Chapitre 11

268 9 8
                                    

Carlos's POV

Nous sommes tous revenus avec Voight, quand nous entendons du bruit derrière nous. Lorsque l'on se retourne, on voit Logan et un homme. Elle est dans les bras de celui-ci. Je me presse donc de chercher une chaise pour qu'elle puisse s'asseoir dessus, et je lui apporte, mais elle la refuse.

Logan's POV

Lorsque tout le monde se retourne, je me rends compte qu'il y a tous les gangs ici, dans un poste de police de leur plein gré. Qui aurait pu croire ça ? Je tourne la tête vers Severide.

D : Tu peux me poser par terre s'il te plaît ?

Je vois très vite que Carlos est arrivé avec une chaise, mais je la décline.

LS : Ok, mais tu fais attention ! 

D : Oui papi.

Il me lance un regard lorsque je dis ça, mais il me pose par terre. Je vois que tout le monde reste figé en place.

D : Vous savez que je ne suis pas en porcelaine, vous pouvez me faire un câlin. Je vais très bien. 

C : Mais pourtant il te portait, ça doit dire quelque chose...

D : C'est juste qu'il a peur que quelque chose m'arrive et qu'ensuite vous vous en prenez à lui. Et Carlos, c'est pas ta faute. De toute façon, je suis toujours en vie. C'est le principal non?

OS : Oui, mais il ne faudrait pas que tu te refasses mal. Tu sais très bien que tout le monde serait perdu sans toi. Mais vient par là.

Oscar m'approche et me fait un câlin. Je relève la tête et je dis : Enfin un câlin. 

Oscar me lâche et repart vers tout le monde. 

OS : Bon allez, on a du travail à faire. Logan, tu es libre de rester ici et de prendre qui tu veux avec toi.

D : Merci Os' ! 

Tout le monde commence à retourner à leur travail, tandis que je vois quelqu'un au loin. Je décide donc d'aller le voir. J'arrive par derrière lui, et je lui fait un câlin.

D : Coucou Pa' ! 

Il se retourne et me fait un câlin.

P : Coucou princesse! 

D : Combien de fois va-t-il falloir que je te dise que je suis pas ta princesse.

P : Et combien de fois va-t-il falloir que je te dise que tu es ma princesse que tu le veuilles où non?

D : Bien joué Pa'. Bon je vais aller dire bonjour aux autres. 

Il me relâche du câlin et je pars faire un câlin à Mateo, Juan et Alvaro. Une fois que je leur en ai fait un, je pars voir Carlos. Je sais qu'il s'en veut que je sois blessée, mais je ne lui en veux pas. Je vois qu'il a ses bras devant lui, donc je me faufile dans ses bras, et je lui fais un câlin. Il me regarde tout triste. Je le prends par la main et l'emmène à l'écart des autres. 

D : Regarde-moi, tu n'y ai pour rien. C'est la faute de mes parents. Et en aucun cas la tienne.

Je lui fais un câlin, et il me sert très fort. Je commence à avoir mal, mais je ne lui dit pas. Je ne veux pas qu'il se sente encore plus mal, et puis il en a besoin de ce câlin. Quelques minutes après, il me lâche, et nous repartons séparés. Je pars chercher Alejandro et je le trouve derrière tout le monde en train de me regarder comme s'il attendait son câlin. Je marche vers lui et lorsque j'arrive, il me fait un gros câlin. Je crois que c'est le plus gros qu'il est donné dans toute sa vie. Quelques minutes plus tard, il est toujours attaché à moi. Puis je vois sa tête, celle qui dit j'ai une superbe idée qui va certainement mal finir. Il se détache de moi puis il me porte me met sur un banc et la seule chose que je me souviens c'est que je me retrouve sur ses épaules à rigoler comme jamais en disant : Alejandro. Je vois que tout le monde se retourne et nous regarde en souriant. Puis Alejandro les regarde et dit : quoi, elle ne pouvait pas tous vous voir, maintenant elle peut tous vous surveillez, alors je serais vous, je me tiendrai à carreaux. La big boss est de retour. 

Je me retrouve à regarder tout le monde en me disant que je suis chanceuse de les avoir.



Meilleurs amis [Chicago Fire]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant