ROSE EN SYMBIOSE

Prolonge

Je m'engage à me faire frapper si je ne termine pas ceci.
Mais, je tiens à prévenir les futurs lecteurs qui seront peut-être déçus par mon style d'écriture.
Déjà, j'écris d'un point de vue omniscient et cela tout le long de l'histoire pour pouvoir retranscrire au mieux les émotions de tous les personnages et leur façon de penser.
Sachez que dans mon œuvre, je condamne les autres amateurs de darkromance à une lecture réaliste avec une légère fantastique. Je n'écris pas pour vous plaire, je n'écrie pas du porno avec de la tension sexuelle comme vous en avez déjà lu. 

J'écris avec l'âme, je vis la peur de mes personnages. Je détaille au mieux leur caractère, leur habitude et relation avec les autres, je veux qu'on comprenne parfaitement leurs agissements; mais je l'ai châtié aussi. En écrivant cela, je laisse libre cours à mon imagination et à la folie de ma patience. J'approfondis l'univers macabre et sanguinaire ou mes héros évoluent, je ne tourne pas chaque mot en romance, je crée un univers malsain ou l'amour est toxique.

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 Un assassin lâche et ronger, il était incapable de dormir le soir sans voir un cadavre pendre sur son lit. 
Elle ne pouvait dormir sans avoir pleuré toutes les larmes de son corps en repensant à sa vie pathétique. 

Ils souffraient tous deux d'un mal qu'ils ne savaient soigner sans l'autre, deux âmes tourment par les faux amours et les fantômes. Seulement lorsqu'ils étaient ensemble, leur esprit faisait qu'un trouvant la paix, mais, peu appréciait leur amour. 
Un père toxique qui la voulait qu'à lui. 
Une fraternité briser faute à quelque mot tranchant. 
Tous cherchaient à les séparer, mais, personne ne savait qu'ils étaient détruits dès qu'il dormait loin l'un de l'autre. 

 Ils étaient rencontrés comme guidé par le destin, leur corps et leurs nerfs fusionnèrent  instantanément. Des larmes, beaucoup de chagrin les prirent en comprennent qu'ils se faisant malgré eu du mal. 
Il souillait une femme pure la rendant mauvaise et prête à tuer rien que pour détourner tous ceux qui essayaient de l'enlever d'elle.
Elle rendait cet homme peureux bien plus sanguinaire qu'il voulait l'avouer, une bête tuant avec barbarie tous ceux qui osent la toucher. Ils s'aimaient au point de s'autodétruire. 

Deux être en pleine souffrance, mais tellement de masque coller sur la face contre leur gré.