-Chapitre 9-

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Rose en symbiose

Maria n'avait pu contester ses caresses, elle n'avait su lui dire d'arrêter prise au dépourvu. Il n'était pas oppressant, mais particulièrement patient. Ne sachant pas, elle s'était tue. C'était si lent et sournois qu'elle ne l'avait vu venir, ces baisés et ces suçons placé sur son corps avec des mains plus brûlantes.
Elle avait chaud, dès que ses mains attrapaient son fessier la collant à son torse pour sentir sa poitrine contre lui, il l'étouffait. Des larmes sales avant enroué sa gorge la faisant souffrir davantage. Leurs corps transpirent déjà le sacrilège, ses jambes autour de sa taille, ses doigts s'enfonçaient dans sa chairs raide et dure. Il se redressa observent la jeune femme qu'il abusait sans même le voir, elle ne pouvait plus le supporter. Sasha s'assoit ne trouvant plus l'excitation qu'il avait. Un seule regard dans le fond les yeux larmoyants de la femme, il comprit que ses soupires étaient des débuts de crise de souffrance. Des cries aussi lâches qu'elle.
«- Vous ne vouliez pas le faire.
- Si.
- Vous mentez, je ne vous ferai rien. Cessez vos larmes, Maria. Excuse mon manque de compréhension à votre égard.
- Mais, je vous ai autorisé! Vous m'avez juste frotté comme un asticots.
- Maria, vous êtes aussi belle qu'étrange. Vous êtes apeuré et plaintive malgré cela, vous me demandez de vous violer,
s'allongea-t-il. Si je ne vous attire pas, ce n'est pas bien grave.
- Si... J'ai juste que... Vous ne pourriez pas comprendre, se redressa-t-elle. Comment puis-je m'abandonner aussi perversement à un homme?!
- Croyez juste en moi,
prit-il sa main entre mêlant leur doigt. Laisse les désir les plus enfuis de ton corps faire qu'un avec tes émotions, ferme les yeux en joue avec ton être
Étendu, respirant profondément, elle laissa toute ses plaies se tuent dans le silence quelque instant. Quelque frisson la fit crisper son corps par les chatouillent des doigts de l'homme. Ils plongeaient la pureté de sa peau basané, apprenait les lignes de ses hanches puis glisser entre ses jambes. Les murmures de l'homme nourrissaient la fève qu'il avait fait germer entre ses jambes. Il caressait ses pétales avec douceur en les donnant du soleil, après quelque minutes, il butinait le miel qui en coulaient avec sa langue. Au son de sa voix, il vient cette chose se détendre, bouger et prendre en couleur avait que toute ses faces ne s'ouvrent pour attirer au plus près cette abeille.

Maria avait crié dans un grognement de frustration, ses jambes étaient lourdes mais son bassin raide. Une goutte de sueur roula de ses seins. Était-ce légal? Un tellement plaisir et si près de l'éclosion, mais couper au sommet de cette tige. Sa main se tendit vers Sasha pour qu'il la baise.
«- Reposez-vous.
- Sadique.
- Ne le répétez pas, ma tendr
e.»
Le soleil écrasait ses sourcils faisant des plisses grossier apparaître sur son front. Sa nuit avait été froide, très froid. D'habitude, Esher venait se blottir dans ses bras et la serrait telle un sac de mousse, mais il ne put le faire. Sasha avait couché du le canapé vêtu d'un haut et un shorte; lui aussi avait sentis ce fois. C'était le froid de deux âme en perpétuelle trans cherchant l'hôte parfait pour pouvoir fusionné. Se mélanger, se compléter et surtout guérir. Sasha souffrait depuis longtemps de son physique grand et costaud, les femmes pensaient qu'il était soit mauvais ou inculte. En apprenant sa fonction, elles redoutaient les aléa de sortir avec un policier. Un inspecteur capable de lire à travers les gens et tout analyser. Mais, son tempérament vague et autoritaire les faisait craindre. Personne ne voulait être en captivité. Même la plus blanche des roses.
«- Maria? Avança-t-il face au lit.»
La jeune femme qui était assis sur le lit vêtu d'une simple chemise blanche l'observa en se pressant pour venir vers lui, il sourit en la serrant contre lui.
«- Allez-vous vêtir, nous allons faire un peu d'exercice.»

Esher était dans un bain chaud même brulant, ses paupières s'était fermé de fatigue ne pouvant supporter sa nuit de lutte avec les démons qui était revenu le hanter. Elle le manquait cruellement, mais le pire était sa colocataire, une jeune femme qui ne cherchait qu'une chose de lui: du sexe. C'était juste une femme passagère dans la chambre, mais le tapait réellement sur le système. Il ne voulait s'offrir qu'à une seule femme... Cela le frappa en pleine poitrine comme un coup de poignard, elle avait couché dans le même lit que ce policier. Son père l'avait dit de le gâter, est-ce qu'elle l'avait fait? L'avait-elle trahi et c'était offert? Sa main vient violemment frapper son visage, le voilà à songer toute les fois où il aurait pu la faire pleinement sienne. Tous ses fois ou ses ardeurs l'avait crié de l'embrasser et lui offrir son miel, mais avait renoncé. Esher se maudissait d'avoir préféré sa weed à elle. Son corps, ses hanches ainsi que ses pires vices.
Levé d'un bond, il tomba lourdement le corps encore fébrile. Fesse douloureuse, il se leva encore mais avec bien plus de prudence. Cheveux lavé, habiller et parfumé, il chercha la jeune femme dans tous les étages pour la voir assis en tailleur sur le dos de Sasha qui faisait des pompes. Elle lissait un livre sur la neurologies particulièrement prise dans sa lecteur. Il rentra la faisant lever ses yeux sur lui, un immense sourire illumina son regard; Esher rougit. Spontanément, elle sauta du dos du policier pour presque sauter au cou de l'assassin oubliant complétement que leur relation n'était pas du tout la bienvenu et que hier-soir, elle avait déclaré à Sasha l'aimer. Maria réalisa lorsque les maudits lèvres du ténébreux se rapprochait des siennes la faisant tourner la tête en se reculant et le frapper doucement avec le livre sur le torse.
«- Comment vas-tu?
- Comment souhaites-tu que je me sente alors que mon cœur ne bat que lorsque je suis près de toi, que mes pensées deviennent fertiles lorsque je rencontre ton regard? Tu es mon remède mais aussi ma plus grande souffrance. Dès que tu n'es pas là, le diable souhaite m'arracher de ce monde et seul le son de ta voix me rappelle la beauté de la vie
, prit-il ses mains pour de les embrasser. Touche-moi, baise ma peau je t'en supplie, Maria
Maria n'avait rien dit, ni même sourciller. Ses grand yeux avait scruté le visage de cet homme nerveux au tempérament colérique puis observa ses mains; grande, blême et très froide. Il pressait sa chaire doucement mais avec beaucoup de fermeté, que pouvait-elle répondre? Sasha pausa ses épaisses mains sur les hanches de la jeune métisse pour la soulever puis le poser à côté de lui, maintenant, il faisant face au Erwins. Esher mit ses mains dans ses poches, il ne voulait pas se confronter à cet armoire à glace à ses yeux, Sasha était aussi lourd qu'un bœuf.
Le policier rigola grassement en prenant les hanches de la femme montrant avec malice son bien. L'assassin n'apprécia pas ce geste, mais n'en fit rien ne voulant pas énerver le policier. Maria prit la nuque de l'officier le faisant se pencher. Elle murmura quelque chose à son oreille le faisant serrer la mâchoire puis hocha la tête après l'avoir embrassé sur le front. D'un regard, elle fit Esher la suivre jusqu'à l'ascenseur. Elle bloqua celui-ci pour perdre son regard dans le sienne avant de lui tendant sa main. Hésitant et avec maladresse, il la tira à lui la serrant fermement.
«- Par tous les Saints, sentir ton corps contre le mien m'avait tellement obsédé.
- Esher
, huma-t-elle son parfum. Puis-je t'embrassé?
- Pourquoi me le demandes-tu même?
»
Leur lèvres se caressèrent avec brutalité. Son cœur manqua de fondre en le sentant la serré avec autant de force contre son torse, ses grands mains s'enfonçant dans les courbes de son corps. Et rapidement, leur corps à corps fit bien plus ardent, sauvage en gardant leur passion.

ROSE EN SYMBIOSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant