Dans cet écrin de verdure tout près de la fontaine
Ou l'on se perd ou se devine la peine
À frôler ces bancs inoccupés ou l'on attend en vain
Alimentant les pigeons errants férus de mie de pain
L'on demeure ainsi assis immobile, cons, vaincus
Du temps qui passe, insolent et qui ne reviendra plus
Ainsi affalés sur ces bancs dans cet écrin de verdure
Sous le poids des souvenirs, des courbatures
Ne reste que la délivrance pour que cède l'armure
Nathalie.P
Tous droits réservésImage générée par l'IA
Mais ça s'arrête à ça, les écrits, c'est moi.
VOUS LISEZ
L'âme dans les gravats
PoetrySur mes nuits bâclées, je prends la plume pour déverser l'encre sur des bouts de papier. Poésies, pensées, ressenti, je laisse par-ci par-là, des mots griffonnés, des morceaux de vie. Bonne lecture.