/chapitre 11/

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As-salam Aleykoum wa rahmatuLlah wa barakatuh.

2016 , Marseille **

BismiLlah..

görünmez acı...

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On est retournée dans le salon. Moi je suis partie aider ma mère a faire à manger , y'avait Iyed et Farès dans le salon , Nour était parti en Allemagne avec son frère pour voir un de ces oncles qui y vivait.

Anne : va mettre la table benti 3efek.

J'ai déposé le couteau que j'avais en main et j'me suis exécuté.

En mettant la table je me sentais fixer , soit c'était ça , soit j'étais complètement folle.

J'ai relever légèrement le regard et j'avais bien raison , chaque fais et gestes que je faisais , il me suivait du regard.

« sur quel psychopathe je suis tombé encore.. »

Ma mère a mis le plat sur la table et on s'est tous assis.

Tout le monde parlait entre eux , moi j'écoutais Nawra me racontait sa journée. A un moment elle s'est approcher de mon oreille...

Nawra : pourquoi il te regarde comme ça ?

Moi : qui ça kalbim?

Nawra : Iyed.

J'ai regardé vers sa direction et en effet, aucune hechma il me fixait comme ça alors qu'il y'avait tout le monde...

Je le savais que ça lui avait pas plu ce que j'avais fais dans la chambre..

Mais moi au contraire , j'étais très contente...

Moi : laisse le , O deli. ( il est fou )

Ai-je dis en tournant vite fait mon regard vers lui.

Je jubilais. Clairement c'était le mot.

Et lui il avait trop la haine mdrrr

Hessoul , on a fini de manger « calmement » , je mets calmement entre guillemets parce que ils faisaient que criaient , ils savent pas parler sans crier ces arabes.

Hessoul quelques heures sont passées et anne est parti chez tata Selma avec Nawra.

Les garçons jouaient à la play dans le salon et moi j'étais dans ma chambre, entrain de lire.

A ce moment là allez savoir pourquoi j'avais une passion pour l'anglais , vraiment je voulais trop devenir bilingue ducoup je lisais énormément de livre en anglais ou alors de série.

Environ 1h était passé , plus aucun bruit dans l'appartement. Les garçons devaient sans doute être sortis.

J'avais arrêté de lire au moins 20 minutes avant je sais plus. Le calme.

C'était vraiment ça.

C'était... calme.

Le silence régnait dans l'appartement.

Il devait être minuit quelques choses comme ça quand j'ai décider de me rendre sur le balcon...

Là où mes cheveux s'envolaient à cause du vent.

Là où je ressentais ce vent frais tapait sur mon visage.

Là où mon n'âme comprenait qu'elle n'allait pas encore bien...

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On était arrivé mis décembre.

On avait tous ressorti nos doudounes et les vacances étaient arrivés.

blanc aveuglé par le noir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant