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━━･❖ L'univers « The Puppeteer » ainsi que ses personnages m'appartiennent
━━･❖ Cette fois-ci, les phrases en italiques représenteront les pensées de Rémon (le meilleur ami de la protagoniste) sauf dans certains cas mais, qui sont facilement visibles
━━･❖ Je rappelle que ceci est un univers horrifique au style TPN ou Fnaf. Si le genre de contenu horrifique, mystérieuse ou gore vous dérange, cette histoire n'est pas faite pour vous.
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❝ La manipulation/le mensonge est la meilleure des solutions ❞ #Clara#
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The Puppeteer était juste le nom de la ville, de la capitale. Le pays se nommait le Malien.
Une ville voisine se trouvait à proximité de la capitale. Elle était abandonnée : un terrible accident y avait eu lieu. Cette ville était nommée le Désastre. C'était la ville où La Marionnettiste venait apparement.
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— Wouah, c'est immense ! », s'exclama Rémon, en regardant l'immense bâtiment qui se trouvait devant lui, émerveillé.
— Effectivement, et ce sera ta nouvelle maison à partir de maintenant ! », lui répondit La Marionnettiste, en esquissant d'un sourire chaleureux, mettant une main sur l'épaule du noiraud.
Il frissonna à ce contact mais, ne le montra pas. Il ne fallait qu'elle ne se doute de rien après tout. Bien évidement, ils se trouvaient devant le Pensionnat de la Présidence. Après avoir saluer Klee et lui avoir promise d'accomplir sa mission, il était parti avec La Marionnettiste. Cette dernière avait d'ailleurs agit étrangement avant de partir avec le garçon : en passant devant la rouquine, la femme lui avait chuchoté : « Ceci est à peine le commencement » Rémon avait fait mine de n'avoir rien entendu mais, il avait déjà compris. La Marionnettiste déclarait la guerre. Pour l'instant, c'était juste une annonce mais bientôt, le combat allait commencé.
Ils entrèrent finalement dans l'endroit. Rémon en profita pour inspecter les lieux : le bâtiment était immense et était entouré de grandes grilles. Les grilles étaient d'ailleurs si immenses qu'aucun individu n'aurait pu les escalader. En plus, elles semblaient allumées en énergie électrique : elles pouvaient électrocuter quiconque les toucherai sauf si l'électricité était éteinte. Pour y entrer, La Marionnettiste avait sans doute arrêter l'électricité pour y accéder sinon, elle n'aurait pas pu ouvrir avec facilité la porte de la grille. Le Pensionnat de la Présidence était également éloigné de la ville donc, aucun habitant n'y circulait. En passant les grilles, le noiraud vit que des gardes surveillaient la porte d'entrée. Ils n'étaient pas armés et c'était logique : tout enfant aurait eu peur en voyant des hommes avec des armes. Cependant, ils devaient bien avoir une arme secrète pour stopper tout intrus ou même arrêter une quelconque évasion sans blesser, ni effrayer les personnes visées. En entrant par la porte d'entrée, le garçon vit un homme saluer La Marionnettiste :
