Eleguent Holow II

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Quelques années en arrière,

Je n'en pouvais plus, ni psychologues ni la thérapie n'ont pu me sortir de ma dépression. Je voulais mettre fin à ma misérable et triste existence dénouée de moindre joie et de sourire.

Quand j'ai ouvert la boîte à pharmacie, j'ai été vraiment déçue. J'ai jeté tous mes médicaments avant cela. je devais aller à la pharmacie, à mi chemin, J'avais envie de faire pipi, je ne trouvais pas les toilettes, je n'en pouvais plus, et mon désir de mourir s'est changé en un désir de trouver une petite ruelle sombre pour me soulager ; une personne me disait toujours : méfié toi de ce que tu désires ; et j'ai failli me faire soulager une fois pour toute par un tueur, ce que m'a étonné c'était ma réaction, normalement je devais me laisser faire, D'accepter gentiment d'être étranglé jusqu' a la mort, d'ailleurs c'est ce que je désirais, et ce que faisait un homme en quête de la mort, mais non je me suis débattu de toutes mes forces pour me libérer, j'ai forcé le tueur à se reculer, et il s'est trébuché, Il est tombé sur la tête et s'est évanoui. logiquement je m'en fuis, sauf que, je suis resté, je me suis rapproché de lui, j'ai mis mes deux mains autour de son coup, et je l'ai broyé de toute mes forces.

J'ai tué un homme, et ce que j'ai ressenti à ce moment-là était un sentiment étrange, un état de transe que je n'avais jamais connu auparavant.

Quand j'ai repris mes esprits, et j'ai pris conscience de l'atrocité que j'ai faits, j'ai sorti mon téléphone et j'ai appelé la police, ils sont arrivés et ils m'ont conduit au poste pour me poser quelques questions. Apparemment mon agresseur est un tueurs en série qui aime étrangler ses victimes, mais d'une certaine manière je suis un héros et ils m'ont même applaudi et m'ont ramené jusqu' à ma maison. En rentrant chez moi, j'avais l'impression d'avoir oublié quelque chose d'important, une chose que j'était sur le point de le faire avant d'être agressé, en plus je me sentais bizarre, comme si mes lèvres se sont étiré.

En face du miroir, je voyais un homme sourire, pour la première fois de ma vie je souris, à cet instant j'ai compris une chose très importante, si je veux découvrir la joie de vivre, des personnes doivent mourir, ce jour fatidique a basculé complètement ma vie. Mais un mur de taille se dresse entre moi et ma thérapie, le Batman, J'ai pensé à différentes manières de tuer sans être coincé. Concevoir un plan qui pourrait leurrer la vigilance de Batman n'a pas été facile, mais j'y suis arrivé et j'en suis très fier. 

Tout d'abord: j'attaque que les hommes ivres et solitaires avec un chignon, qui faisaient pipi et vomirent dans une ruelle sombre derrière un bar.

Deuxièmement: j'utilise une sarbacane, une arme silencieuse, pour paralyser mes victimes avec des flèches empoisonnées que j'ai développées. Le poison ne peut pas être détecté dans le sang d'une personne alcoolique.

Troisièmement: pour achever ma victime, je l'étrangle avec un gros morceau de soie sans abîmer la chair du cou.

Quatrièmement : je porte un masque noir avec un large sourire, rien avoir avec mon plan ingénieux, c'est juste pour donner un visage à mon alter ego, et effrayer mes victimes bien entendu.

C'était fascinant d'étrangler un homme. En raison des effets du poison, il ne peut même pas bouger un doigt pour se défendre, il ne lui reste que ses yeux pour s'exprimer, et les expressions d'un homme qui sait qu'il va mourir sont trop hilarante et elles m'amusent beaucoup. Et surtout, rien ne se compare à voir les yeux de la victime s'éteint petit à petit. ça me procure une joie immense, comme un vampire qui suce le sang d'une vierge.

Revenant au présent,

- Enfin, je peux sourire à nouveau.

Soudain j'ai senti la présence de quelqu'un, contrairement à la dernière fois, cette fois son aura était forte, comme s'il était à cote de moi, j'ai regardé dans tous les sens. Sur la terrasse j'ai aperçu une silhouette, mais avant que je puisse faire quoi que ce soit, c'est disparu.

- Merde, je dois me dépêcher; il enlève la fléchette et il libère le chignon de la cible pour cacher sa trace, et il quitta la zone de crime.

JokeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant