Meilleurs amis [Chicago Fire]

Chapitre 2

Une semaine plus tard...

Hermann's POV

Je me suis rendu compte qu'il ne fallait pas que j'effectue des recherches sur Diaz. Je ne veux pas trahir la confiance qui est établie entre nous. Si elle veut en parler, elle peut venir me voir et m'en parler librement. Mais j'ai quand même le sentiment qu'elle ne s'ouvre pas facilement.

Logan's POV

Durant la semaine qui s'est écoulée, je me suis sentie de mieux en mieux dans la caserne. Tout le monde est très gentil, protecteur, à l'écoute, et encore plein de choses. Ils commencent tous à devenir ma famille. Je comprends à nouveau ce que signifie le mot « famille ».

Nous sommes actuellement à une scène, quand il y a des coups de feu. Toute ma vie, j'ai vécu près des gangs, donc j'en connais beaucoup. Je suis également très respectée par eux, ne me demandée pas pourquoi, mais je les ai déjà aidé. Depuis toute petite, je savais que je voulais sauver le monde, donc j'ai appris comment soigner et sauver des personnes. On va dire que ça m'a servi dans ma vie de nombreuses fois. Actuellement, tout le monde est à terre. Je peux entendre plusieurs voix masculines, en plus des coups de feu. Je me rends compte que je reconnais les voix, alors je commence à ramper pour aller voir ce qui se passe.

LC : Diaz, non reste ici.

Je n'écoute pas Lieutenant Casey et je rampe plus loin. Je m'aperçois qu'il y a 6 personnes, tous des hommes. Je les connais tous sauf une personne, sûrement un nouveau. Il s'agit de 2 gangs différents, ils sont ennemis, tout le monde sait ça. D'un côté, il y a le gang des latinos, et de l'autre, il y a celui des Colombiens. Je décide donc de me lever et de me diriger vers eux. Pour être sûr d'être en sécurité, je suis derrière une voiture. Comme les coups de feu ne s'arrêtent pas, je décide de passer à l'action avant que d'autre personnes ne soient blessées.

D : Mateo, Alejandro, Carlos, Juan et Alvaro, arrêtez tout de suite vos conneries

Tout à coup, les coups de feu s'arrêtent. Ils se retournent pour voir d'où ma voix venait. Une fois qu'ils m'ont trouvés, ils se dirigent vers moi. Je vois que tout le monde commence à se relever, et qu'ils ont peur. Je m'approche également des garçons.

D : Qu'est-ce que vous faisiez ? Vous auriez pu blesser de nombreuses personnes, voire pire, les tuer. Qu'est-ce qu'ils vous aient passés par la tête, vous êtes cons ou quoi ?

? : Et toi tu te prends pour qui à nous faire la morale, t'es qu'une pompière.

Tout à coup, il se retrouve face à 5 pistolets.

M : Tu ne lui parles jamais comme ça, à moins que tu veuilles mourir. Elle est la personne la plus respectée de tous les gangs de Chicago, et tout ça sans faire partir d'un gang. Alors je serai toi, je la fermerai. Et t'inquiètes pas Leon, le boss en entendra parler.

D : Les garçons, c'est bon, pas besoin d'être aussi sur protecteur. Passez-moi vos armes, maintenant. Et ne râlez pas, vous savez très bien que je fais ça pour votre bien. Vous savez très bien que si la police vous voie avec des armes, vous allez vous faire tirer dessus.

Un par un, les garçons me donnent leur arme, et je les désarme.

D : Maintenant avant que la police arrive, dites-moi ce qu'il se passe.

J : Leur petit nouveau a décidé que ça serait marrant de déclencher une guerre de gang en nous tirant dessus. On a juste tiré pour se défendre.

D : D'où tu penses que c'est marrant de déclencher une guerre en faisant le malin avec un pistolet avec du monde autour de toi, Leon ?

L : Parle-moi pas comme ça, sinon tu vas le regretter.

Les garçons se mettent automatiquement devant moi pour me protéger. J'allais répondre quand la police arrive.

? : Qu'est-ce qu'il se passe ici ?

J : Cet enfoiré nous a tiré dessus.

D : Juan, ton vocabulaire. C'est pas parce qu'il a trouvé ça malin de te tirer dessus, avec plein de personnes autour que tu oublies tes manières.

? : Vous êtes qui ?

D : Logan Diaz, je suis stagiaire à 51.

? : Sergent Voight, Intelligence. Diaz, vous me dites quelque chose.

D : Si vous le dites.

SV : Vous ne sauriez pas relier à la maison qui a pris feu il y a des années ? Je me rappelle qu'une petite fille qui est retournée dans cette maison et qui a disparu. On a jamais retrouvé vos parents, malgré les nombreuses tentatives.

D : C'était moi.

ALE : Tu nous a jamais dit ça Log'.

D : Je n'aime pas en parler.

SV : Et donc, si vous êtes cette petite fille, vous êtes également la personne la plus respectée de tous les gangs de Chicago.

D : C'est exact.

Une fois que le Sergent Voight a fini, je pars vers le camion.

Pendant la fusillade...

Hermann's POV

Je vois que Diaz commence à s'approcher des coups de feu pour voir ce qu'il se passe, malgré l'interdiction de Casey. Je me demande ce qu'elle fait, jusqu'à ce qu'elle se lève et appelle les garçons. Les coups de feu se sont arrêtés. Tout le monde commence à se relever pour regarder ce qu'il se passe. Dès qu'on arrive à apercevoir ce qu'il se passe, on voit Diaz en train de faire la morale aux hommes. Quand tout à coup, le plus jeune des garçons se retrouve face à des pistolets. On peut direct voir que les hommes sont très en colère. Heureusement, Diaz a réussi à désarmer la situation, ainsi que les pistolets. Je regarde autour de moi, et je vois que tout le monde se demande comment elle s'est faire ça. Je pense que le plus jeune n'a toujours pas retenu sa leçon, comme les garçons se mettent devant Diaz sous forme de protection. Tout ça est très vite fini parce que Sergent Voight et son équipe arrive. Il discute pendant 5 minutes, puis Diaz part. Avant de partir, Voight vient vers nous.

SV : Vous avez une précieuse personne là-bas. Elle est déjà passé par beaucoup d'épreuves, et je vous assure, qu'elle en ait ressortie très forte. Je crois qu'elle vous en a fait une petite démonstration.

H : Attends, tu la connais d'avant ?

SV : Evidemment, toi, Mouch, et Boden, vous la connaissez. Vous ne vous rappelez pas il y a des années quand une petite fille a disparue après être courue dans une maison en feu ?

H : Je viens enfin de me souvenir d'elle, son nom me disait quelque chose, mais je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus.

SV : Elle n'a plus personne, on a jamais retrouvé ses parents, ils ont pris la fuite.

H : C'est terrible.

SV : Ouais, je dois y aller.

Voight part, et je me rencontre que Diaz n'est pas n'importe qui.