Solitude bis répétita

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Comme cet arbre au rude tronc
Atteint d'un vent léger
Se balancent ma plainte, mes soupirs
Mélancolie profonde et douce
Laissant flotter mon âme fugitive
Dans un silence profond
Sous l'azur d'un ciel éclairé

Sentiment libre de ma solitude
Muette à ces heures mortes
Sous les feuilles qui tressaillent
Je songe à l'ivresse de ses étoiles encore endormies
Je n'espère rien
Si ce n'est la caresse de l'infini
Le temps de refermer la porte
Que déjà sans vient la nuit

Nathalie.P
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L'âme dans les gravatsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant