Rose en symbiose
Joint fumant doucement, les blocs de glace dans la vodka alors que du sucre se collait contre les fraises, la musique était douce attendit que le bruit de la viande roussissant s'élevât très lentement. Au milieu de la cuisine prenant du citron, il chantait à vive voix sans se soucier de qui pourrait l'entendre. Sa voix très basse et roque était vraiment douce alors qu'il montait au aiguë.
«- Melegim quand tu marches à mes cote je brille! Chantonna la femme en fermant la porte.»
Chaussure enlever et clé de voiture posé, elle enleva sa veste avant d'aller vers l'homme qui ne l'avait pas remarqué prit dans la musique. Elle dansait légèrement.
«- Ce soir, on sort mon bébé, j'ai la robe qu'il te faut! Criaient-ils ensemble.»
Esher sursauta avant de glousser en voyant la femme, elle dansait sans se soucier du regard jugeur sur elle. Il la suivit suivant son déhancher, gloussant, elle l'écartait pour gouter sa salade de légume mais il la colle en dansant. Esher était bon danseur sachant vibrer au rythme de la musique.
«- Me chauffe pas, tu risqueras de ne pas suivre.
- Je prends le risque.»
Ils ne leur fallu pas plus de dix minutes pour être à bout et transpirant continuant pas fierté, le téléphone s'éteint décharger les faisant s'arrêter. Assis sur la plan de travail, elle l'observait cuisiner.
«- C'était bien?
- Pas mal, mais, je n'ai rien manger... Elle m'a imposé un tartare, j'ai cru vomir dans ma bouche en goutant.»
Lorsque Maria vu le tartare, elle fit juste une grimace ouvrant grand les yeux, le coup de grâce avait été l'eau au centre.
«- Faut être habituer, sourit-il faiblement en lui donnant un baiser»Sur la table du salon, ils mangèrent. L'un avec du vin l'autre avec du jus de pomme. Seulement le bruit de la télévision donnait de la vie à leur diner, c'était le président qui s'exprimait à la nation sur la guerre qui se déroulait actuelle en Ukraine. Elle regarda le chef de l'état puis poussa un soupire agacer.
«- Qui a-t-il? Lui demanda Esher.»
Tout russe savaient que parler de politique été un sujet rude seule les plus fou et désinvolte osait critique le régime politique.
«- Rien, rien... Je trouve juste que notre président est quand même trop bien en forme pour son âge, chuchota-t-elle en regardant les murs.
- Hum, c'est vrai qu'il est pas mal. Il te plait plus que moi?
- Peut-être, gloussa-t-elle voyant l'air surprit de son interlocuteur. Je rigole, Esher.
- On ne sait jamais, peut-être que t'aime les hommes âges toi qui est toujours enfermé avec ton père, il n'est pas un peu pédo?! Si tu savais ce qu'on dit sur vous. Il te touche! Quel genre d'homme fait ça?- Ma sœur pète les doigts du mien dès qu'il la fixe trop longtemps alors même la toucher. Hé.
- T'as sœur à un grain là!
- C'est vrai qu'à 7 ans, elle avait jeté un chat du 3ème étage pour voir s'il allait retomber sur ses pattes.
- Alors?
- Non...
- Pauvre chat... Mon père aime me toucher, mais ce n'est pas pervers ou autre chose... Je le soupçonne d'être de l'autre côté vus son côté hypersensible et un peu travestie, secoua-t-elle la main en gloussant.
- Quand même... Toi t'aime ça? Tu veux de la viande encore?
- Oui, j'en veux encore. Cela ne me gêne pas, c'est mon père pourtant, il touche seulement mes hanches et mes cuisses rien de plus... Tu es le première homme qui a eu sa tête dans mes seins.»
Il servit Maria en souriant malgré lui. Une seule journée qu'il était là et il ne faisait que passer de bon moment. Depuis tellement longtemps, il n'avait pas été aussi heureux, son cœur était plein de bonheur et calme. Aucune crise, rien.Il lavait les assiettes calmement alors que Maria regardait la télévision mais le souvenir de d'Antony lui revient en voyant le téléphone de l'homme vibré. Elle songeait à tout ses messages et appels qu'il recevait, sa manier de cacher son téléphone et de l'empêcher de toucher son appareil. Plus tard, elle avait appris ses multiples tromperie. Paupière close, elle mordilla sa lèvre revoyant cet homme l'embrasser puis lui dire qu'elle était la seule femme qu'il voulait. Mais, il était parti avec une femme qui pouvait lui offrir du miel.
Aujourd'hui, Maria l'avait compris aucun homme ne reste sans sexe, même les plus amoureux. Elle ne voulait pas offrir le bas de son dos, personne d'indigne n'aura se privilège. Si fallait être vulgaire, elle le sera, mais, son corps restera intouché. Perdu dans ses mensonges de promesse de changer, elle sursauta par l'homme qui venait de s'assoir près d'elle. Il fallut à Maria beaucoup d'effort pour ne pas pleuré une fois encore en voyant Esher la questionner sur la raison pour la quel elle ne l'avait pas dit qu'on l'avait appelé.
«- Excuse-moi, je n'ai pas entendu... C'était important?
- Oui, mais ce n'est pas grave, tu sembles morose.
- Juste, la fleur émotive de mes humeurs, prit-elle doucement sa main. Esher, je veux des roses.
- Moi aussi, dit-il en entre lassant leur doigt.»
L'odeur de l'averse se faisant sentir, des gouttes de pluie venait s'écrasé contre les paroirs du dôme qui entourait le casino. Le ciel se mit à cracher des boules de glace comme pour abattre les êtres impure que la terre avait créé.
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ROSE EN SYMBIOSE
RomanceCONTENUE MATURE. en pause Deux roses; blanche et rouge. Une solitude commune et des vises partagé. Un homme tourmenté et nerveux, une femme naïve et abuser. Une beauté délicate, une beauté brut. Lors nerfs et pulsions les conduisaient à des étrein...