redevenir humaine. On se regarde quelque seconde avant d'exploser de rire pour relâcher la pression. Je senti à nouveau sa main se plaquer sur ma bouche. Elle c'est levé et me regarde avec désir. Je souris et me remet à lécher sa main. Elle rougit et attrape ma main pour la diriger vers son intimité. Je passe mon autre main le long de son corps et appuie sur son intimité, ce qui la fait sursauté. Je la porte jusqu'à sa chambre et la plaque contre le mur, je la regarde et je sens le sang coulé sur ma lèvre à force de trop la mordre.
J'allais l'embrasser mais j'entend mon téléphone sonner sur ma table de nuit d'Emily. Je soupir et regarde l'écran qui affiche le nom de mon frère. Il ne m'appelle jamais sauf urgence. Je sens la pression monter et je m'approche de mon tel. Je rate l'appelle mais un message de Niku s'affiche.
<<Putain Doryhane, je sais pas ce que tu fou mais ramène toi vite. On a eu un appel du conseil. Il y a une réunion dans une semaine. On est dans la merde ils nous haïssent tous. Faut qu'on se prépare sinon on est mort. Je sens l'embuscade. Arrête de te taper Emily et viens !!>>
Je lâche mon téléphone par terre et recule. Je fixe le sol et me met à trembler. Merde, merde, merde. Le conseil est le groupe de mafieux le plus puissants du coin. Toutes les mafia mineures ou majeures du coin vont se rassembler. Niku à raison, ils nous détestes. A quatre nous avons obtenu plus de richesse que certain parrain. Ils nous jalouses et veulent notre mort.
-Doryahne ça va?.. me demande Emily.
Je me tourne vers elle. Je ne peux pas lui dire la vérité. Elle ne voudra plus être avec moi. Je me jette dans ses bras. Elle me serre et nous restons comme ça quelque minute dans le silence.
-Dis-moi ce qu'il y a Doryhane...
Je ne sais pas quoi répondre. Je déteste lui mentir, elle ne mérite pas ça. Mais je ne suis pas débile, je sais comment elle va reagir en sachant que je suis a la tête de la mafia du coin, que même si je déteste pas je gère un réseau de drogue et de trafique d'organe humains. Je n'ai jamais vraiment voulu faire tout ça. Putain..
-Ce n'est rien, mon frère m'a demandé de rentrer parce qu'on... euh parce que mon père n'a pas de mes nouvelles et il commence à péter un plomb. Même si on ne peut pas toujours se saquer, il s'inquiète pour sa fille, mentais-je assez mal.
Ça se voit sur son visage qu'elle a compris que je ment. Elle me pousse gentiment la tête baissée et part vers la salle de bain. Non, non, non.
J'attrape son poignet et la regarde.-Assis toi ça vaut mieux, dis-je.
Elle ne comprends pas mais s'assoit quand même sur le canapé. Je m'installe à côté d'elle et me prépare à déballer mon demi mensonges.
-Il y a deux mes parents vivaient le parfait petit amour dans le manoir familiale dans la forêt. A cette époque j'étais une collégienne normal si on enlève le fait que j'étais un vampire de naissance. Ma famille était une des rares chez les vampires à vivre sans criminalité, a se nourrir de faux sang et travailler comme des humains. La plupart des autres vampires baignent dans la criminalité pour survivre.
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Elle est tout ce que je déteste...
Teen FictionLa première fois que j'ai vu cette gamine elle me faisait pitié. Elle était si frêle et accessible. Elle me détestait moi et mon monde, ça m'allait très bien comme ça. La seule qui m'attirait c'était l'odeur de son sang. Un sang si pur. Alors je me...