Ce dernier mois à Gotham c'était une guerre totale pour la suprématie de la pègre, avec comme acteur principal des criminels déchainés et des psychopathes fous furieux, dans une guerre sans merci que n'a duré qu'un petit mois mais elle a causé des dégâts que les habitants de Gotham n'ont pas encore prêt à les oublier, un quart de la ville a été rasé de la surface de la terre, c'est un miracle que le nombre de victimes ne comptait que quelques morts de la part des citoyens, en fait pour être honnête et pour donner à cette personne le mérite qui le doit, ça n'a rien d'un miracle si nos chers citoyens sont sains et saufs, C'était le Batman qui nous a sauvés, se battre contre les malfrats et sauver les gens au même temps n'était pas facile même pour lui, et il s'est presque laisse la vie à maintes reprises, et chaque fois où nous pensions que cette fois il ne pourra pas se relever et que ça sera la fin du Batman, il nous prouvera le contraire, et il se lèvera plus fort et plus obstine à sauver Gotham, c'est lui Gotham. Cependant les conséquences engendrent par cette guerre vont avoir un impact de géant sur le crime organise du Gotham.
À ce moment J'étais un photographe amateur qui vient juste de débuter comme un professionnel dans un petit Journal qui n'avait aucune réputation et qu'il s'appelait « Gotham psychopathe », d'après son nom je sais très bien que vous avez plus ou moins cerné le contenu de ce journal, et oui vous avez vu juste, c'est un journal qui suit le quotidien des criminels les plus réputés à Gotham, comment ils passent leurs journées, leurs hobbies, leurs histoires de cœur et avaient même une rebiqué intitule criminelle fashion, elle se penche sur leurs dernières tendances vestimentaires.
Ce journal n'était pas apprécié par les grandes instances de la ville, mais il avait une grande base de fun ; c'est fou à quel point les gens de nos jours sont intéressés par la vie d'autrui jusqu' à oublier de vivre la leur ; le seul inconvénient, mon salaire, était très maigre si on le compare à celui de mes collègues qui travaillent dans des journaux réputés, mais je n'avais pas le choix, je viens juste à débarquer à Gotham, en plus je n'avais pas de diplôme de photographe ce qui est primordial si on veut être recruté par ses journaux.
Cependant, et comme disait le proverbe « Les infortunes des gens sont parfois bénéfiques pour les autres », cette guerre m'a transformé en héros, j'ai pu la couvert du prologue jusqu'à l'épilogue, nous étions toujours les premiers à avoir des informations et les publier à cause des relations qu'il entreprend notre directeur avec une de la grosse pointure de la pègre, à l'époque je ne savais pas de qui s'agit-il, mais peu importe, j'étais content, mes photos faisaient toujours la une de nos journaux, et a cause d'elles, le « Gotham psychopathe » se vend comme des petits pains, entre nous qui n'achète pas un journal avec ces grands titre:
La peur règne sur Gotham; un couvre feu est imposé par la GCPD.
La mort plane à Gotham; le Batman acculé.
La mort du Black Masque; les grosses pointures tombent.
Sans merci pour les perdants; la mort de Bane.
Où est le pingouin; Oswald Cobblepot porté disparu.
La fin de la guerre; le Joker est le roi incontesté du Gotham.
Comme on dit « c'est les photos qui faisaient l'article », j'étais toujours le premier sur scène, et j'avais les photos les plus rares, donc c'est à moi que revient tout le mérite du succès de la vente et de la renommée atteinte par notre journal, c'était pour cette raison que j'ai pu avoir mon propre bureau ; j'ai encadré tous ces titres et j'ai les mis au mur en face de mon bureau, je ne me lasse jamais de les contempler. J'en suis sur que vous posez la question suivante : comment un photographe débutant à peine débarquait à la ville et qui ne connaît personne ait le premier rôle dans un monde qui n'avait de la reconnaissance que pour les gens expérimentés?.