Dans un sursaute, elle bondit hors de lit en hurlant hystériquement avant de s'effondré au sol en attrapant violemment ses cheveux prêt à les arracher. Esher qui buvait du jus pâlie par la frénésie de la jeune femme qui semblait sortir d'une confrontation avec le Diable. Verre poser sur la petite table, il alla vers la jeune femme en prenant un calmant dans sa veste et lui mit dans la bouche de force puis la faire avaler.
Calme et soumise, elle mangeait avec l'aide de l'assassin qui mettait de la purée dans sa bouche lentement en lui expliquant ce qui s'était passé hier. Parfois, elle tremblait ou avalait de travers toussant dans un mouchoir. Esher ne comprenait pas ce comportement, n'était-ce pas lui le meurtrier dans l'histoire pourtant, il n'avait aucun regret.
En fin d'après-midi, les médicaments ne firent plus aucun effet, Esher glissait un gout baisé sur les épaules de la femme puis son cou. Maria eu un frisson d'horreur en l'examinant avec effrois. Pupille levé vers elle, il serra la mâchoire en voyant le font de ses yeux. Lentement, elle prise son pot de gel se tournant vers lui puis lui montrer ses cheveux dans un sourire timide. Assit face à la coiffeuse, elle démêla ses cheveux en faisant attention à ne pas lui faire mal. Il observait tout ses expressions ne sachant pas pourquoi elle était si silencieuse.
«- Maria?
- Oui! Leva-t-elle les yeux sur le miroir en souriant. Qu'est-ce qu'il y a?
- J'ai fais quelque chose de mal?
- Esher, tu as fait la pire chose qui puisse me blesser, tu as tué, effaça-t-elle son sourire.
- Je suis un assassin, tu le sais bien. Et puis, il voulait te faire du mal. Tu m'en veux et reste près de moi?
- Ce n'est pas une raison, tout le monde mérite de vivre.
- Les violeurs?
- Oui, mais castration.
- Pédophile?
- Bien sûr, parfois, c'est dû à une enfance tragique ou des problèmes mentaux même-ci c'est très mal! Seule Dieu est en mesure de juger qui mérite de vivre ou pas, lui montra-t-elle sa statue de la vierge.
- Attend, paniqua l'homme. Enlève cette statue près de moi. J'ai une peur bleu de ces truc...»
Raide sur sa chaise observant la pauvre statue, son souffle se coupa la fixant sans oser cligner des yeux. Plus jeune, il avait regardé une série britannique: Docter Who. Et dans plusieurs épisode, des statue appeler ange pleureur prenait vie dès qu'on les perdait de vus et essayait de les tuer. Depuis il en avait une peur extrême. Voyant son état catatonique, elle la mise dans son tiroir le faisant prendre sa respiration subitement.
«- Tu as peur des statues?
- Dieu tu as dit? Changea-t-il de discussion. Si un homme vient pour te détruire l'appareil génitale, je dois me mettre à genoux et prier?
- Non, mais, ne tue personne... Enfaite, mis-t-elle du gel sur ses cheveux. Tue loin de moi. J'ai peur des hommes violent, mais plus de ceux à la langue empoisonner.
- Quel homme t'a détruite?»Cette simple question la prise de cour, elle secoua doucement la tête avant de brosser ses cheveux puis les attacher dans un chou haut. Elle le mise une barrette arc-en-ciel dans les cheveux ainsi qu'un élastique rose, il s'étonna alors qu'elle prit une photo rapide ne laissant pas l'homme voir. Maria la mise sur son statue instagrame #BADBOYKAWAIII, il reçut la notification le faisant glousser légèrement.
«- Floute mes yeux la prochaines fois, tu risqueras d'avoir des problèmes si les autorités russe voix ça.
- Oui, hocha-t-elle la tête. Tu n'es pas fâché du hashtagge?
- Non, pas vraiment.
- Esher... Julano va bien?
- Pourquoi penses-tu as lui alors qu'il allait te faire du mal? Est-ce que tu ne serais pas complétement- Enfin, je l'ai envoyé à l'hôpital.
- Pourquoi tes tu coupés?
- Pour ne pas t'insulté de femme stupide... Tu n'es pas stupide, juste vraiment trop gentille. Fait attention, on achète pas des cœurs en boulangerie, petite rose. Tes pétales son fragile et t'a tige sans défense, se mit-il debout pour prendre sa main. Je serrais maintenant tes épines, pour que tu ne puisse plus souffrir.»
Les petites pupilles ébène de l'assassin glissèrent des épaules nu de la femme jusqu'à son bassin trouvant sa petite robe rouge en coton particulièrement belle sur elle. Tout lui allait, sauf la tristesse. Sur le canapé, il se mit à réfléchir alors qu'elle prit le chemin de la salle de bain.
Son téléphone sonnait à répétition, son père, sa mère ou encore pire sa sœur. Esher savait pertinemment que c'était pour le forcé à rentré et assumer ses agissements, il ne voulait pas voir son frère au risque de lui mettre une droite. Buvant un verre de scotch, il se perdit dans des profondes pensé sur son future. Venait-il de tout perdre pour une femme? Une femme qu'il n'était même pas sûr qu'elle ait des sentiments pour lui. Finissant son verre de scotch, il prit un autre main de vodka buvant un demi-verre. Après une heure plonger dans un profond sommeil, ses yeux s'entre-ouvrit sur une douce mélodie. Redresser, ses yeux se plissa regardant Maria qui semblait signer face à son miroir en chantant. Ses doigts frottèrent légèrement ses yeux avant de s'étiré. Près d'elle, il l'observa se maquiller portant un petit corset avec un tailleur.
«- Tu sors?
- Oui, ma tante et son fils mon invité au restaurant et mon père à insisté pour que j'y aille, se leva la femme en posant son mascara.
- Bien, je vais chez moi-même si je sais qu'on me métra dehors.
- Viens ici le temps de trouver un appartement, prit-elle un sac pour sortir une perruque blonde dans un carré mi-long. Après, on pourra s'amuser toi et moi, glissa-t-elle sa main sur son torse.
- Ah bon? Sourit-il sur quelque rougeur.
- Oui, frôla-t-elle ses lèvres. J'ai 1 heure 30 devant moi avant que mon chauffeur n'arrive, moins 15 minute pour coller ma perruque.
- C'est parfait.»
Assise sur ses cuisses, elle joue à Fifa contre lui. Esher semblait avoir énormément de mal à suivre faute au gesticulation de la femme sur sa zone sensible au point de se mettre contre lui-même pour ne pas avoir une érection. Après quelque partie qu'il perdit l'lamentablement, il mit la femme à coté de lui écartent les jambes rouge.
«- On va jouer sérieusement, ce n'est pas une petite faite hier qui va me battre à Fifa. Sur tu ne connais même pas tes joueurs.
- Ranh! Mit elle sa manette sur sa bouche. Mais tes un mauvais perdant, au nom de Dieu, je connais tous les joueurs mon équipe est juste imbattable. En plus, t'a quel âge pour dire ça?
- J'ai 26 ans, j'avais 7 ans je jouai déjà avoir que toi, tu n'étais pas née.
- Mais quel menteur, tu es juste de mauvaise foi. Je t'ai battue assume.
- Maria tu avais tes fesses sur mon sexe, tu as triché c'est tout! Cria-t-il en levant les bras en évidence.
- Tu n'as pas honte, maintenant ce sont mes fesses le problème!? Franchement, zéro! Fit-elle une bulle de ses doigts. Gamin et mauvais perdant.
- Okay, okay. Je ferai ce que tu veux pendant deux jour si tu arrives à me battre.
- D'accord et si je perds, je te laisserai m'habiller et me maquiller.
- Hum, réfléchit l'homme confus. J'accepte.»
Une parie plus tard, elle perdit le faisant hurler de joie. Il se leva pour crier fortement sur la femme qu'il était un meilleur joueur qu'elle. Prie dans sa célébration, il filma le score puis le visage de Maria qui était entrain de le dévisager. Son cœur remplie de joie, il se mit à courir avant de sauter en mettre ses bras sous ses épaules. Elle éclata de rire se moquant ouvertement de lui.
«- Et, Mbappé tu es passé à la blanchisserie?!»Allonger au sol, elle rigolait jusqu'à s'en faire mal aux côtes. Si elle avait pu remonter le temps, elle aurait filmé la scène pour lui faire honte. Sans se soucier de la femme, Esher continua de célébrer toute seule avant que le téléphone de la femme ne sonne faisant un silence glaciale s'installer. Leur première penser fièrent, Levy. Ils eurent peur. Peur que leur petit bonheur provoquer par ce jeux de football ne soit remplacer par une nouvelle de retour. Qu'il viendrait encore tâcher leur joie. Son chauffeur, elle soupira en lui disait qu'elle allait descendre. En prenant son sac, elle vit le regard intense de l'homme la faisant se tourner vers lui.
«- Qui a-t-il?
- Je peux avoir un bisou?
- Viens.»
Face à elle, il tendit ses bras en ferment les yeux près à s'abandonner à elle, mais, il serra le vent. Un simple baiser sur la joue lui fit donner avant qu'elle ne coure à la porte, il serra la mâchoire frustré. Quelque instant plus tard, il partit lui aussi. Arrivé au manoir, il fit accueilli par des simple regard ainsi que quelque mot brève lui faisant signe d'aller en haut. Une fois monté, il fit ses affaires dans des valises qu'il prit sans un mot. Avant de partir, il embrassa son père puis sa mère, il regarda sa sœur avec peur la serrant juste la main. Evans n'eut même pas un regard, repartie, il fit un arrêt dans une boulangerie.
La vendeuse souriait amuser du comportement de l'homme qui semblait vérifier chaque détaille des gâteaux. La jeune boulangère était métisse d'une mère russe et un père français. Elle était habituée à voir des gens presser rentrer dans sa boulangerie au air dure, mais lui était calme et lent. Assis en caisse, elle continua de l'observé fixer les 10 gâteaux dans le réfrigérateur. Finalement, il pausa son doigt sur la vitre montrant un gâteau à la patte d'amande avec des petits pétale de rose. Mais puis son doigt glissa sur un autre à la fraise avec des fruits dessus. Son long corps se pencha brusquement sur un gâteau assez petit tout en bas avec un dessin de Réponse.
«- Vous avez dessiné ça toute seule?
- C'est une imprimante, rigola-t-elle. Vous le voulez.
- Non, c'est pour ma petite-ami... Enfin, ce n'est pas ma copine, on n'a jamais coucher ensemble et son père ne veux pas qu'elle voit d'homme... Le mien ma foutu dehors, j'en profite pour vivre avec elle. Son père et partie au japon. Elle est belle et douce, mais très nerveuse.
- Euh... C'est compliquer comme histoire, dit la femme confuse.»
D'un coup, la grand-mère de la femme sortie de la cave, elle vient près de l'homme avec une chaise pliante. C'était une vielle commère n'ayant rien d'autre comme passion que de surveiller tout son voisinage. Depuis petite, elle connaissait les secrets de tout le monde et les racontait à ses autres commère comme elle et depuis quelque année sa petite fille. Mais, Esméralda n'était pas très commérage était assez discret et sans prise de tête.«- Esméralda va chercher ma tisane, ferme la boulangerie, tu ne vois pas que le monsieur à besoin de déversé son cœur?! Assis-toi jeune homme.
- Grand-mère, il est venu pour un gâteau. Excusé là, elle ne peu pas s'empêcher de vouloir écouter la vie des gens.
- C'est une psychologue?
- J'en doute, ricana Esméralda. Plutôt un téléphone arabe.
- Je vais te tirer les oreilles si tu continue de m'insulté. Va, va chercher le thé. Le monsieur à soif et coupe du gâteau.
- Il n'a pas le temps.
- Si, dit Esher en s'asseyant. Vous savez le premier fois que j'ai vus cette femme, elle m'a fait peur et ma rendu très nerveux. Je n'avais jamais vu de femme métis en vrai, sa peau est comme un café avec juste un peu trop de lait.
- Ma petite fille aussi est métis, s'assoit-elle. C'était coup de foudre?
- Non, je ne crois pas... Pour me coiffer, elle ma sauté dessus et ma emprisonner dans ses cuisses comme une vagabonde. Je me suis endormie puis réveiller maquiller.
- Voila, dit Esméralda en lui donnant du gâteau ainsi que du thé.»Rentré avec un gâteau gratuit, il se sentit beaucoup plus léger d'avoir pu ouvrir son cœur à cette vieille femme qui semblait vraiment prendre son temps pour comprendre ses problèmes. Il avait même pris son numéro. Il descendit pour acheter des légumes dans une épicerie ainsi que de la viande, passant devant des sucreries, il prit quelque paquet de bonbon puis du chocolat ainsi qu'une bouteille de sirop à la fraise. Course range, il passa l'aspirateur avant de ranger les meubles et nettoyer les vitres.
Esher était une personne de maniaque. Même s'il se battait pour ne pas montrer ce cruel défaut chez lui, parfois cela lui brûlait littéralement les doigts.
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ROSE EN SYMBIOSE
RomanceCONTENUE MATURE. en pause Deux roses; blanche et rouge. Une solitude commune et des vises partagé. Un homme tourmenté et nerveux, une femme naïve et abuser. Une beauté délicate, une beauté brut. Lors nerfs et pulsions les conduisaient à des étrein...