-ROSE EN SYMBIOSE-
Enlacés tendrement, ils humèrent leur parfum. Dans des regards passionnés, ils pouvaient lire dans leur cœur sans le moindre effort; Maria se décollait de l'homme qui paniqua faute à cela. Il prit sauvagement sa taille pour qu'elle ne puisse pas s'éloigner, mais cela la fit le pousser. Esher ne voudrait plus jamais être loin d'elle, il le savait pertinemment qu'en un seul soir, elle avait consumé sa raison.
«- Qui a-t-il Maria?
- Rien, tient-elle ses mains. En fait mon père refuse que je voie des hommes, toi particulièrement. Il s'obstine à m'infantiliser. Mon père à la santé fragile, j'ai peur qu'il fasse une crise cardiaque.
- Le mien aussi, ne souhaite pas que je m'approche de toi...
- Peut-être mais si je ne l'écoute pas, je n'ai pas envie d'être à la rue et fauché. Qui payera mes études? Se décolla-t-elle complètement de lui pour observer son reflet massant son cou.
- Si ce n'est qu'une question d'argent, mon père me doit énormément d'argent puis j'ai l'héritage de ma grand-mère... Quittons la Russie pour la France, nous parlons déjà français. Ou en Allemagne, sourit-il joyeusement. On s'est vu deux fois, pourtant je sais déjà que je mourrais avec toi. Pour toi, Maria.
- Tu vas trop vite toi, sentit-elle un frisson glacer traverser sa colonne vertébrale.
- J'allais prendre mon temps l'autre soir...»
La jeune femme gloussa très légèrement avant qu'il ne passe une main dans ses cheveux, elle le regarda confuse par son geste. Pendant quelque longue seconde, il prépara à ses mots ne voulait pas la vexé. Peut-être qu'il ne faisait pas attention a la femme, mais depuis toujours on lui avait dit que c'était là toute la beauté d'une demoiselle. Avalant péniblement sa salive, il s'adossait au lavabo regardant la fine pellicule humide sur sa main.
«- Pourquoi les as-tu coupés? J'affectionnais beaucoup ta chevelure, est-ce faute à ton père ou autre chose?»
Maria ne répondit pas. Comment pouvait-elle lui dire, lui grand et forte des yeux aussi sombres ce que méprisant ainsi poser sur elle? Au fond du cœur de la jeune étudiante, un fort sentiment de malaise s'était fortement agrippèrent à celui-ci étrangler à une couronne d'épine logée à son cou. Malgré l'incroyable douceur et tendresse dans les mots de cet homme, son aura était bien trop imposante. Si elle osait ouvrir la bouche, elle se dissoudrait de larmes en lui disant tous ses malheurs. Dans un léger sursaut, elle prise son téléphone qui sonnait pour répondre à son père.
Celui-ci l'expliqua rapidement qu'il devait partir en Asie quelques mois faute au travail, Julano allait rester dans le casino pour lui tenir compagnie. Avec hypocrisie, elle supplia son père de partir avec elle, mais il refusa disait qu'elle n'était pas vaccinée contre plusieurs maladies et que la nourriture ne lui conviendrait pas. Il mentait sachant très bien qu'il se rendait au Japon pour tout autre chose: Les femmes. Levy était le cerveau d'un réseau de prostitution au Japon, et ne pouvait rien dire à sa fille par crainte. Au moment où elle coupa l'appel, deux grandes mains se pausèrent sur ses hanches pour la faire trembler telle une feuille. Les fines oreilles, du brun avait absolument tout entendu et prenait cela comme une bénédiction du ciel. Poils hissés, elle enleva les mains de l'homme de ses hanches pour s'éloigner d'un pas. 2 ans qu'il n'était pas parti à l'étranger, la dernière fois, elle crût mourir par tous les hommes voulant la mettre dans leur lit. Oppressent, provocateur, perverse, manipulateur et bien sûr tellement hypocrite. Dire qu'elle n'avait que 17 ans, mais, rien ne les arrêtait. C'était une adolescente très en avance pour son âge. Voilant sa panique, il la prise dans ses bras mais elle éclata en sanglot en se débattant criant qu'elle ne voulait pas être touchée. Hyperventiler, elle manqua de s'évanouir à plusieurs reprises ne sachant pas se calmer, ni lui maintenant très énerver de ce rejet.La joue rouge, elle resta figée. Il venait de la baffer. Silencieusement, elle lâcha ses larmes de douleur puis le frappa avec son sac à main. Esher se laissa faire sans bouger, finit, elle prend sa chemise pour reprendre ses sanglots.
«- Je suis folle.
- Souhaites vous votre un psychiatre?
- Oui, murmura-t-elle. Si tu savais ce qu'ils m'ont fait et je crois toujours en l'homme. Je ne suis pas folle mais sotte frappe moi encore! Frappe-moi, je devrais avoir une bonne correction pour être si sotte et naïve. Si on m'avait giflé à chaque fois que j'ai écouté les paroles d'un homme, longtemps j'aurai compris qu'ils sont mauvais... Tout le temps, je pleure. Mon père à raison, maintenant, s'il n'est pas là, ils vont essayer de me voler ma raison.»
Le visage inexpressif, il fixait le maquillage de la femme coulèrent sur ses larmoies puis le rhume à son nez. Elle était devenue bien plus belle maintenant. Il trouvait une poésie dans sa courte tirade puis une vraie peine. Sortant un petit mouchoir en soie, il observait toujours la jeune femme tachant son chemisier de mascara et de rouge à lèvres. Mouchoir mouiller, il le passa doucement sur son visage plusieurs fois la calmant. Silencieuse, elle continuait à pleuré aidant l'assassin à enlever son mascara en frottant légèrement. Visage nu, Maria sembla surprise face au miroir.
«- Nous sommes si moches?
- Faux croire qu'on à ressentie la même tristesse, comment appelle-t-on cela? Prit-il doucement la main de la femme pour l'embrasser. De la sorcellerie? Une fusion ou bien un lien d'âme? Peut-être que tu asenvoyér Eros à mes trousses se alors que cupidon te tirai une flèche? Que de mystère, enfin non. Je suis sûr de quelque chose, peu m'importe si c'est le diable ou le bon Dieu qui souhaite nous séparer, je mis opposerai quitte à en mourir consumer par la bravoure.
- Comment as-tu trouver tous ces mots? T'on cerveau doit être énorme pour stoker tout ça.
- Mon cerveau ou mon cœur?
- L'amour est une réaction chimique à des odeurs et phéromone d'une personne géré par le cerveau, je suis en études de neurologie.
- C'est énormément d'années d'étude.»
Un simple hochement de tête, main sur la joue de la basané, il lui offrit un tendre baiser qu'elle accepta. Dehors, elle vit tout de suite Julano et alla vers lui prenant son bras. Surprit, il fixa les yeux rond la jeune femme puis lui tendit son vers de whisky. D'un simple merci, elle le prit avant de prendre une petite gorger pour foncer les sourcils.
«- Ton jus de pomme est amer.
- C'est du whisky, Jahnis.
- Je ne veux pas, je vais dans ma chambre, bonne nuit, tonton.
- Hum, prit-il son poignet et la coller contre lui. Ton père ma menacer de me couper la tête si je ne t'ai pas à l'œil tous les soirs. Je t'emmène dans ta chambre, puis, tu fais ce que tu veux.
- Donc, tu vas me coller comme lui?
- Non, ricana-t-il légèrement. Entre nous, susurra-t-il à son oreille. J'aimerai bien que tu couches avec Esher, il est peut-être le seul homme ici qui a des valeurs.»
Pendant plusieurs secondes, elle resta raide par les paroles de son ongle qui mit un préservatif dans la poitrine de la femme. Des petites rougeurs se formèrent sur ses pommettes le cœur palpitant. Main dans la main, ils montèrent sur le regard suspicieux de Esher resté en bas des escaliers profitant de la vu sur son fessier. Evans lui tendit mille dollars un petit sourire mesquin au coin des lèvres.
«- Mille dollars que tu es incapable de braver l'ordre de père.
- Garde ton argent ordure et dit à père que je vais me loger littéralement en elle, il peut m'imaginer lui faire l'amour si cela l'amuse.
- Tu n'oseras pas! Cria Evans alors que son frère montait ces marches ou si peu ont su gravir sans appréhender la colère du Williams. Peut-être que père pourra t'épargner mais pas Lewy! Il te tuera avant d'utiliser tes cendres comme engrais pour les roses de cette femme! Ne fait pas ça, prit-il son poignet fermement. S'il te plaît mon frère, réfléchit.»Tourné face à son aîné, il baissa lentement son regard sur lui. Esher l'avait dévisagé de la tête au pied avec un rictus de dégoût puis dégagea son poignet. La honte, la déception qu'il venait de provoquer chez son jeune frère le fit mordre violemment sa lèvre les larmes aux yeux.
«- Pourquoi agis-tu ainsi?! N'as-tu pas assez fait honte à la famille avec toutes tes crises et ton caractère de vielle femme?! Voilà que tu cours derrière la fille du Diable, tu la tueras et en mourras si ce n'est pas elle qui cossera la fin de notre fraternité, Esher.»
