Rose en symbiose
Discrètement cacher derrière un rideau, ils cherchaient la provenance de ce bruit mais ne virent rien comme si la voiture s'était volatilisée. Les sens affûtés du criminel le conduisent à rapidement, se mettre devant la porte la bloquant alors que la poignée était tournée de l'extérieur. Un court silence. Un cri résonna avant qu'un autre bruit sourd ne se fasse attendre contre le plancher, Maria resta au sol regardant un grand homme aux cheveux gris qui était posté devant fenêtre portant un masque noir. Le russe accouru immédiatement vers l'homme tout en protégeant le corps dénudé de sa bien-aimée; L'individu montra son coûteux au ténébreux en faisant une rotation du poignet. Esher retira sa garde.
Rentrée dans le chalet, l'inconnue enleva son masque face à son fils qui le dominait d'une tête de plus. L'atmosphère était glacée. La neige qui tombait semblait là bien plus chaleureuse. Maria se leva surprise voyait la similitude chez les deux hommes. Les mêmes yeux profond et cerné, ces cheveux lisse et gras. Leur corpulence était parfaitement similaire, des larges épaules ainsi qu'une taille plus fine, les mains robustes comme leur cou. On pouvait sentir la force brute de ses deux hommes, des Grizly prête à tuer tout insolent d'un coup de mâchoires. Pourtant une chose trompait la ressemblance: leurs âmes étaient bien différentes. L'un était né tueur, l'autre avait été forcé de choisir ce chemin. On ne lui avait offert que cela.L'assassin tomba au sol en poussant un cri de douleur, Esher écarquilla les yeux en voyant la petite femme debout une poêle fermentent serré dans ses poignets. Maria venait de frapper l'un des plus grands assassins d'Asie, elle ne lâcha pas la poêle pleurant à chaude l'arme en criant sur l'homme en russe. Ses mots se mélangeaient faute à la colère, elle essuya son nez avant d'extérioriser des années de frustration. Au sol, son corps tremblait alors qu'elle serrât ses bras avec force au point d'en saigner. Zlonovaqh, regardait la femme pétrifier. C'était bien la première fois qu'il voyait ce genre de chose... Cette chose, son cœur se mit à battre à tout rompre comme des années au paravent, sa gorge se noua.
L'assassin se leva bien que terriblement sonner les membres tremblant, son souffle se coupa avant de sortir. Le froid vient cristallisa une larme solitaire. Sa vision était floue en essuyant ses yeux. Il n'avait jamais pleuré en 26 ans, la dernière fois c'était à la naissance d'Esher. La porte s'ouvrit le faisant se tourner, Esher prit le visage de son père essuyant ses cils de petits cristaux.
«- Vous allez bien? Entrez, je vois vous soigner.»
Poser sur une chaise, il nettoyait la plaît qui commençait à saigner. Maria était face à lui les yeux gonfler le fixant avec colère, étrangement, il se sentait nerveux de devoir soutenir ce regard. La femme tenait toujours la poêle comme pour lui montrer qu'elle n'allait pas hésiter à le frapper main bien plus fort. Esher finit pour laver ses mains tout en gardant un œil sur la femme.
«- Tu es Maria?»
Pas de réponse, toujours ses yeux braqués sur lui. Une sueur froide glissa le long de sa colonne vertébrale. Le coup qu'il avait reçu avait compromis ses plans. Ils avaient pris une décision, se débarrasser de l'élément perturbateur. Il entachait la réputation de leur famille les tournant au ridicule. Tuer son frère pour une femme? C'était une vraie bêtise.«- Père-
- Ne parle pas, Esher.»
Le silence trônait, mais leur corps dansait une danse macabre avec la mort. Leurs pupilles se joignirent mais se fuirent peureux. Timidement, il se mit près de la femme pour sentir son âme. Une larme roula le long de leurs joues en entremêlant leur main. Que devaient-ils faire? Par la fenêtre brisée le froid venait réchauffer leur âme et souder leur pathétique histoire. Une âme appelant une autre, un baiser glacé pour soulager leurs ecchymoses et un adieu des cieux. L'homme se leva puis fit un signe de tête à son fils en tournant les talons, celui-ci manqua de fondre en larme laissant son géniteur partir.
«- Je serais là, dit-il simplement en ouvrant la porte.
- Père, pourquoi êtes-vous venu ici?
- Je l'ignore.»
Le silence s'installa, seul le bruit d'un baiser chaud et réconfortant venait faire tremblé Esher. Il serra sa douce et tendre amante avant de fermer les yeux épuisés.
La vitre changer, le sol propre une sensation plus froide devait les envahir. Il était comme pris dans une déréalisation de tout ce qui se qu'il venait de se passer. Le russe s'assoit abruptement sur le fauteuil pour doucement fermer ses paupières ses mains posées lasses sur ses cuisses. Une minute. Deux puis une heure à rembourré tous les souvenirs de ces derniers jours. Dans la cuisine, Maria battait du lait et de la farine le regard livide. Ses mains tremblaient alors que sa gorge était irritée par une dizaine de clous. C'était long. Ennuyeux. Les heures devenaient des longues cordes qui serraient leur cou comme une sourde berceuse jouée par des anges en larme. La pièce était froide, trop morte.
Voyant le feu orangé de la gazinière, un haut de cœur prit la femme manquant de la faire vomir plaquant ses mains sur sa bouche. Elle recula brusquement faisant tombé la bouteille huile qu'elle tenait. Esher sortit de sa transe les yeux injectés de sang la peau hâve. Il se leva lourd, mollet et tendu. Arrivant dans la cuisine, il eu un frison en fixant le feu croyant voir danser de la chaire calcinée dans les flammes. Feu éteint, il posa ses mains sur les joues froides de la mulâtre pour glisser un baiser à ses lèvres. Celui-ci fana. Enlacé, ils s'offraient quelque parfum avant de doucement perdre leurs pétales et mélanger leur pollen.
«- Esher... Chuchota-t-elle en prenant ses joues. J'ai peur, Esher. Très peur de tout cela.
- N'est nulle peur, je suis présent. Je suis là pour te protéger de tout fantôme, toute personne voulant te faire du mal.
- Esher...»Seul entre les arbres morts, le vent hurlant ainsi que les cristaux de neige qui le mangeait la peau, Zlonovaqh restait là. Son chemin était-il le même que celui qui l'avait amener là? Il ne savait plus, tout se melangeait dans ta tête comme un cauchemar proche du rêve. Un poison sincère. Le grand assassin qu'il était voyait étrangement la blancheur de sa mère patrie. Yeux clos, il prit une profonde inspiration de cet air sec pour hurler de toutes ses forces tenant sa poitrine. Comment pouvait-il rentré chez lui maintenant? Main sur son visage, il hurlait pleurait et serrait des dents comme un fou. Genoux au sol, bras levé il suppliait comme un condamné. Ce coup à la tête avait comme branché une partie de son cerveau qu'il avait gardé en veille depuis bien trop longtemps, des couleurs et des odeurs faisaient tremblé chacun de ses muscles. Arrachant ses vêtements remplis de sang, il courait en hurlant qu'il était un impie.
Arrivé sur la route à moitié nu, il ne pu voir la voiture qui accélérait dans la neige. L'homme d'age mur fit frapper en pleine hanche le propulsant plusieurs mètres plus loin et tomber dans la neige. La voiture freina avec enormement de mal faute au verglas, une jeune femme en sortie. Elle était ronde au long cheveu blond, après quelque minute de recherche, elle vit le criminel inconscient parfaitement allonger dans la poudreuse. Celui-ci fixait le ciel larme coulante sur ses joues, voyant la femme se penché vers lui soucieuse il attrappa son col fermement.
«-Ah! Cria-t-elle
- Suis-je laid? Demanda l'homme en tournant la tête vers elle.»
La femme raide et terrifier fixait le sang qui venait doucement former l'emprunte d'un cercueil autour du blesser. Une main sur sa bouche, elle respirait fortement en posant son regard dans celui de l'homme qui la lâcha. La mort était là, belle et douce. Les cheveux blond presque doré, les lèvres rouges comme son sang et des yeux aussi grand que ceux d'une biche. Cela n'était clairement pas rêve, son cœur ne battait plus. Ses yeux, ses membres restait en vie rien que pour l'admiré.«- Suis-je laid? Répéta l'homme d'une voix faible.»
Un mouvement frénétique de la tête lui répondit, il sourit. Zlonovaqh souriait face aux larmes pures de cette belle inconnue. Délicatement, il prit l'une de ses larmes cristalline avant fermer les yeux.
«- J'ai toujours voulu mourir dans ma belle Russia... Vous contiez vous suicider pas vrai?
- Oui, dit-elle tremblante. Je vais appeler l-
- Vous n'allez pas me croire, mais... Mon cœur ne bat plus.»
Effrayer, elle posa sa tête sur sa poitrine. Le silence. Il poussa un dernier souffre en posant une douce main sur la chevelure de la femme.
«- Vous êtes aussi beau que du sang sur la neige.»Au journal dans les gros titres, la mort du célèbre assassin faisait débattre pas sur les raisons de sa mort. Mais, pourquoi une femme sans aucun lien avec lui était rester des heures dans le froid tête contre sa poitrine. Elle était morte lentement souffrant par les gelures du froid. C'était particulier pour les enquêteurs ainsi que la police. Ils furent surnommés les amoureux malchanceux. Elle aurait pu repartir dans sa voiture, changer de vie même appeler les secours mais elle avait préféré l'accompagner pour chercher le son de son cœur. Seuls quelques cœurs peuvent comprendre les tourments de ces deux là sans même les connaître.
Maria regarda Esher qui fixait les images de son père reposant dans une neige rouge vive avec une sublime femme écoutant son cœur. Sa tête se tourna vers son amante puis se leva pour sortir dehors s'asseoir sur les marches. Tête sur ses genoux, il sanglotait timidement tirant ses cheveux.
Le casino était tout aussi surprit, tout le monde fixaient les écrans comme absorbé. Levy laissa tomber son verre de vodka les yeux vitreux. Il baissa la tête mordant ses lèvres avec force. Il poussa les gens sur son passage puis monter les escaliers mais du s'arrêter en chemin le corps lourd. Son cœur tambourinait dans ses oreilles, son souffle chaud et lourds faisait le sang lui monté à la tête. Il prit la rampe malade, quelques personnes virent l'état catatonique du Williams et se rapprochèrent. Celui-ci fini par chuter dans les escaliers pour s'écrouler en bas respirant douloureusement.
«- Levy! »
VOUS LISEZ
ROSE EN SYMBIOSE
RomanceCONTENUE MATURE. en pause Deux roses; blanche et rouge. Une solitude commune et des vises partagé. Un homme tourmenté et nerveux, une femme naïve et abuser. Une beauté délicate, une beauté brut. Lors nerfs et pulsions les conduisaient à des étrein...