Un ricanement sournois le fit pâlir en essuyant sa pauvre larme, Evans sentait tous les regards sur lui faisant son cœur palpité et sa nature peureuse resurgir. Dire qu'il avait réussit à battre sa phobie sociale, mais étant d'un coup la cause de regard et murmure l'enfant chétif était à nouveau là. Prit de panique, il commença à respirer plus fortement. Esher lui jeta un simple paquet de mouchoir au pied avant de se tourner.
«- C'est bien t'a jalousie qui t'a mené sur ces marches, don juan.»
Bien que Esher est voulu le cacher, les mots de son frère lavaient profondément blessé. Mais ne voulait pas descendre à son niveau. Deux étages montés depuis l'ascenseur, il marchait dans le long couloir la boule au ventre. Allait-il réellement exécuté ses paroles? Lui faire l'amour? Nerveux, il glissa ses mains dans ses épais cheveux ébène regrettant ses proclamations. Face à la porte, sa circulation sanguine se fit plus rapide alors que chaque poiles de son corps était à l'affut de chaque vibration de l'air. C'était son soir! Le fameux moment de vérité, frappant d'un grand coup sa voix s'éleva nomment le nom de la jeune femme.
Dans la pièce, une scène macabre se produisait dans le noir complet alors qu'une odeur de fer se mélangeait à l'air. Plusieurs frissons passèrent la jeune femme alors qu'elle pleurait silencieusement, son ventre était fortement compressé par le puissant bras de son oncle. Julano gardait la mâchoire serrée alors qu'elle lui arrachait des lambeaux de chair en grognant de colère. Il finit par attraper douloureusement ses joues en la soulevant pour l'amener vers les hommes qui étaient dans le salon. Des petites veilleuses fit allumer alors qu'ils prenaient ses jambes des gants en main. Avec son talon, elle donna un puissant coup en plein œil à un homme qui hurla en reculant perdant son œil. Au sol hurlant de douleur, du sang coulait lentement mélanger à des larmes rosé. Une vive lumière fit Julano regarder la porte offrant à la jeune femme l'opportunité de ce libéré puis s'enferma dans la salle de bain. Assis près de la porte, elle protégea sa nuque le cœur lourd. Pourquoi devrait-elle subir autant de violence? Qu'est-ce qu'elle avait fait au ciel pour être aussi malheureuse. Elle avait cru quelques minutes que son oncle ne serait pas comme son père, mais encore pire. Ils avaient cette obstination pour qu'elle ne puisse voir aucun homme jusqu'à l'infibulation... Une violente nausée la prise.
Mains ensanglantées , chemise tâcher et la joue fendu, il observa les cadavres étendus sur le tapis blanc puis Julano qui était au sol le suppliant de l'épargné. Le russe hocha simplement la tête avant de le tiré par le pied vers la cuisine, il ouvrit la gazinière sur la plus grosse flemme. Le crie de Maria l'empêcha de coller la tête de l'homme contre le feu. Tremblante face au cadavre, elle s'écroula vomissait sur elle et convulsant.
«- Mon Dieu, pleura Julano en sentant le souffle des flemmes orange et bleu près de lui.
- Ne le mêle pas à tout ça, mit-il sa tête contre le feu.»
Des lambeaux de sa chaire prit feu, ses cheveux entra dans une rapide combustion alors qu'une odeur de chaire rôtie ne provoque un haut de cœur au meurtrier tendit que des cries d'agonie ne raisonne entre les quatre murs. Des bouts de peau se détachèrent lentement alors que du sang brûler ne coule sur sa gorge. Libéré la moitié du visage endommager, il ne pu rien faire d'autre que tenir sa tête en pleurant et hurlant faute à la douleur. Une main sur son torse, Esher retient une nausée mais finit par vomir dans le lavabo puis ferme le feu.
Le silence et le calme virent revenu après que des nettoyeurs soit passer en faisant un jolie trous dans le compte en banque de Esher. Il avait fait aussi changer tout le tapis vus que le sang ne voulait pas s'effacer, maintenant, il était bleu. Julano était lui à l'hôpital dans un état critique. Une veilleuse était restée allumer dans la chambre offrant à l'assassin la vue sur les hanches de sa bien-aimé qui était perdu dans un douloureux sommeil. Esher s'avait qu'une fois réveiller, elle allait le regarder comme un homme sanguinaire et mauvais. Un parricide.
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ROSE EN SYMBIOSE
RomanceCONTENUE MATURE. en pause Deux roses; blanche et rouge. Une solitude commune et des vises partagé. Un homme tourmenté et nerveux, une femme naïve et abuser. Une beauté délicate, une beauté brut. Lors nerfs et pulsions les conduisaient à des étrein...